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Anonyme
22/7/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bitume délirant que le soleil boursoufle.
C'est ce vers qui me donne tout de suite envie de commenter votre poème, car je trouve des plus judicieux le choix des termes "délirant" et "boursoufle" ; j'ai littéralement vu, au moment où je lisais, le goudron cloqué par le soleil. J'adore quand quelques mots s'imposent à mes sens ! Sinon, bon, le sujet m'indiffère à la base, je ne vous le cache pas. J'ai toutefois trouvé touchant votre narrateur, mais sans m'apitoyer sur lui car votre poème me semble aussi une célébration de la force de l'imagination : le narrateur parvient à vivre grâce à elle seule les affres et le triomphe d'une ascension du mont Ventoux à vélo, et vous parvenez à me les faire partager. Une vraie gageure vu mon recul devant l'effort physique. J'ai donc passé un fort bon moment dans la roue virtuelle de votre narrateur, jusqu'aux incertitudes de rythme qui m'ont plu parce que je les ai ressenties comme de cruels cahots sur un bitume irrégulier puisque boursouflé ; c'est cohérent ! Et d'ailleurs : Le ruban noir s’étire, petit à petit Le rythme 7/5 me paraît ici ajouter à l'expressivité. Le ruban noir s'étire tellement qu'il déborde l'hémistiche. |
poldutor
29/7/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
Le mont Ventoux, cime isolée qui verrouille le Vaucluse (vallis clausa) paradis ou enfer des cyclistes, déjà pénible à gravir en voiture, doit être une horreur pour adeptes du deux roues! "De loin, on pourrait croire tes flancs enneigés", mais ses flancs tiennent plus de la Lune que d'Isola 2000 et effectivement de loin on dirait de la neige... Il est doux de rêver quand l'âge vous fige, que l'on a été un hardi grimpeur, mais le poids des ans ne permet plus de se hisser. J'aime ce poème sans prétention à la gloire de "mon" Ventoux! Bravo pour l'effort "platonique! Cordialement. poldutor en E.L |
Miguel
30/7/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un poème très agréable à lire, une sorte d'hypotypose pleine d'humour, mettant en scène un personnage attachant. L'effort nous est raconté sur un mode distancié et souriant, et cette fin équivoque offre deux lectures :mon rêve est réalisé, ou bien mon rêve nocturne s'achève (deux situations très différentes, mais également plaisantes). Les vers sont mélodieux, les rythmes en rapport avec l'idée d'effort et d'enthousiasme.
Miguel,en EL |
Cyrill
7/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je ne crois pas avoir bavé sur les forums où on raconte sa vie que dans ma jeunesse je faisais aussi du vélo. Avec des sacoches bien pleines et la tente pour bivouaquer. Plutôt du cyclotourisme, donc.
Maintenant que c’est dit je passe aux choses sérieuses parce que le Mont Ventoux c’est pas la même catégorie, je m’incline ( le cas de le dire ) avec mes petites grimpettes dans le Vercors et sur les plateaux ardéchois. Faire une poésie sur une ascension c’était pas gagné. Surtout que voyant le titre, d’une, en bon dyslexique j’ai lu mystique au lieu de mythique donc vous imaginez ce que je pouvais attendre de ce texte. De deux, je ne sais plus, y a pas de deux. Réussir à métaphoriser en vers réguliers sur les joies de cette étape, juste à côté de la sueur et des crampes, c’est balaise tout de même. À mettre du lyrisme mâtiné d’ironie dans cet effort inhumain, c’est beau ! Quand les images à la télé nous montrent en gros plan des coureurs qui crachent dans des bouteilles et boivent dans … les mêmes ? Ouf, non ! Eh bien à côté de ces images de pros robotisés il y a notre Papipoete qui grimpe gratuitement et en songe, en véritable amoureux de la petite reine, et nous relate tout ça avec adresse et tendresse, passion même. Je ne fais pas de citation, l’ensemble m’a plu, je suis passé outre quelques faiblesses, rattrapées par de bien succulentes images et un vocabulaire du même tonneau. Si les notes étaient des couleurs, je mettrais du blanc à pois rouges ou le contraire, le maillot du grimpeur quoi. |
Eskisse
7/8/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Papipoète,
La course cycliste ne me passionne pas, j'en suis désolée, mais vous avez su la mettre sous mes yeux de façon vivante en alternant notamment récit et discours direct. J'ai bien aimé l'humour crée par le jeu des hyperboles :"tétanise mes jambes", "c'est le naufrage", "terrible obstacle". Le fait que le narrateur imagine tout cela est touchant. |
Lariviere
7/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Salut papipoète
Déjà je te remercie d'avoir rendu un hommage certain à ce Mont Ventoux cher à Pétrarque un autre poète de l'ancien temps... Sur le fond, j'ai aimé cette ascension imaginaire d'un petit bonhomme qui se rêve en roi de la grimpe, c'est à la fois tendre et amusant comme axe de traitement... Sur la forme, j'ai beaucoup aimé ces vers bien pensé, que les points d'exclamations rythment et dynamisent agréablement pour faire coller la forme au fond. Grace à ces petits éléments ont est immergé au plus près dans les coups de pédales du narrateur, même si ceux si sont fantasmés... Les vers donc déroulent le récit avec de bien belles images ; pour connaitre le Mont ventoux presque comme ma poche, on s'y croirait, bravo ! Merci pour cette lecture agréable et bonne continuation |
Annick
7/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Voilà un rêve magnifique et consolateur.
