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Brume
19/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
J'aime beaucoup votre univers. Onirique, original. Voilà un poème concis qui percute. Vous m'avez emmené ailleurs, et ça ce n'est pas rien. Il y a des petits détails comme: -" Je pense aux soleils sous le sol " - le vers " aux soleils " mis au pluriel est simple, mais c'est dans l'étrangeté du poème. |
Anje
20/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Contemporain.
Un texte psychédélique qui me laisse assis sur le trottoir, pas sûr d'en avoir compris le sens. Il m'interpelle donc et je reviens le lire, le relire restant suspendu aux soleils sous la peau. Mais de quoi s'agit -il ? Que sont ces soleils ? J'espère une suite, quand les étranges visions reviendront dans votre rue. |
lucilius
22/10/2018
a aimé ce texte
Pas
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Je ne comprends pas grand chose aux descriptions des visions que ce texte rend hermétiques.
"Déjà je sens et vois faiblir l'écho rampant d'anciens astres…" me plonge dans une totale nébulosité. Et la suite me submerge : "A temps pour désigner le cerf, pour voir son sang bleu se répandre, à temps pour découper le nerf, voir la veine et l'œil se défendre". S'il s'agit d'un épisode de chasse à courre, il s'est trompé de série. Il me faut une clé de décryptage, sinon rien. |
Stephane
3/11/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonsoir Oslow,
C'est un poème complexe que je ne comprends pas vraiment mais dont les notes étrangement subtiles me parlent, en quelque sorte. "Une vision dans la rue", mais pourquoi pas en pleine forêt ? Je pense qu'il faut prendre l'oripeau et la peau non pas au sens littéral mais sous forme de métaphore. J'y vois un voyage onirique, presque métaphysique. Le soleil décrit peut-être la vie qui palpite sous la peau, mais pour le "sang bleu", cela reste une énigme... Stéphane |
Anonyme
3/11/2018
a aimé ce texte
Un peu
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" Monte le col
dans ma contrée de nuit vermeille. Puissent les autres m'accueillir comme si j'étais l'un des nôtres." Ce passage, ainsi que l'exergue m'ont fait supposer que c'est un sans-abri qui s'exprime.(?) – À temps pour désigner le cerf, pour voir son sang bleu se répandre. À temps pour découper le nerf, voir la veine et l’œil se défendre." N'ayant pu déceler une quelconque métaphore, je n'ai pas du tout aimé ce passage. En conclusion un avis plus que mitigé sur ce texte. |
Luz
3/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Oslow,
J'aime bien ce genre de poème, comme un petit conte fantastique, un rêve. Il n'y a peut-être rien à comprendre, ou plutôt tout à imaginer. C'est intéressant la rupture "et je m'endors... Monte le col". Le soleil, c'est la vie, comme le sang (bleu) ? Merci. Luz |
Donaldo75
3/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Oslow,
J’ai trouvé ce poème étrange, presque morbide. Il m’a fait penser à Hamlet, au personnage tel qu’on l’imagine, non pas dans la pièce de Shakespeare mais dans le mythe qui en a résulté. Je vois bien Hamlet, un peu comme le faisait feu David Bowie en concert sur le morceau « Cracked actor », se poser des questions, voir le monde en gris et en noir, le tout devant un public venu écouter ses tirades, parce qu’elles sont belles et désespérées, venues d’un prince pourtant né avec un cuillère en or dans la bouche. Bravo ! Donaldo |
Anonyme
4/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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j'aime beaucoup vos acrobaties bien réglées d'écriture, vos esquives qui donnent de la force au texte et que l'on retrouve par exemple dans ces deux vers subtilement détournés:
'Puissent les autres m'accueillir comme si j'étais l'un des nôtres.' j'aime aussi les champs libres qu'offre le poème. Merci |
papipoete
4/11/2018
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bonjour Oslow
" Je pense aux soleil sous le sol, aux cristaux en état de veille et je m'endors ... " jusque là, je vous suis et après mon esprit se perd et une peinture abstraite tombe devant mes yeux ! Je ne cherche pas à deviner, ni interpréter ; seul le maître étale sa fulgurance ... |
Anonyme
8/11/2018
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Ce poème, très créatif (que j'ai déjà commenté vingt fois dans ma pensée), évoque, au point de l'abstrait, sans figurer qu'images indirectes ; « comme si j'étais l'un des nôtres » m'est un vers incroyable, si dur, si caché, et pourtant si évident. Il y a une coulée à ces octosyllabes assez monstrueuse me faisant songer à Blanchot ; obscurément le poème se charge des jeux d'un orchestre qui ne s'épanouit jamais : le lyrisme paraît se paralyser dès lors qu'il trouve tremplin ; la virtuosité cède à l'image, jusqu'à la briser à sa première formation essayée. La forme courte trouve ici une force inconcevablement bizarre et biaisée, et j'en suis fort satisfait.
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