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Robot
23/7/2023
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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Je n'ai pas bien compris la nécessité du prélèvement sur le texte OCEANO NOX: "combien de marins, combien de capitaines
qui sont partis joyeux pour des courses lointaines" qui aurait mérité d'être mentionné comme citation. A mon avis, cet emprunt n'apporte pas grand chose au texte et bien au contraire en rend la compréhension plutôt confuse. L'idée générale manque de clarté (ou de développement) |
Lebarde
6/8/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Pourquoi placer des vers classiques dans un poème libre? Oui je vous le demande pourquoi?
Peut-être pour, avec ces vers célèbres , même écornés (« oh ») et amputés des majuscules, donner du rythme à une tirade aux allures de classique qui , avec une métrique aléatoire, pourrait en manquer un peu! Sinon il y a bien quelques belles formules et quelques images que je pourrais aimer… Mais tout cela reste cependant un peu court et « entre deux chaises » tant dans la forme que sur le fond. Ressenti mitigé donc. Lebarde |
Marite
6/8/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime bien
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Bien pessimiste ce poème qui évoque les souvenirs sombres qui peuvent jalonner toute vie, l'auteur nous offrira peut-être un second poème traitant de ceux qui sont plus légers ...
J'ai apprécié leur comparaison avec des épaves maritimes ballotées et emportées par les flots avant de sombrer au plus profond de la mer mais les deux vers empruntés à Victor Hugo sont superflus et alourdissent l'ensemble. La première strophe aurait été plus saisissante (à mon sens) sous une forme différente, par exemple en scindant certains vers avec des retours à la ligne au lieu d'y placer des virgules : ... épaves anonymes ils ne sont à personne ... poussés par les courants emportés par les vents ... parmi les déceptions parmi les lassitudes peut-être aussi éviter la répétition de "parmi" en ne faisant qu'un seul vers : parmi les déceptions et les lassitudes |
papipoete
6/8/2023
trouve l'écriture
très perfectible
et
aime un peu
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bonjour Nomenoe
Ils ont tout quitté, pour un meilleur... ailleurs de l'autre côté d'une mer, à traverser comme le front sous la mitrailleuse. On ne les reverra pas, devenus plus misérables encore, ou bien fantômes dont l'écho semble monter du fond du néant. NB bien sûr que je sais de qui l'on parle, mais " ils ne sont à personne " mérita qu'on les nomme (somaliens, afghans, algériens ) si non, l'image bien sombre de ce texte se teinte bizarrement de cette citation hugolienne ( ... sont partis joyeux... ) alors que plus loin, vous parlez de " cohorte laide et veule " ? je pense que cet aparté est incongru ? nous ne vîmes jamais de boat-people, emplis de joyeux-lurons, ou autre passage à travers la montagne emmenés par un guide enjoué. je suis désolé, mais votre récit mérita d'être relu, beaucoup relu avant son envoi définitif ! |
Provencao
11/8/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Nomenoe,
"Alors Déformés par le sel, brûlés par le soleil Cohorte laide et veule Pesanteur pitoyable Ils tireront au fond Les espoirs enhardis des amoureux de vivre." Ce pessimisme et ce sombre signifient fort bien, à mon sens, à la fois la volatilité du souvenir et la liberté de pouvoir glisser sans être retenu " Les espoirs enhardis des amoureux de vivre." Au plaisir de vous lire Cordialement |