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Curwwod
14/1/2015
a aimé ce texte
Pas
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Un épisode supplémentaire de Star War ? L'auteur est manifestement très influencé par ce courant post romantique quoique se présentant comme futuriste. Je n'aime pas trop ce bref texte sans vrai caractère : une déclaration d'amour et une demande en mariage (il ne manque que les gants beurre frais) dans un environnement intergalactique à sabres laser téléscopiques.
C'est dommage car l'auteur me paraît savoir bien écrire, maîtriser plutôt bien la technique du sonnet néo classique. Mais le sujet qu'il a choisi de traiter ne m'inspire strictement rien sinon une forte envie de rigoler. |
Anonyme
21/1/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un sonnet de science fiction ou d'art moderne qui, ma foi, tient bien sa partie.
C'est inventif mais j'espère ne pas avoir un jour un droïde dans mon lit quoique pour servir le petit déjeuner ? Bon, c'est bien écrit même si je n'ai pas tout compris : Quelle est cette vaste prison ? Et cet autel de la royauté ? Je pense que les grands lys de métal doivent être des statues modernes. |
papipoete
11/2/2015
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour Olivier549; dans un premier temps, j'ai pensé à un héros féminin, mais pas si sûr que cela, j'hésite à situer la scène. Un Roméo des temps modernes prisonnier intergalactique ou de Daesh, où l'on n'a pas le droit d'aimer sans y être autorisé, croupit dans une geôle à quadruple vitrage, ou à même le sang des suppliciés. Que n'avait-il pas montré au Roi, tout ce à quoi il était prêt pour conquérir le coeur de son aimée?
Il espère garder courage face au trépas, en rêvant "de marcher vers l'autel devant la royauté" Un "sonnet" intersidéral qui nous éloigne des mots bleus qu'on soupire au bas d'un balcon...du côté de Véronne |
Anonyme
11/2/2015
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SalutOlivier549
J'apprécie vivement que l'on accommode le sonnet, fut-il contemporain, à la sauce Starwars. Ça lui donne un sacré coup de jeune et c'est un joli pied de nez aux cervelles de moineau promptes à dénoncer les formes anciennes. J'aime qu'en alexandrins on cause lys de métal, droïde ou laser. Que l'on y évoque les amours contrariées d'un guerrier intergalactique pour un robot aux cheveux de verre. (Contrariées est un euphémisme car le narrateur va se faire trancher le chef) Merci Olivier549, vous m'avez bien fait sourire. |
Anonyme
11/2/2015
a aimé ce texte
Un peu
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C'est plutôt original de transposer un thème futuriste dans une stucture poétique académique. Cependant je trouve l'osmose peu réussie car finalement il n'y a rien de très novateur. L'amour contrarié et la royauté, bof. J'aurais aimé davantage d'anticipation, de modernité, de science-fiction quoi !
Sinon l'expression est correcte à part ce vers qui me semble assez lourd : "Voient pour avoir ton cœur tout ce que je puis faire". |
Anonyme
11/2/2015
a aimé ce texte
Bien
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Un sonnet intergalactique à souhait ! Pour qui a baigné dans la Science-Fiction depuis son plus jeune âge - ce qui est mon cas - je me suis délecté de cette courte aventure de droïdes.
Une belle maîtrise tout de même ! |
Edgard
11/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Salut Olivier 549,
Mais si, mais si ! Voilà du nouveau! Surprenant dans un sonnet. Plastic face, à la tête ovoïde est amoureux de la (super je suppose) nana aux cheveux de verre, la princesse. C’est super chouette votre truc. C’est un amour irrésistible, car les droïdes, quand ils aiment, ils ne se posent pas de questions. C’est mécanique, à fond l’amour. Et quand c’est beau, un droïde, c’est beau. Un point c’est tout. Pas de poils dans le blaze ou d’oreilles décollées ! Pas d’état d’âme. L’amour dans toute sa puissance. Même pas peur ! Et c’est torché de main de maître. Décor sublime en un seul vers : « Les grands lys de métal du jardin de ton père… » Waaahhh ! Et la dernière strophe, la tragédie, terrible. « Et j’attends le moment où ma tête ovoïde croisera le laser, au milieu de la nuit. » C’est tout de même autre chose que les séducteurs gominés de la télé-réalité ! Vive les droïdes ! Je me suis bien marré. Bravo. (Baudelaire aurait apprécié) Ceux qui n’apprécient pas ne sont que de pauvres humains... ils ne perdent rien pour attendre… Bien cordialement |
Anonyme
12/2/2015
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Bonjour, désolé, mais bien que ce texte soit bien écrit, ce qu'il contient n'a strictement aucun intérêt. On pourrait même ajouter qu'il est gonflé de clichés SF à deux balles. Un petit tour chez Van Vogt, Asimov, Herbert, Silverberg et son époustouflant Majipoor,serait une excellente révision pour donner un petit coup de balai à tant de lasers, d'ovoïdes, et autres lys de métal (on n'a pas attendu l’ère des voyages galactiques pour faire de la sculpture sur métaux). Pauvre roi Méritz et son infecte cour, un bien gentil gnome à côté de l'Empereur-Dieu de Dune... Merci tout de même pour ce petit tour en fusée de fête foraine.
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Pussicat
14/2/2015
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Bonjour Olivier549,
Déjà votre pseudo présage un avenir où l'Homme sera numéroté, marqué d'une puce et d'un numéro lui retirant toute identité... je plaisante. J'apprécie la transposition du sonnet à la mode 23e siècle, comme Tizef, toutefois je suis déçue par son contenu. Je m'attendais à une plus grande richesse dans le décor et les images. C'est un sentiment de déception qui domine... A bientôt de vous lire |
Robot
18/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un texte qui se tient. L'écriture est belle et je ne suis pas de ceux qui chipoteront sur l'opportunité d'adapter le sonnet à la SF. J'apprécie l'originalité de la démarche.
Sur la manière, même si on sent l'influence et la volonté de la SF, j'ai surtout pensé à un chant dans le style des sagas celtes. Et j'ai beaucoup aimé. |