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Robot
10/4/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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La simplicité de ce texte pour parler d'une révélation soudaine surgie du quotidien m'a intéressé. Bien aimé le questionnement final qui conclut habilement tout ce qui précède. Par contre j'ai vainement cherché un renvoi se rapportant au (1) du titre. Ou Est-ce l'annonce du début d'une série portant ce titre ? Et cette incertitude m'a agacé...
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Anonyme
13/4/2014
a aimé ce texte
Pas
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Une réalisation soudaine de l'absence de son empreinte dans un lieu sensé être imprégné d'un partage et de l'identité de chaque individus, est décrit ici d'une façon assez neutre.
Je ne lis pas une poésie ici mais juste une simple observation bien banale. ça manque de sentiment, il ne suffit pas de dire que le narrateur est effrayé il faut que ce sentiment soit transmis au lecteur. Je ne demande pas un texte avec des métaphores et des exercices de style mais j'aurai aimé lire de l'intensité, du palpable, du caractère. |
Anonyme
14/4/2014
a aimé ce texte
Pas
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Désolé pour son auteur, je croirais lire une page de journal intime avec juste des retours à la ligne pour faire poème. On pourrait imaginer que ce texte s'est voulu volontairement banal pour exprimer un quotidien mais - ne fût ce qu'en finale- un émoi, un ressenti exprimé aurait vraiment compensé le reste.
Vraiment désolé. |
Anonyme
17/4/2014
a aimé ce texte
Bien
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Je trouve intéressante cette expression du sentiment de dépossession de soi par un homme, cette impression finalement de n'être qu'un élément du décor. Comme quoi il n'y a pas que des femmes-objets !
Sur la forme, je ne déteste pas ces vers courts, hachés, qui marquent l'inquiétude montante, mais je les trouve trop systématiques, n'épousant pas bien le rythme de pensée qui (selon mon impression) est en général plus varié ; je pense que votre poème gagnerait en vivacité avec des vers plus inégaux, des rassemblements plus audacieux sur le même vers ou au contraire des coupures inattendues. Tels quels, les vers correspondent grosso modo à des groupes grammaticaux et se révèlent à mon avis un peu attendus. |
LeopoldPartisan
18/4/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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gai, rafraichissant et plaisant dans un style vraiment décomplexé. un bien bon petit poème judicieusement existentialiste.
J'en redemande. |
leni
30/4/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Palakp
Votre texte m'a plu dès la première lecture Il me fait penser à du Prévert:lorsque tu me dis je t'aime tu me fais peur Votre finale est dans le même style On vous lit sans se casser la nénette Quelques sonorités pourraient être améliorées L'ensemble est très chouette Salut cordial Leni Edit ajouté Tu dis que tu aimes la pluie, et tu fermes la fenêtre. Tu dis que tu aimes les fleurs, et tu leurs coupes la queue. Tu dis que tu aimes les poissons, et tu les pêches et tu les manges. Alors quand tu dis que tu m'aimes, j'ai un peu peur. Voici le poème de Prévert auquel je fais allusion:Aimer Dans mon commentaire j'ai parlé de texte dont l'idée me séduit Est-ce de la poésie?je n'en sais rien Il a bien été reçu comme tel |
Condremon
30/4/2014
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Ah j'aime bien
Se réveiller tout chose en quelque sorte... |
Marite
30/4/2014
a aimé ce texte
Pas
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Cette "Histoire d'L" s'apparente davantage à une prose ordinaire, simple, qui fait un état des lieux, avec distance, sans émotion aucune. Pour ma part je ne vois rien de poétique dans ce texte dont les mots mis bout à bout n'ont pris que l'apparence d'un poème. Peut-être l'auteur devrait-il repenser et revoir la présentation du sujet et en faire une courte nouvelle, c'est le (1) qui me fait penser qu'il y aura une suite ... je mets l'appréciation en fonction de la catégorie dans laquelle a été présenté cet écrit.
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Arielle
30/4/2014
a aimé ce texte
Pas
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Puisque le narrateur ne souhaitait ni emboucher l'olifant ni charmer les muses pourquoi diable s'est-il donné la peine de découper de façon tellement artificielle un extrait de son journal intime ?
La réflexion n'est pas inintéressante mais pourquoi tenir tant que ça à lui donner l'air d'un poème en la saucissonnant de la sorte ? Je ne lis que la prise de conscience d'une situation assez banale que seul l'humour pouvait sauver de la platitude. J'aurais bien vu un portrait de l'artiste aux yeux assortis à la couleur des rideaux par exemple. |
Anonyme
30/4/2014
a aimé ce texte
Pas ↑
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Intéressant, mais pas révolutionnaire. On est entre l'existentialisme et la poésie de Gainsbourg, en beaucoup moins bon quand même.