D'ailleurs le narrateur nous prévient d'emblée que c'en est un. Le rythme est irrégulier comme l'est le rythme du Tour de France à vélo. Un poème vivant entre réalité et poésie. Le vocabulaire de la seconde strophe est celui du combat. Le vent n'est pas un allié ni le soleil puisqu'il boursoufle le bitume. L'image est réaliste et la route personnifiée. Les phrases courtes et les points d'exclamation donnent du nerf à l'épreuve. Une double recompense à l'arrivée : la première, c'est le délectable mirage, la capture du ciel, l'impression que le cycliste foule du pied la lune et la deuxième, c'est la victoire de l'effort. La tension retombe au dernier vers : " Je t’ai conquis, Ventoux ! » Ainsi se clôt mon rêve." Un poème très agréable à lire où une surprise attend le lecteur à chaque vers, comme à chaque tournant. |
Bodelere
7/8/2022
a aimé ce texte
Bien
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Ah ! Le Mont Ventoux !
Pour moi... Même pas en rêve Vent, froid, chaleur... La totale.... Le Ventoux c'est un gros cailloux perché à près de deux mille mètres d'altitude. Merci Papipoete pour cette ascension douce du narrateur sur le plan physique et tonitruante sur le plan des mots. L'humour certes, mais en filigrane beaucoup de boulot pour retranscrire l'effort que subit un cycliste qui monte le Ventoux. Pas de problème de dérailleur et l'arrivée au sommet est un succès |
Anje
7/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Sans doute le rêveur était au marché de Malaucène où il fit déjà une halte me semble-t-il. Ce vieux marché inspire notre poète et fait pousser des ailes non pas au cycliste mais à sa bicyclette.
J'ai bien senti passer la chaîne à gauche et, dans l'effort, presqu'entendu craquer le dérailleur. J'ai vu bien d'autres cyclistes me doubler mais quel bonheur de faire la mouche sur le Mont Chauve ! Alors je ne vais pas regarder à la manière, à l'écriture car le récit me plaît et me suffit. Merci Papipoète. Vous mériteriez bien un bouquet. |
Lebarde
7/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour papipoete
Même en rêve cette ascension est tellement impossible pour la plupart des humains normaux, a fortiori pour nous que l'âge et/ou l'handicap agressent, que vous n'avez aucun regret à avoir, il faut être fou pour s'embarquer dans une telle galère, ce qui n'exclut pas d'être admiratif devant ceux qui réalisent cet exploit. Ayant souvent passé des vacances sur le plateau d'Albion tout proche, j'ai eu l'occasion à plusieurs reprises d'aller voir le tour sur le mythique Ventoux et notamment le jour de la victoire mémorable de Virenque. Nous partions tôt le matin depuis Sault, coté Chalet Renard mais de bien plus bas encore, tout droit à pied par des chemins de randonnée pour atteindre la stèle "Tom Simpson", objectif situé à environ un km du sommet, où avec un léger pincement au coeur, nous regardions, un rituel émouvant qui perdure, d'abord les officiels s'arrêter pour déposer une gerbe puis repartir, et la plupart des coureurs, maintenant trop jeunes pour avoir connu l'ancien champion terrassé sur ces pentes blanches par l'effort et la chaleur, du premier au dernier, ralentir un peu et jeter par respect, qui leur casquette qui leur bidon ou leurs gants. Une preuve de plus qui montre que ce sommet ce n'est pas rien et laisse des souvenirs douloureux malgré les années. J'en reviens à votre poème qu'on ne m'a pas présenté en EL...auquel cas je l'aurai commenté . Oui du pur papipoete comme je l'aime avec ce brin d'émotion, de sensibilité et d'humanité comme vous savez si bien le distiller. Dommage que votre ambition de poète s'arrête au néo...vous valez tellement mieux que cela ...quelques rimes à peaufiner c'est si peu et ne lâchez rien comme disent les jeunes. Bravo et merci. A bientôt Lebarde |
Anonyme
9/8/2022
a aimé ce texte
Bien
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Yo papinou !
