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Vincendix
17/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Serait-ce une Vénus cyclope ?
Trêve de plaisanterie, cette gérardine comme vous l'annoncez est agréable et facile à lire, c'est déjà un bon point. Le sujet, sans être original est tout de même important, la solitude est certainement pénible à vivre. Ces trois couleurs vont ulluminer votre vie, je vous le souhaite NB J'avais deviné le nom de l'auteur, après le rendez-vous galant manqué... J'attends la suite, avec une conclusion heureuse! |
Pouet
29/12/2015
a aimé ce texte
Pas
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Bjr,
Je ne suis pas trop entré dans votre poème. J'y ai trouvé trop de platitudes vous m'en voyez bien désolé. Des expressions comme "sur moi son œil se pose", "air morose", "fière allure", "redoute l'augure", "sourire flatteur" etc... Tout cela sonne trop "cliché". Mise à part l'éternelle "Vénus" je n'ai pas trouvé ici de métaphores ou de comparaisons susceptibles de me faire vibrer. Enfin, ce texte m'a vaguement fait pensé à Aïcha écrite par Goldman pour Khaled. En résumé je pense que si l'intention est bonne, la forme est à revoir pour faire partager au lecteur que je suis toute l'émotion de cette rencontre. Subjectivement votre. |
Anonyme
3/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Vous avez choisi une forme qui convient vraimant bien au sujet de votre poème. Une chose m'a vraimant gênée : les couleurs. Elle a le cheveu noir, un manteau rouge et cela fait d'elle une amazone rose. Cela ne m'a pas parlé. Sinon, on lit ici un grand espoir et cette crainte vibrante d'être encore déçu. J'aime. |
Mauron
7/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Quand on choisit ces contraintes quasiment millénaires que sont les vers réguliers, les strophes, les rimes, on ne doit pas s'attendre à produire "du neuf". Hélas, c'est ici le cas, tous les poncifs de la poésie classique sont présents. Ils sonnent agréablement mais donnent l'impression d'avoir été déjà lus un millier de fois... Mais au fond, ce texte est comme une reproduction d'ancien, ce n'est pas un travail de poète, plutôt un joli travail d'artisan versificateur. De ce point de vue, cela me semble tout à fait réussi. La forme choisie, cette Géraldine est à la fois rare et efficace, et la syntaxe, un peu chantournée et subtile, se tient parfaitement au fond malgré les apparences, même si c'est pour ne rien dire que de très conventionnel. C'est précieux et inutile comme un petit bijou, une perle faussement baroque sur lesquels on pourrait néanmoins détourner un instant les yeux. De "L'art pour l'art"?...
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leni
17/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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a Papipoète
Un poème bien écrit sur un sujet fertile Voilà l'espoir Dans cette impasse au loin, je crois l'apercevoir Portant ces trois couleurs. La femme a fière allure ! En avançant vers moi, passera sans me voir Car trop belle pour moi ? J’en redoute l'augure. Mais un doute plane comme un épervier Time will tell Bonne chance...Et que fasse le ciel... Merci Salut cordial Leni |
Anonyme
17/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour papi.
Dommage que ce poème débute par un vers à la syntaxe on ne peut plus douteuse : ce qu'enfin est détestable et la forme pronominale du verbe poser pose problème. Après le texte prend son envol même si l'amazone rose me percute quelque peu, tout comme l'élision du pronom devant passera. Comme les textes de votre serviteur et commentateur : à retravailler, papi, il y a de quoi faire un beau poème. |
banni
17/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Papipoete,
Une bien jolie gérardine, taillée au cordeau, à la versification maîtrisée et qui se laisse agréablement lire. Un beau travail d’orfèvre. Certes les images ne sont pas nouvelles mais elles vibrent toutefois comme les notes d’une vieille boîte à musique que l’on redécouvre dans une malle du grenier et que l’on écoute avec nostalgie. Le dernier vers, écrit à l’identique du premier (la forme implique que le dernier vers reprenne tout ou partie du 1er), m’a un peu déconcerté : trois vers au-dessus, Vénus vous adresse un sourire puis cueille votre main ! Pourquoi donc, en ce dernier vers, prier le ciel qu’elle pose son œil sur vous ? À moins que tout ceci ne soit qu’un rêve (comme le titre le suggère) et qu’une supplique à ce qu’il devienne réalité… Bien à vous |
Arielle
17/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Après la maritorne du dernier rendez-vous galant, cette amazone rose me rassure : Papipoète va jouir des feux de l'amour, je n'en doute plus !
Il faut reconnaître que vous avez soigné votre mise, une gérardine impeccable habille cette dernière rencontre. Je sens qu'elle va craquer la sublime Vénus même si je vous avouerai que je la trouve un peu trop belle dans le rôle. Je préférais, et de loin, les filles du dancing que courtisait le vilain petit canard dans " Je marche comme ça" mais des goûts et des couleurs, n'est-ce-pas ... |
Anonyme
17/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Papi, salut ! Bien... Entre "artisans versificateurs", ( bien aimé ce qualificatif, lu dans un com. précédent, que je revendique plutôt que celui de "poète" que je ne suis pas, fermez la parenthèse !), entre "artisans versificateurs" disais-je, et je rajouterai de la "vieille école", on ne va pas se perdre en ronds de jambe...