Il manque un peu de travail, de souffle et de recherche... |
senglar
30/4/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Palakp,
Après la femme l'homme-objet mais l'homme ici choisi n'a pas à se plaindre puisque la femme va jusqu'à le toiletter, voire le dépoussiérer :) Ambiance très cosy. Lol Beaucoup d'humour :))) brabant |
Anonyme
30/4/2014
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Bonjour Palakp,
Le titre à lui seul est toute une histoire, où l’un se fond dans elle. Un style particulier qui fait dégouliner l’image, sans fioriture. La vraie vie, quoi ! Derrière cette mise en scène dépouillée où l’on pourrait se croire à l’abri, l’angoisse monte quand même. Etre pris pour un objet… brr... Il m’aura fallu un temps de doute pour traverser la fausse banalité. Aurais-tu seulement voulu prouver comment on peut faire à moindre frais de la poésie ? Ou alors la vraie poésie, c’est celle des choses simples ? Léni parle de Prévert. Pour en arriver là, ici il me manque un peu de sa magie, mais l’humour saupoudre bien ses effets. Cat dubitative, et repentante si je me trompe |
Anonyme
30/4/2014
a aimé ce texte
Vraiment pas ↓
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Bonjour, et bien ce n'est pas la peine de le finir ce joint car franchement c'est pas de la bonne. L'inspiration qu'il donne est au ras des paquerettes et c'est sûr que cette L a choisi ce fumeur de pétard, sans doute avachi dans son canapé (même peut-être caramel, si ça se trouve), juste pour le côté potiche (encore que comme déco il y a mieux).
Désolé, mais là, on touche le fond. |
David
30/4/2014
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Palakp,
"Quand on ne se plaint pas de ce qu'on nous fait, on finit par avoir par avoir l'air coupable", il y a quelque chose de cela, je trouve, dans le poème, ainsi qu'un phénomène plus physique : l'évaporation rafraichit le corps qui la subit, comme ces espèces de porte-bouteille en terre, à humidifier pour manger dehors, au soleil. ici, c'est le sentiment qui semble s'évaporer. De "seul" à "vie", le décor devient comme un miroir à retardement, reflétant ce qui ne se trouve plus dans la pièce, des souvenirs sont venus choisir une mémoire à hanter, brrr... |
Anonyme
30/4/2014
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Bonjour Palakp
Votre texte est représentatif d'une tendance lourde sur les forums de poésie Copier/coller un fragment de journal intime et le découper par de nombreux retours à la ligne pour lui donner une allure de poème. En maltraiter en outre la syntaxe pour faire "contemporain" est assez courant. Votre texte échappe à ce travers. Techniquement, il est très bien écrit. En langage parlé, certes, mais bien tenu et suivant une rigoureuse progression vers la chute. Hilarante. Le joint, que vous fumez puis que vous écrasez, lui donne une jubilatoire sensation d'instantané. Sur le fond il est très chouette. J'aime beaucoup cette forme d'humour. Dans le genre évoqué au début de ce com votre texte est donc très supérieur à la moyenne. Mais vu le niveau, ce n'est pas un exploit. Merci Palakp, vous n'avez pas raté votre entrèe :o) |
Lulu
30/4/2014
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Je ne vois rien de poétique dans ce texte, ni dans le fond, ni dans la forme. Il ne suffit pas, en effet, de faire des retours à la ligne pour composer des vers. Enfin, le contenu est vraiment inintéressant au possible pour ne pas dire déplacé.
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Anonyme
1/5/2014
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Bonjour.
Ce qu'on peut dire sur votre texte, c"est qu'il a au moins le mérite d'attirer les foules. :-) Je l'avais lu en quarantaine et mon idée était que vous vous moquez du monde. Vous devez bien vous marrer en lisant les commentaires. Je souhaite longue vie à ce qui va peut-être devenir une saga de l'ennui. Je me marre aussi. Et vive la poésie! |
Edgard
1/5/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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P… ! 18 commentaires ! Et un premier mai encore ! Sûr qu’ils ne sont pas tous des petits bouquets de muguet ! Il y en a qui tuent…mais l’indifférence, aussi, elle tue.
J’aime bien ton poème. Il a quelque chose de sympa ton bigorneau silencieux, enfumé jusqu’au trognon, vautré dans son canapé, et qui se demande s’il ne fait pas partie seulement du décor ! Quant à l’écriture, ça me paraît bien en accord avec le fond. C’est plein de liberté, bien dans le décor, bien dans l’ambiance (les meubles, les tableaux, la télé…). C’est un personnage quoi ! Il y en a des comme ça, mais qui ne se posent même pas la question. La marmelade de l’habitude. Bon, un p’tit brin de muguet de ma part. |
widjet
1/5/2014
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Pas mal en fait.
Une soudain éclair de lucidité. Non dénué d'humour (c'est quand le type est "high" qu'il devient le plus clairvoyant). J'ai déjà lu un texte qui disait la même chose, je ne me rappelle plus où. Pour ce genre de texte, pas besoin de poétiser ou de chercher à faire joli, sinon ça sonnerait faux. Un cendrier pour Noël ? La connasse ! W |
Palakp
1/5/2014
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Ce texte fait partie d'un ensemble qui s'intitule Histoire d'L, il y a donc une suite mais pas avec la même L, disons que ce sont des scénettes concernant quelques dames rencontrées un jour ou l'autre et qui m'ont inspiré la plume.
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Damy
1/5/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Moi j'ai bien aimé. Les vers flashent une série de photographies sur le décor jusqu'au "selfie" du poète qui ne fait qu'en faire partie.
Un sourire jaune à la fin. C'est saisissant ! la composition d'ensemble est bien rendue, amha. |
Anonyme
3/5/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce genre de poème me renvoie un peu à des auteurs comme Bukowski et surtout Carver dont la poésie s'apparentait d'avantage à de la prose versifiée.
Ce court texte raconte pas mal de choses mine de rien. Une impression, un sentiment non enrobé de figures de style. Quelque chose de soudain, de brut un peu comme un haiku à rallonge. En beaucoup plus bavard. à lire avec du recul. |
irisdenuit
6/5/2014
a aimé ce texte
Bien
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J'aime bien ce constat de l'amour superficiel !
la chute du poème me plaît également Merci Iris |