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dom1
14/6/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'aime votre écrit mais je comprends mal le passage du présent au passé entre le début et le reste. Si nous parlions du passé ? Oui ?
domi |
BeL13ver
19/6/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Tendre poème mais dont le sens est parfois un peu obscurci par l'usage répété du participe présent. Je trouve la première strophe très touchante, chatoyante, séduisante. Elle est écrite avec beaucoup de simplicité et de délicatesse.
La deuxième strophe est très belle aussi. La troisième strophe m'a moins séduit, et je n'en comprend absolument pas le deuxième vers. J'aime énormément la conclusion : "Nous nous aimions ainsi, l'espace d'un bonsoir." Très touchant. J'aime beaucoup ce poème. |
Brume
5/7/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour
Parler d'amour et de Paris d'une manière si moderne je trouve ça beau. Les 2 premières strophes sont superbes, et ce qui me fait tomber en amour : - "S je parlais de toi et des toits de Paris " - et bien oui c'est d'une simplicité. ..Mais que voulez-vous? La photo qui me traverse me fait vibrer comme un tableau. Les deux dernières strophes me font moins rêver déjà le décor change, les amants sont en second plan et cette formulation lourde qui gâche tout: -" Ne nous semblant bien vaste à nos yeux amplement " - cette phrase est bizarre. |
Anonyme
4/7/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un souvenir d'amour " l'espace d'un soir " relaté avec de belles images.
" Le sourire brûlant des amants de minuit Nous tenait là, toujours à l'heure de renaître. " Un beau dernier quatrain. |
Anonyme
4/7/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonsoir Noran... Un thème ô combien poétique, l'amour sous les toits de Paris... De jolis vers, d'autres beaucoup moins mais rattrapables comme...
Si je parlais de nous et des toits de Paris Qui s'offraient à nos yeux le temps d'une nuit brève. Simple suggestion bien entendu ! Je n'ai pas du tout compris ni aimé ce quatrain, surtout les trois derniers vers... Immobile dans cette pièce teintée d'ombre, Ne nous semblant bien vaste à nos yeux amplement, Où la Lune, l'étang des étoiles sans nombre, Embrassaient les cieux relaxés de nos tourments. Le quatrain final n'est pas non plus très clair... (pour moi, of course !) Je verrai bien ce texte repasser sur le métier car il y a là matière à écrire un joli poème d'amour. Merci pour cette lecture vespérale dont je retiendrai surtout... Le sourire brûlant des amants de minuit... un fort joli vers ! Bonne continuation. |
Anonyme
4/7/2017
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonsoir,
(je prends un peu d'espace maintenant que j'ai dit...) Sorti de brève que je trouve incongru (volontaire pour la rime mais pas du meilleur effet), votre première strophe est fort jolie. La seconde est agréable de sensualité, on plonge dans une nuit étoilée, un tableau langoureux qu'on espionnerait sans trop en voir. C'est juste ce qu'il faut de voyeur pour donner un tremplin à l'oeuvre. On se dit qu'on va avoir un final qui déchire. Et BOUM plat, comme à la piscine... Je passe sur le cliché de la pièce teintée d'ombre pour m'arrêter une seconde sur : Ne nous semblant bien vaste à nos yeux amplement,... oui, mais encore ? Je ne comprends pas fort bien le sens voulu de cette portion de phrase, que je l'isole pour tenter de la comprendre de manière autonome, ou que l'assemble aux vers qui l'entourent pour tenter d'en aspirer l'essence profonde, je reste sur une incongruité déconcertante. Je ne suis dans l'élan pas plus convaincue par les vers suivants, dont le sens profond m'échappe. L'image que vous m'offrez ne m'évoque rien. Est-ce qu'il n'y a pas une faute qui est restée : Où la Lune, l'étang des étoiles sans nombre, Embrassaient les cieux relaxés de nos tourments. Embrassaient devrait être au singulier selon moi. sinon je perds le sens du verbe. Il se rattache à quoi ? à yeux? Bref. Pas convaincue par le choix du mot marges non plus. Ni par le premier vers de la dernière strophe que je trouve tarabiscoté sur la portion précédant la virgule. L'ensemble me semble du coup très inégal. Cela dit, quelques belles trouvailles malgré tout. Une prochaine fois, peut-être. Bonne continuation ! |
papipoete
5/7/2017
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Noran,
J'ai fait un rêve ... Nous nous aimions une nuit durant, et reprenions nos esprits un instant au seuil de la fenêtre ; j'ai fait un rêve ... NB je comprend bien que l'on parle d'une nuit sans sommeil ( rêvée ), mais quelques vers fort alambiqués perturbent l'évocation de ces moments charnels ! ( 10e vers par exemple ) |
Robot
5/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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"Ne nous semblant bien vaste à nos yeux amplement," Tout de suite pour ne plus en parler, je trouve que la lourdeur de ce vers brise une poésie dans un texte jusque là très agréable.
Ceci étant dit, j'ai beaucoup apprécié "...l'horizon d'une nuit brève Avant la fin, avant que le ciel ait un prix." ainsi que "la Lune, l'étang des étoiles sans nombre, Embrassaient les cieux..." mais relaxés me heurte un peu. je ne trouve pas le verbe bien choisi. Apaisés ?... "...tout entiers à la vie Et dessinant des voies dans les marges du soir" Belle métaphore. |
MissNeko
5/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour
J ai aimé : - la métaphore filée de la peinture peignant/ teintée/dessinant/ plume/ - la nuit omniprésente : nuit / minuit / ombre/ lune/ étoile/ soir - la scène dépeinte : deux amants sur les toits de Paris immobiles. Les mots deviennent des touches colorés qui se couchent sur la toile. Les amoureux sont figés dans cet amour mais On sent bien que ce n est qu une relation d un soir " l espace de un bonsoir" - "où la Lune, l'étang des étoiles sans nombre," : c est beau ! J aime moins les répétitions: nuit/nuit/minuit yeux (2 fois) dommage. |