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Corto
6/5/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ayant visité en son temps et pour mon très peu de bonheur cette région défigurée par l'entassement de monstres de béton, je suis plutôt dérouté par cette poésie.
Mais comme on nous dit qu'en "mi-saison, le sable est déserté", rien n'est donc perdu ! Les touristes partis, restent les habitants qui voudraient survivre, tel ce "vendeur ambulant au visage de vieux sable" (belle image), mais il va "vers un avenir auquel il ne croit plus". Les dégâts du tout-tourisme, puis ceux des événements politico-économiques sont partout. Ne reste que le partage avec ce beau final "En silence, je m'assois à mon tour, et partage un moment murmurant avec cet ami que je ne connais pas". Merci pour ce tableau hélas noir et qui espère la clarté. |
Anje
6/5/2019
a aimé ce texte
Pas
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Prose.
J'hésite. S'agit-il de poésie ou d'une histoire ? Le récit de cette promenade est bord de mer est agréable à lire mais bien fade à mon goût. Il manque de couleur, de senteur marine, de vie. Une petite correction à apporter encore. "..qu'il fixe quand néanmoins." On pourrait peut-être en faire une petite nouvelle. Anje en EL |
INGOA
9/5/2019
a aimé ce texte
Un peu
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Je ne retrouve pas dans cette description sommaire et négative les ingrédients touristiques du port d'El Kantaoui qui a, certes, poussé trop rapidement pour des attraits purement commerciaux, mais ne ressemble en rien à cette image de désertification semblant seulement habitée par des sourires d'antan. Je trouve ce tableau un peu trop rapidement dressé.
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Robot
30/5/2019
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Je reçois votre texte bien écrit plus comme un récit que comme une poésie car le thème est trés descriptif sans beaucoup d'images. Le texte nous expose une situation en usant surtout de qualificatifs.
Une carte postale singulière qui ne m'a pas déplu et dont je ressens l' aspect dégradé, mais pour laquelle je ne mettrai pas d'appréciation concernant la valeur poétique. |
TheDreamer
30/5/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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De la poésie libre et simple. Ce que j'apprécie c'est l'authenticité qui se dégage de ces quelques lignes. Justesse du ton et réalisme poétique des images pour décrire la vie.
Je retiens en particulier : "... droits et dignes dans leurs habits fripés". "Un vendeur ambulant au visage de vieux sable...". Merci. |
papipoete
30/5/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour Ombhre
Une prose ( la forme étant rare ) attire mon regard, qui bientôt s'embue tant ce paysage est triste, malgré le soleil qui monte la garde ! Ici, point de cohorte touristique en tongs et portant Lumix en bandoulière ; passez votre chemin, y'a plus rien à voir ! Si justement, il y a cet homme qui pêche du vent... il ne rentrera pas bredouille... NB une chronique du bord de mer, où même les maisons " pas finies " font peine à voir... |
Anonyme
30/5/2019
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Port El Kantaoui, de surcroît à " mi-saison ", n'est certes pas Venise...
On ne se marche pas dessus ! Rien à visiter, pas de vestiges ; juste pour 'garer' son yacht ? Ce texte exprime plutôt un ressenti de l'auteur. J'ai trouvé cette description assez subjective. Je n'ai pas été vraiment séduit. |
Davide
30/5/2019
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Ombhre,
On aurait pu substituer le "Port El Kantaoui" par bien d'autres bords de mer, tant ce texte se lit comme une errance ou une rêverie intemporelle. Tout semble vaporeux, quelque peu imprécis, en témoignent les nombreuses occurrences des mots "loin" et "vers", ou encore l'utilisation de termes vagues et génériques, souvent répétés : les "pêcheurs", le "sable", le "ciel"/les "cieux" et "l'horizon"... Quelques répétitions malencontreuses, notamment ces "fixent"/"fixe" plutôt familiers et disgracieux pour évoquer l'image d'un regard figé. Je pense qu'il manque à ce texte une personnalité, quelque chose qui le singularise, mais l'égarement d'un rêve ("Mes pas s'égarent...") n'est-il pas confus, par définition... Car il y a de belles images, de belles comparaisons ou métaphores, tels ce "sable ocellé d'algues" ou ces "enfants de pierre mort-nés". Une écriture poétique (très) élégante, mais peut-être un peu trop sage, trop "photographique" et sans surprise. Malgré tout, je ne peux pas nier que j'ai bien aimé cette émouvante promenade sur ces rives désertes, vraiment touchante. Merci du partage, Davide |
Queribus
31/5/2019
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Tout d'abord, je dirai que j'ai trouvé ce texte à mi-chemin entre poésie et nouvelle même s'il comporte, à mon avis, quelques belles images poétiques. Je l'aurais plutôt transformé en véritable nouvelle en étoffant le récit. Toutefois l'ensemble se lit facilement car écrit dans une langue simple et correcte mais, globalement, je reste sur ma faim. Bien à vous. |
Donaldo75
31/5/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Ombhre,
Réussi. Simple. Pictural. Voici les premiers qualificatifs qui me sont venus à l'esprit quand j'ai terminé ma lecture. D'ordinaire, je trouve beaucoup de poèmes en prose trop racontés, descriptifs, à la limite de la très courte nouvelle. Ce n'est pas le cas ici. C'est la raison de l'impression picturale; cette sensation de lecteur est même presque cinématographique, un peu comme Luchino Visconti quand il tournait une scène comme si c'était un tableau. Et s'il fallait insister sur la réelle poésie de ce texte, il suffirait de relire la dernière phrase. Bravo ! Donaldo |
Ombhre
31/5/2019
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poldutor
31/5/2019
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Ombhre
Entre la poésie et la nouvelle, je pencherai plus pour la poésie. Il y a de belles images : le visage de vieux sable, le sable ocellé d'algues desséchées, une épuisette telle un attrape rêve... autant de belle images poétiques dans un texte bien écrit. J'aime. Cordialement. |
natile
6/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Cette ballade solitaire et triste de voir le beau côtoyé le pire m'a touché. Je ne connais pas ce lieu mais je peux imaginer sa beauté à une époque à travers le regard de ce pécheur. La dernière phrase est belle. Merci pour ce moment.
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