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Vincent
21/7/2015
a aimé ce texte
Bien
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Comme la peur d’un grand vide
Qui m’éloignerait de toi, J’ai des larmes dans mes rides Et des plaies dans ma voix Comme le poids d’une absence Satinée de regrets, Mon âme est en souffrance Et mon cœur est en apnée par exemple je ne sais comment prendre votre texte vous employez des images pour parler de cette séparation " cet hommage" qui ne me touchent pas vraiment surement que cela vient de mon inaptitude à m'émouvoir devant votre texte si bien que bien écrit je l'ai aimé sans plus |
Lulu
11/8/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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"Pour toi", un poème fort touchant que j'aime beaucoup. Ma préférence va aux deux derniers quatrains qui m'ont fait penser à Brel - un petit peu... "Je serai ton arbre / Et tu seras ma cime... Vraiment très beau.
Personnellement, j'aurais bien aimé que l'on m'écrive ces mots... C'est dire si je suis touchée par l'ensemble. J'aime aussi l'idée "De remonter le temps / Jusqu'à en tuer la mort". L'amitié, l'amour, tout cela s'assemble dans de tels mots. Pour le plus grand plaisir du lecteur sensible qui peut se reconnaître dans la question de l'absence. Au ton tragique du début, se substitue peu à peu quelque espoir qui fait de ce texte un bel hommage. Tous mes encouragements. Edition : je viens de relire ce texte que j'avais évalué en espace lecture. Je le réévalue à la hausse, étant vraiment émue de le redécouvrir. Il me plonge dans ma propre histoire, comme s'il portait quelque part en lui quelque chose d'universel. J'avais d'abord préféré les deux derniers quatrains, mais l'ensemble du poème me plait beaucoup. Il a été conçu avec soin. C'est à cet égard que je vous transmets tous mes encouragements pour la suite. J'ai par ailleurs hâte de lire d'autres nouveaux textes de vous. Soyez le bienvenu sur Oniris. |
Anonyme
11/8/2015
a aimé ce texte
Bien ↓
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Je trouve que cette succession d'images alambiquées annihilent la sensibilité qui devrait émerger d'un tel sujet, donner une âme à ce texte.. Pour ma part je ne décèle rien de similaire.
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papipoete
12/8/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour oblivion;ce pâle reflet de toi, peu à peu dans le jour s'étiole; mais dans mes nuits, il reparait; et le sillon que creusent mes larmes, me renvoie l'image de toi, mon ange.
Si j'étais Dieu, je tuerais la mort pour que tu renaisses! Mais hélas, je ne suis qu'homme, ton Orphée et ne puis accomplir de miracles! Alors, pour te rejoindre, je briserai le marbre de ton monde souterrain, et mes racines plongeront jusqu'à toi, mon Eurydice... La mort a inspiré ma dernière publication, aussi la vôtre me touche, avec ses vers magistraux comme ceux du 4e quatrain! |
Arielle
12/8/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Cet hommage me paraît malheureusement trop autocentré sur son narrateur pour me toucher vraiment.
L'amie en question n'est qu'un "pâle reflet qui s'étiole" en regard des larmes, des plaies, des cris de cet Orphée qui, à mon goût, se regarde trop pleurer et serait bien plus convainquant s'il s'oubliait un peu pour évoquer son Ophélie et nous faire partager le chagrin de son absence. |
in-flight
1/9/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Ce texte n'a pas la portée universelle qu'il pourrait avoir: La mention d'Ophélie sans doute, mais aussi beaucoup de pronoms personnels. Cela dit j'ai aimé l'image des racines qui plongent dans le marbre, cette idée cyclique de l'existence.
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