Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche


Poésie libre
Ora : À l'aube
 Publié le 12/10/16  -  17 commentaires  -  1417 caractères  -  330 lectures    Autres textes du même auteur

Périple d'une Déesse en Terre Humaine.


À l'aube



À l’aube des temps
Éternel présent
Je pars et reviens comme si de rien
Et pourtant !

De tourbe et d’ombre
De chair et de sang
À l’aube… je suis morte
Bien souvent

Un jour à l’aube
Finie la supercherie
À l’aube patiente
Venue l’heure de la prophétie

De racines et d’ailes
Élance et bondit
À l’aube étincellent
Écailles de lapis-lazuli

Libérés les mondes
Les 13 réunies
Soudainement à l’aube
Illusion et peur se sont enfuies

Et l’aube révèle
Unité Cœur, Corps, Esprit
À l’aube merveille !
Enfin le Jour, fin de l’oubli

Au couchant de l’est
Le Cèdre fredonne
À l’aube de l’ouest
Il se libère, je rayonne

Et l’aube calice
Me dilate en Joie
De Divins délices
De tendres ébats

À l’aube je fonds
Je meurs et jouis
Je libère les ondes, à l’aube
De ma Divine énergie

Sève Lumière
Console, réconcilie
À l’Aube j’abreuve en corps
De mon Amour Infini

Je creuse et me dresse
Fille de l’Ourse,
À l’aube nouvelle
Je ris de la course !

Prêtresse à l’aube,
Magicienne Je Suis
Je me joue du temps
J’inspire, je révèle, je guéris

De cristal à l’aube,
De Lumière je vis
Divine et puissante
Éternelle, Je Suis.


 
Inscrivez-vous pour commenter cette poésie sur Oniris !
Toute copie de ce texte est strictement interdite sans autorisation de l'auteur.
   Proseuse   
27/9/2016
 a aimé ce texte 
Bien
Un poème agréable à la lecture, bien rythmé surtout , mais d' une strophe à l' autre parfois, c' est un peu "décousu" et je me perds ! je n' ai pas bien compris "les 13 réunis" ?
merci beaucoup

   Pimpette   
12/10/2016
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
première strophe superbe...

C'est qui cette déesse? La Grande Ourse? La petite? Autre chose?

mais c'est secondaire le sens exact!
C'est bien écrit, moelleux,poétique en diable.

"Et l’aube calice
Me dilate en Joie
De Divins délices
De tendres ébats"

ma strophe chou chou!

   Anonyme   
12/10/2016
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Un poéme assez agréable à lire, même si je le trouve un peu long.
Trois strophes de moins auraient aéré la lecture et évité que je finisse par m'ennuyer un peu.

Le propos sur l'Aube est bien mené, même s'il n'est pas très original (mais peut on l'être en poésie !).

Un gros gros bémol pour ces deux vers:
- Magicienne Je Suis
-De lumière je vs

Les inversions verbe complément sont ridicules, je trouve, j'ai l'impression de lire du Yoda...De plus rien ne les justifie vraiment.
Comme elles arrivent en fin de texte, elles cassent un peu tout.

Dommage.

   Anonyme   
12/10/2016
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Bonjour Ora,
Très bon premier poème sur le site, en petites touches de lumière, en petits riens de mystère qui ouvrent des portes vers des mondes, des vies inconnues. Quelle belle déesse se promène entre ces mots ?
Est-ce à l'aurore, à l'aube, simplement la Lumière qui éclaire la Terre, qui illumine l'esprit ?
" A l'aube" revient comme un refrain, c'est très souvent bien placé, idéal, mais à d'autres passages ça l'est moins. Dommage, quelques petits coups de gomme, quelques petites écoutes de ce texte lu à haute voix permettraient une bonne musique, un poème presque parfait.
J'ai aimé: le premier quatrain et le deuxième, sans condition; mes préférés:
"De racines et d’ailes
Élance et bondit
À l’aube étincellent
Écailles de lapis-lazuli
.... ....
Et l’aube calice
Me dilate en Joie
De Divins délices
De tendres ébats

À l’aube je fonds
Je meurs et jouis
Je libère les ondes, à l’aube
De ma Divine énergie ", sauf que le " à l'aube" après les ondes me semble en trop.

Pour conclure, un très beau premier essai, plein de lumière et de mystère.
Merci pour cette déesse de l'aube.
A te relire bien sûr, avec impatience.

