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JulieM
5/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Il y a de la passion dans cette belle prose poétique. J'entends une haine-amour, de la brutalité, de la tristesse, du dégoût mais aussi de l'espoir, de la fierté.
Etonnante liaison intime d'une ville et d'un je. Le texte est bien balancé, des images ciselées et cruelles ce qui donne un ensemble envoûtant. Le lecteur est "pris" dans la trame tissée par le poète, ses mots sont vrais, sincères, poignants. Merci beaucoup. |
dom1
5/8/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Votre description de la ville se veut ténébreuse et morbide. Sans doute trop pour y espérer quoi que ce soit. Ou alors il faut nous décrire et nous dire comment s'y prendre pour la sortir du néant dans laquelle vous l'avez enfoncée à grands coups de superlatifs. Donnez-nous les clefs de l'espérance car on reste sur les décombres.
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MissNeko
21/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très belle prose poétique ! Un grand plaisir de vous lire.
Pour la première phrase peut être pourriez vous enlever le "qui" qui n apporte rien mais alourdi l ensemble : Cette ville {qui }est un glaive posé sur l'horizon, bouillante comme un volcan d'acier. Vois parlez de la ville de votre enfance. Je suis curieuse de savoir de quelle ville exactement vous parlez ! A vous relire |
Anonyme
21/8/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Superbe cette prose poétique, et passionnée oui, et vous dites 'espérer c'est un peu courber le monde', et j'aime beaucoup l'élan qui traverse ce poème.
On y sent un homme ou une femme qui se tient debout...qui résiste. Bravo. Et à vous relire, car vous lire c'est aussi un peu se relever… Cordialement Corbivan Si ça marche...petit cadeau (pas cher (pour moi) mais beau) car votre poème m'y a fait penser… https://www.youtube.com/watch?v=WnwDamLUu_0 |
Robot
21/8/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Est-ce une ville existante, ou la métaphore d'une ville. J'ai pensé à une ville du Moyen Orient ou de l'Afrique du nord, en bord de mer. Une sorte de Babylone.
Et s'il y a la ville, il y a l'homme (ou la femme) qui en parle, qui est né la-bas, qui à la fois semble la haïr et la regretter. Une prose poétique ou les mots frappent. |
Anonyme
21/8/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Des mots qui ne laissent pas insensible ; des images fortes et expressives pour narrer cette ville que l'auteur semble haïr, du moins ce qu'elle est à présent.
Mais le souvenir de celle-là même qui abrita sa jeunesse le contraint à revenir " Je te porte dans ma chair partout où je vais. Tu as hameçonné mes jours. Tu as liquéfié mon futur. Tu as séquestré ma sérénité. Pourtant je suis ici, je suis revenu, je choisis de revenir. Je choisis de te provoquer en duel, de me combler de ton hystérie. Et j'accepte ! J'accepte la face lugubre de ta lune de mardi, j'accepte les éraflures de ton calvaire sur ma jeunesse ! Ville de malheur, je te reproche d'être mon paradis ! " passage somptueux !! entre autres. |
Vincendix
22/8/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Une litanie trop « pleurnicharde » et trop grandiloquente pour me toucher réellement, les grandes douleurs sont muettes.
Un côté positif avec le dernier verset, malgré la répétition lancinante du verbe espérer. |
Brume
23/8/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour OiseauLyre
J'avais bien aimé le début: les images, la tonalité, cette force. Mais au fur et à mesure j'ai fini par me lasser: trop grandiloquent, trop de qualificatifs, vous en faîtes des tonnes. Je pense que vous auriez pu vous arrêter à la 8e strophe, le regard fier, cette note positive: "Que tu étais grande quand l'or brillait sans honte entre tes mains" Parce qu'ensuite ça devient vraiment too much. Mais bon quand on est passionné à quelque chose on a souvent tendance à en faire trop. Malgré tout les images sont originales, j'ai apprécié la vitalité de vos vers, et la diversité des tons auxquels je reprends les mots d'une commentatrice: amour-haine, dégoût, tristesse et fierté. |
MAXOREB
9/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Cette ville décriée en même temps magnifiée par les mots. Beaucoup de ressentis se bousculent et s'interpénètrent. Elle est "dans la peau de l'auteur qui en décline à la fois les travers, quelque chose d'ignominieux presque et cependant son envie est si forte de la voir présenter de nouveaux visages ! Une belle énergie s'en dégage, le désir de faire autrement "car espérer c'est déjà un peu courber le monde". Nombre d'images sont saisissantes aussi : "tu as hameçonné mes jours"
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