Bon, je n’y connais pas grand-chose en vélo et pas mal de trucs m’échappent dans ta poésie mais c’est bien rythmé, vivant comme tu sais le faire. Il est bien sympa ce vieil homme qui se voit grimper la montagne en rêve ! Anna |
Hiraeth
7/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Cher papipoete, c'est, je crois, le premier de vos textes à susciter mon enthousiasme ! Il y a quelque chose de magique dans cette lecture fluide et plaisante qui nous donne à voir, avec humour et simplicité, la course vivace d'un rêve qui part du prosaïque pour atteindre l'épique et le lyrisme. Cela me donne presque envie de faire du vélo.
Presque. |
Anonyme
7/8/2022
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Bonjour Papipoète,
J'aime bien lire les rêves d'un auteur ou narrateur, parfois c'est un peu fou, parfois sans queue ni tête. Le vôtre est sympathique mais je l'aurais peut-être plus apprécié sous forme de nouvelle, prose ou récit poétique. Mais c'est un goût personnel. |
senglar
7/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour papipoète,
"Je t'ai conquis, Ventoux : Ainsi se clôt mon rêve." Quand un rêve se clôt par une victoire c'est merveilleux. Il n'y a en effet qu'en rêve que l'amateur parvient sur ses deux roues au sommet de ce géant mythique qu'est le Ventoux ! Héroïque Tom Simpson ! Hommage ! Vous l'avez donc vaincu à l'insu de votre plein gré malgré vos jambes mortes puisque vous citez Virenque. Je plaisante, Virenque était un formidable grimpeur que j'ai admiré. Et puis dopés ils l'étaient tous, ça remet sur un pied d'égalité. Bon pas de pot belge ici, simplement une énorme envie de ressembler à ces bagnards en cuissard. Un "versant rôti", un "ruban noir", le "bitume délirant", une "Bastille", un "fortin", une "boucle sans fin", de "noirs méandres", un "manteau pierreux"... Tous les ingrédients du cauchemar étaient réunis. ... qui vont se révéler "Mer de tranquillité", "couleur de clarté tendre". Il fallait un héros qui ne fût pas de "pacotille" Seule la rime a exigé de le nommer ainsi. En raison de mon passé de coureur amateur non rêveur contemporain du père Vasseur (Alain) que j'ai côtoyé en course à ses débuts, tutoyé ensuite, je certifie ce poème. Senglar le Flahute* *Catégorie de rudes coureurs belges (Flamands) type Plankaert et autres Van Loy et Van Sterberghen qui vous envoyaient promener un Darrigade comme un ballon de rugby. Ben oui ! |
Provencao
7/8/2022
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Bel ami papipoete,
"Mont Ventoux ! À nous deux ! Me voici à ton pied ! Le cœur fébrile, à la manière d’un Virenque, J’attaque cette côte, privé d’équipier, Menant un train d’enfer… au point que l’ardeur manque." Qui aurait cru que "Mon vélo – ce destrier ailé qui m’emporte… " relate l'insaisissable, décrit l'indicible, magnifie le Mont Ventoux, transfigure l'ascension.... J'ai été sous le charme de ce Ventoux qui nous livre ces secrets les plus oniriques soient -ils . Au plaisir de vous lire Cordialement |
Anonyme
8/8/2022
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour
Le "géant de Provence" en fait rêver plus d'un. Un texte qui se lit avec plaisir où je ne m'attarderai pas sur la prosodie. J'aurais aimé un quatrain sur le valeureux Tom Simpson qui y laissa sa peau en 1966 je crois. J'aime bien la Mer de tranquillité dont je foule la grève. |
Polza
8/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour papipoete. Toujours en manque de temps pour commenter convenablement, je m’arrête néanmoins sur votre poème qui m’a fait sourire. J’ai trouvé l’ensemble drôle avec des expressions poétiques, c’était un bien joli rêve. J’ai eu l’impression d’entendre Cyrano racontant une fictive ascension du mont Ventoux avec son panache légendaire… P.-S. Durant ma lecture j’ai parfois eu peur que l’humour prenne le dessus sur la poésie et en y réfléchissant à deux fois, ce qui m’est resté au final, c’est la tendresse que j’ai éprouvée pour le narrateur de ce récit et donc c’est réussi ! (Pour moi en tout cas)
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EtienneNorvins
8/8/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Qu'ajouter, sinon que total réfractaire aux joies du vélo, j'ai quand même été emporté par cette montée qui devient quasi homérique épopée, jusqu'à la suspension finale : ce rêve, est-ce d'avoir atteint le sommet - ou de se réveiller, déraillant, emberlificoté et en sueur dans ses draps ?