   Lulu   
12/10/2016
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Bonjour Ora,

je trouve que vous avez été superbement inspirée pour la première strophe qui insuffle un très beau rythme. J'aime notamment ce vers : "Je pars et reviens comme si de rien". De même pour la seconde strophe. Vraiment très belle.

Ensuite, je me suis lassée de la répétition du mot "aube". Je crois qu'une fois le décor planté, il n'était plus utile de répéter ce mot à chaque strophe, mais ce n'est pas ce qui m'a le plus gênée.

Ce qui m'a le plus perturbée dans cette lecture, c'est la longueur du texte du fait de strophes trop décousues. Si le mot "aube" revient, il n'y a pas de forte unité dans l'ensemble. Ainsi, on pourrait enlever certaines strophes, sans que cela change considérablement le texte, ce qui est dommage.

Dans la quatrième strophe, je n'ai pas compris quel était le sujet des verbes "Elance et bondit". Cela m'a semblé complexe, et n'ai pas trouvé en relisant...

Je n'ai pas compris ce que pouvait signifier "Les 13 réunis".

Pour améliorer ce texte, je miserais sur un texte à peine plus court.

Bonne continuation et tous mes encouragements.

   plumette   
12/10/2016
 a aimé ce texte 
Bien ↓
je suis entrée avec facilité dans ce poème grâce au phrases courtes qui impriment un rythme très plaisant.
mais passés les deux premières strophes que j'ai beaucoup aimé mon intérêt s'est émoussé progressivement , entre autres parce que certains passages m'ont paru plus obscurs que d'autres.

"De racines et d’ailes
Élance et bondit
À l’aube étincellent
Écailles de lapis-lazuli"

A quoi se rapporte les verbes élance et bondit qui sont au singulier quant tout le reste de la strophe est au pluriel?

la répétition du mot aube, quelquefois 2 fois par strophe, a gêné ma lecture, comme si " le bon dosage" avait été dépassé.

je salue la strophe reprise ici, très belle, trè poétique. lorsque la poésie est là, le sens a moins d'importance! c'est la musicalité, ou ce qui est entraperçu ou ressenti qui compte.

"Et l’aube calice
Me dilate en Joie
De Divins délices
De tendres ébats"

je trouve aussi que la longueur nuit à l'ensemble.

Bonne continuation et à vous relire sûrement.

Plumette

   MissNeko   
12/10/2016
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Que c est léger, délicat et bien joli.
Les vers courts donnent une impression de vitesse très agréable, un étourdissement.
J aime beaucoup. Merci pour ce partage.

   Anonyme   
12/10/2016
Une poésie à l'écriture limpide ; mais je n'ai pas réussi à entrer véritablement dans ce texte.
" À l’aube étincellent
Écailles de lapis-lazuli " belle image

   Johannes   
12/10/2016
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Ce que j'ai apprécié dès la première lecture de ce texte, c'est sa grande musicalité.
J'ai également aimé le ton positif de l'ensemble, ce qui ne constitue évidemment pas un jugement de qualité poétique, mais simplement l'expression d'un goût personnel.
J'avoue cependant certaines difficultés de compréhension, certaines strophes restent obscure pour moi. Évidemment, la poésie n'est pas faite pour être « comprise » au sens littéral du terme, mais il faut tout de même que le lecteur ne soit pas complètement « largué ». Or, c'est ce qui m'est arrivé à la lecture de certaines strophes, ce qui est sans doute dû à ma propre incurie.
Il y a très peu de signes de ponctuations, ce qui est évidemment le choix de l'auteur, mais peut-être un tant soit peu plus aurait-il facilité la lecture ?
J'ai par ailleurs apprécié que le leitmotiv « à l'aube » ne revienne pas systématiquement au même endroit de chaque strophe (ce qui donne parfois un sentiment de procédé dans certaines poésies), mais qu'il revienne aux moments musicalement appropriés.

   Marite   
12/10/2016
Tout le long de ma lecture j'ai attendu cette Déesse dont les deux premières strophes annonçaient l'arrivée. Elle reste toujours inconnue pour moi, sans doute me manque-t-il certaines "clés" pour comprendre et la découvrir.
La répétition du mot "aube" et la longueur du poème m'ont lassée et restent plusieurs points hermétiques :
" ... l’heure de la prophétie
... Les 13 réunies
... Unité Cœur, Corps, Esprit ..."
Certains mots avec une majuscule m'intriguent aussi ...
Mais peut-être que ce poème exige une certaine initiation pour l'appréhender pleinement.

