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Brume
26/2/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour
Le rythme me pose problème. Je ne comprends pas l'intérêt d'isoler certains vers dont les fils conducteurs me semblent aléatoire comme : -" Et l'heure dépensière " - "Des instants tour à tour " - " Et les lunes contraires " Le rythme est bancal, et son traitement me perturbe. Il y a tout de même une jolie écriture. J'aime beaucoup la première strophe, les images sont belles et éveillent les sens visuels et auditifs. Je vous suggère de mieux soigner la ponctuation ou de ne pas en mettre du tout pour une meilleure fluidité. Et aussi de supprimer l'article "Et" dans vos vers isolés car cela alourdit le propos. |
Provencao
1/3/2018
a aimé ce texte
Pas
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J'avoue que cette poésie libre manque de liberté...si je puis m'exprimer ainsi.
Il y a un versant que je qualifierais de mélancolique et une légère tentative désespérée de recouvrer un souvenir assez authentique au demeurant en ces vers;" De l’amour de nous A peine un souvenir, Un reflet d’avenir Qu’emmure le miroir" Qui à mon sens se renferment dans le vers final :" Et puis le noir." Comme si vous vous vouliez profaner, une capacité sans limite à vous approprier l’inappropriable. Je n'ai pas saisi la subtilité du poème... Au plaisir de vous lire Cordialement |
Anonyme
2/3/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Simple, court et beau à la fois.
Que dire de plus? J'aime beaucoup,'Et les lunes contraires','Et l’heure dépensière', ces deux vers forts, détachés du reste. Merci pour la lecture. Fowltus en EL |
papipoete
13/3/2018
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Ombhre
l'auteur se rappelle de cette rencontre d'où il gomme les teintes sombres, et ne veut garder que le bleu de ce ciel sans nuage ... NB " faire court " en poésie est une gageure, et l'on reste à la lire quelques fois frustré ; c'est un peu le cas ici, et je comprend bien que " saveur " signifie plaisir et que " les automnes bruissants " n'existent que dans la vraie vie, non pas dans " un souvenir d'été " ! |
Anonyme
13/3/2018
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Je me suis noyé dans le fond. Trop codé pour moi. Au plaisir !
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Anonyme
13/3/2018
a aimé ce texte
Bien
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" Les jours passent chacun avec sa saveur prore ".
Oui des saveurs très inégales. Parfois sucrées, mais aussi amères. Chaque jour fabrique un souvenir. " Nous garderons le vent, Les forêts balancées, Pas d’automne bruissants, Un souvenir d’été " Si notre mémoire était en mesure de ne conserver que les bons, ce serait bien ... " À peine un souvenir, Un reflet d’avenir Qu’emmure le miroir Et puis le noir " Mais il nous appartient de ne pas nous laisser submerger par le noir des mauvais souvenirs ; autant que faire se peut... |
Donaldo75
14/3/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Ombhre,
J'aime beaucoup le rythme, la musicalité de ce poème, et ce dès le début. "Nous garderons le vent, Les forêts balancées, Pas d’automne bruissants, Un souvenir d’été" Le point d'arrêt, équivalent rythmique du refrain dans la chanson, permet d'avancer dans la perspective. "Des instants tour à tour" La suite n'est pas trop longue, reste sobre, ce qui évite au flux poétique de se diluer. Le point d'orgue est bien vu. "Et puis le noir." Tout est posé, évoqué, peint. Bravo ! Don |
Pouet
15/3/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bjr,
J'ai été emporté par le début que j'ai trouvé fort beau et musical (jusqu'à "Des instants tour à tour") Par la suite j'ai un peu moins apprécié, notamment la toute fin qui ne me convainc pas trop, particulièrement ce dernier vers qui vient rompre le rythme trop brutalement à mon goût. Mais l'ensemble reste agréable à lire. |
Lulu
15/3/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonsoir Ombhre,
En ce qui me concerne, j'apprécie assez le rythme et la tonalité de ce texte. Cette dernière dit beaucoup de "la saveur des jours", de leur fugacité. J'aime assez certaines tournures, comme "Les forêts balancées" ou les "Pas d'automne bruissants"... Je me suis, toutefois arrêtée à "lunes contraires", n'ayant pas saisi le sens ou l'image souhaitée... Les derniers mots me semblent sombres. Ils dénotent, cependant, un sentiment tout à fait compréhensible. Le temps qui passe peut être perçu différemment selon nos expériences de vie. Ici, c'est "l'humeur de nos jours", mais aussi de belles choses qui semblent intemporelles parce que notées, inscrites, finalement, dans le cadre d'un poème. En définitive, j'ai bien apprécié cette lecture dont le sens m'a semblé plus clair en relecture. Cordialement. |
MioModus
19/3/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le titre est un bel appel à la lecture !
Au point final, nous ne sommes pas déçus. Une belle musicalité se dégage de vos mots. J'aime beaucoup ! |
Eki
20/3/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Clair-obscur sur la saveur des jours, c'est un joli poème éthéré dont j'ai pleinement savouré la lecture.
Le charme de la poésie opère... Eki emporte les belles images |
Anonyme
21/3/2018
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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J'ai ressenti le besoin de lire votre écrit de différentes manières, d'abord dans son ensemble, puis seulement les phrases détachées, et enfin les strophes.
J'ai eu l'impression de regarder comme un tableau, l'impression sous tous ses angles, cela opère un ressenti très fort qui vous enserre par sa structure maitrisée naturellement. La profondeur produite dans "La saveur des jours", se distingue avec véhémence. C'est très vivant et vivace. Ce beau poème excelle dans l'agréable moment de sa lecture. Tout est là, sans défaille pour nous combler et nous émouvoir sans tapage. |
Gabrielle
19/5/2018
a aimé ce texte
Bien
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Les oppositions marquent ce poème :
"Un souvenir d’été" et "L’ombre dense des sens"(et même d'une façon générale opposition entre la 1ére et la 4èmè strophe : "Nous garderons le vent, Les forêts balancées, Pas d’automne bruissants, Un souvenir d’été" et "Nous restera la nuit Dans nos regards sertie, L’ombre dense des sens". Je note également une opposition entre "De joie" et "et puis d’absence". Ces oppositions sont présentes comme pour marquer la succession des "états" "de l'humeur de nos jours". "Les lunes contraires" accentuent l'effet souhaité. Puis "l'amour de nous" avec là aussi une opposition entre "À peine un souvenir, Un reflet d’avenir Qu’emmure le miroir" et la chute du poème. Dans l'ensemble, on passe de "l'humeur de nos jours" au "noir", comme une allégorie de la vie qui n'est qu'un passage sur terre et dont "le noir" fait partie. G. Michel |