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StephTask
8/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Papipoete,
Étant un fan de vélo et des écrits d’Antoine Blondin qui a magnifié le vélo et surtout le Tour de France, c’est avec plaisir que je fais étape sur ce poème. Première impression : j’ai été emporté par votre plume et je me voyais pédaler aussi bien qu’avec l’aide d’une application de cyclisme d’intérieur. Le thème est très original et la rime avec Virenque est hardie. Pour le prochain, pensez à Gaudu, Pinot ou Alaphilippe ;-) Le traiter en alexandrins est une jolie performance digne du maillot à pois. Un petit bémol : je n’ai pas trop aimé les petits points qui permettent de distinguer le rêve de la réalité. Je trouve cela un peu inesthétique. Il aurait fallu utiliser un procédé symétrique avant « Ainsi se clôt… » . Le cadratin aurait pu être une solution plus subtile… Bref, j’ai beaucoup aimé : vous êtes aujourd’hui le roi de la petite reine. |
Myo
8/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Cher Papipoete,
Vous ne vous attaquez pas au sommet le plus facile. Avec vous, on se sent tout petit devant la majesté du lieu et modeste dans cet effort qui puise la force au profond des fibres. Un défi relevé avec brio comme celui de l'écriture. Tant qu'un homme rêve encore, il vit. Myo |
Puzzle
9/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pour moi qui ne monte plus sur un vélo depuis que je suis tombée l'idée de le faire par procuration est un voyage agréable. Je t'accompagne en pensées Papipoète et pédale le long de tes vers n'ayant gravi le Ventoux qu'en voiture !!
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Cristale
10/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour papipoète,
Voici un bien joli rêve, de quoi se réveiller essoufflé dites-donc :) Je vous ai suivi "dans votre roue" poétique sans peiner sur la route de vos vers. De charmants paysages entraînent le lecteur en haut de ce mont mythique si cher à nombre d'entre nous et encore plus à ceux qui ont la chance de l'avoir sous les yeux chaque jour. Vous nous envoyez une carte postale, animée de vos mots, des plus jolies, pour cela, merci papipoète. Cristale |
Vincendix
14/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour papipoete,
On peut toujours rêver, cela ne coûte aucun effort. Ce texte nostalgique me rappelle la côte de l'église que peu arrivait à gravir à vélo sans poser pied ! En tout cas, l'exercice d'écriture est réussi, les vers forment une chaîne parfaite qui ne déraille pas. Vincent |
Yannblev
21/8/2022
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Bonjour Papipoète,
En matière de Ventoux je ne me suis jamais risqué qu’à la descente d’une AOC de ses côtes, rouges ou rosées. Alors forcément j’admire d’autant plus cette application qui est la vôtre à dresser à la perfection le poème qui relate une ascension où vous parvenez à vaincre la douleur musculo-tendineuse par une sorte d’émerveillement spatio-temporel que vous offrez généreusement et artistiquement en partage. Chaque mot, chaque strophe embellit l’effort à consentir. Sans jamais dérailler, pour sûr, vous l’avez bien conquis cet Olympe des petites-reines. Merci pour cette chevauchée |
inconnu1
1/9/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Papipoète,
Ayant un peu profité des vacances, je n'étais pas venu vous accompagner dans votre montée du mont ventoux. J'ai particulièrement apprécié les 2 derniers quatrains. J'ai moins apprécié le tétanise mes jambeux.. Ce e muet qui traine sur l'autre rive de la césure beurk. Mais j'apprécie que vous quittiez vos octosyllabes pour venir enrichir les dodéca Bien à vous |
Bidis
11/7/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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En cette période de tour de France, j'ai bien apprécié cette très vivante illustration. Un peu comme si je me trouvais sur le parcours au milieu d'une foule en délire...
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