   Anthyme   
12/10/2016
 a aimé ce texte 
Beaucoup
La conscience humaine a définitivement compté, compté et pesé les Zeus à barbe pour irrémédiablement les rejeter de son présent.

Un strapontin reste cependant accessible pour les déités femelles …
… innocentes qu’Elles sont des désastres de leur domination.

À charge maintenant pour Elles d’apporter leur contribution pour faire être l’Être qui est à être, hors des sentiers étriqués que les barbus avaient balisés, dans l’aube des vignes à maturité hier encore interdites.

Bonnes vendanges à mes sœurs !

   papipoete   
12/10/2016
 a aimé ce texte 
Un peu
bonjour Ora,
ce premier poème édité montre la couleur, avec ses phrases oniriques que le commun des mortels a du mal à décrypter !
Comme devant une toile si abstraite, j'essaie de voir ce que le peintre voulut interpréter, et m'avance devant l'oeuvre suivante, juste à côté, mais ...
Je ne puis me prononcer sur la qualité de l'écriture, hormis " l'aube " que vous rappelez à chaque strophe, qui lasse finalement .
Les amateurs de cette fibre poétique apprécieront sans doute .

   Brume   
12/10/2016
 a aimé ce texte 
Bien ↓
Bonjour Ora
J'ai été gêné par la répétition de "à l'aube" qui n'apporte pas grand chose et ne fait que desservir votre poème.
Je suis perdue dans votre poème, je n'arrive pas à me représenter cette divinité, son essence est brouillée sous des vers trop denses.
En revanche le rythme est fluide, musical. Et puis il y a de jolies images, mais je pense qu'il faut élaguer pour un résultat moins fouillis.

   Anonyme   
13/10/2016
 a aimé ce texte 
Bien
Séléné-Artémis ?
Je ne vois personne d'autre.
A part le terme "aube" trop présent, j'ai aimé ce style, un peu étonnant, jusqu'à déroutant.
Et ce 13, qui est-il, qu'est-ce?

   Vincendix   
13/10/2016
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Je suis toujours curieux de lire les poèmes dits libres mais bien souvent je décroche avant d’arriver à la fin. Cette fois, ce n’est pas le cas, j’ai suivi le périple de cette déesse de l’aube jusqu’au bout. Pourquoi ? C’est peut-être en raison de la répétition du mot AUBE. Curieusement les quatre ou cinq fois que j’ai rencontré ce mot, je trouvais cette redondance lassante puis, m’habituant, j’attendais de le retrouver plus loin. Sa présence devenait indispensable et sa localisation différente dans chaque strophe apporte un plus. Au moins le titre est justifié, il n’y a pas guère de « Troyes ».
Tout de même un peu de brouillard dans cette AUBE, j'espère que votre prochain texte sera moins nébuleux.

   Pussicat   
20/10/2016
Un premier texte agréable à lire, malgré sa longueur et ses répétitions parfois inutiles ( "aube" x 16 sur 52 vers peut-être avantageusement remplacé par des déclinaisons sur le temps : aurore, début, commencement, jour... sur la lumière, les couleurs, la nature, minérale et végétale... ou plus simplement "Elle"... / ou encore : mourir : "À l’aube… je suis morte Bien souvent" / "À l’aube je fonds Je meurs et jouis" ),

La première strophe annonce pourtant une belle promesse, déclenche une attente mais qui reste sans lendemains, dommage...
Des strophes hermétiques, voir incompréhensibles comme :

"De racines et d’ailes
Élance et bondit
À l’aube étincellent
Écailles de lapis-lazuli"

Tous mes encouragements Ora et à bientôt de vous lire,

   Vincent   
23/10/2016
 a aimé ce texte 
Passionnément ↑
bonjour,

j'ai adoré votre texte

j'ai eu l'impression très nette

de me retrouver dans une boite espagnole à sa fermeture le matin tôt vers sept heures

une boite ouverte vers l'extérieur

et cela se passait dans les années 70

merveilleuses années

je voix bien votre texte chanté

accompagné à la guitare avec un dernier verre

j'ai adoré


Oniris Copyright © 2007-2023