Si cette gérardine répond, pour ce qui est du contenant, à ce qu'on attend de cette forme à la fois classique et contemporaine, le contenu laisse tout de même à désirer sur certains points... Le premier vers, et par là même le dernier, est un peu tordu quant à sa construction : Fasse le Ciel qu'enfin, sur moi son œil se pose ! Ensuite l'amazone rose... Son manteau doit être rouge très pâle sinon je ne vois pas. Dans ce passage... La femme a fière allure ! En avançant vers moi, passera sans me voir Car trop belle pour moi... Pourquoi pas ? La femme à fière allure En avançant vers moi, passera sans me voir Car trop belle pour moi Ce n'est pas non plus l'idéal mais ça permet à "passera" de posséder un sujet ce qui n'est pas le cas dans la version actuelle. Reste la main déclose ! Déclore nous dit Larousse, c'est enlever la clôture. Métaphore un peu tirée par les cheveux... à mon goût ! Bon voilà le point de vue d'un artisan à un autre ! Pas très miséricordieux mais sincère et je l'espère constructif... A mon avis ta copie est à revoir et Gérardine y gagnera sûrement ! Bon dimanche collègue et ne perds pas de vue que nous ne sommes que des "artisans versificateurs" et non point des artistes et que c'est très bien ainsi ! Edit... La forme respectée de la gérardine et la sincérité de l'auteur valent tout de même une appréciation que j'avais omise par distraction à la fin de mon commentaire. Bien pour la forme et un plus pour la sincérité. |
Robot
17/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Papipoète nous révèle des rencontres qui se succèdent au fil des petits épisodes qu'il nous livre. Il nous a dit précédemment qu'il écrivait à partir d'anecdotes réelles vécues par lui ou par d'autres. En tout cas ces rencontres sont toujours empreintes de sincérité ce qui fait la particularité de notre Papipoète. Cette gérardine est très musicale.
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Francis
17/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une rencontre que l'auteur craint et espère à la fois. Son apparition en rouge et noir ravive ses angoisses. Le cœur s'emballe ! " Elle est trop belle pour moi. " Cette pensée souligne son manque de confiance en lui. Peut-être trop de déceptions antérieures ? On aurait envie de connaître la suite de cette rencontre !
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Anonyme
17/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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" Elle cueille ma main dans la sienne déclose ;
Je sens, au fond de moi, battre et prier mon cœur. Fasse le Ciel qu'enfin, sur moi son œil se pose !" Celle-ci vient faire oublier la déception du précédent "Rendez-vous galant". Elle sera certainement l'âme soeur. |
lala
17/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour papipoete,
Je vous crois très attaché à la forme classique et je salue ici vos efforts et votre persévérance pour vous installer dans cette catégorie. Chaque strophe rapproche votre rencontre, comme par un effet cinématographique. La dame n'est d'abord que pensée, et vous attendez un coup de pouce du "Ciel" pour que l'alchimie de l'amour se réalise. Puis la voilà au fond de l'impasse, ensuite à votre hauteur, puis vos mains se touchent, et vous appelez à nouveau le "Ciel", et cette fois, c'est pour elle, en chair et en os. Je trouve qu'à deux reprises les phrases sont écourtées à la serpe : "De retrouver l'amour, perdre cet air morose", la virgule peine à remplacer "pour" ou encore "de". "En avançant vers moi, passera sans me voir", l'emploi du futur et l'absence de sujet sont gênants. Je n'ai pas bien compris "amazone rose" et main "déclose"... les rimes en ose, évidemment, mais ces choix interrompent la lecture par leur manque de naturel. Une page de vie, sans doute, et une heureuse conclusion, je vous le souhaite. |
Automnale
17/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Papipoète annonce la couleur : celle du froid de la solitude. Ne serait-ce que pour cette raison, ce poème me touche.
Notre ami avait tant rêvé d’Elle, tant rêvé que, sur lui, un œil enfin se pose. Trop de jours ont usé son espoir de retrouver l’amour. Il va au rendez-vous, l’ultime rendez-vous, pense-t-il. La dame a le cheveu noir, porte un manteau rouge, une amazone (peut-être une jupe ?) rose. Au loin, il l’aperçoit, et elle a fière allure. Quel défaitiste ce Papipoète car, déjà, il pense que cette dame est trop belle pour lui ! Mais voilà, elle sourit, prend la main de son poète dans la sienne. Oui, oui, et oui, son oeil se pose… et, très probablement, se fige. Tout ceci est raconté simplement, mais efficacement. Un peintre aurait pu, ce jour-là, poser son chevalet et, de cette façon, nous décrire la scène. Elle est vivante, émouvante, et les couleurs du rendez-vous, elles, ne sont pas froides. Compte tenu du mot « déclose », je pense à Ronsard (et à son Mignonne allons voir si la rose…). En outre, j’ai déjà eu l’occasion de le dire, j’apprécie les récits autobiographiques. Et, surtout, j’ai un faible - j’ose l'avouer - pour Papipoète. Pour l’avenir, peut-être conviendrait-il d’éviter les chiffres (ici, « millier ») et de semer davantage, en règle générale, de métaphores (le mot « impasse », par exemple, manque un peu de poésie). Quant à la ponctuation, je me permets (sans doute parce que je lis à haute voix l’histoire) de proposer : d’ajouter un point d’exclamation après « rencontrer », de supprimer celui après « allure » et de mettre : (deux points) après « magique ». Bien entendu, cette proposition n’engage que moi… Cher Papipoète, continuez de marcher sur les pas de Ronsard qui, entre parenthèse, portait le même prénom de baptême que vous. Non, non, je ne parle pas de « Papi » ! Surtout, continuez à nous toucher, simplement, comme vous savez si bien le faire. Et - j’allais oublier -, mes compliments à la dame brune qui a su deviner, elle, les trésors d’amour et de tendresse qui sont vôtres. Merci, mon ami. |
Anonyme
20/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai été estomaqué par ce texte, bravo et merci papipoète pour ce beau poème qui m'a fait pensé à tellement de choses...
" Faites que sur moi son œil se pose " |
GilbertGossyen
23/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un compte à rebours dans le nombre de vers .... jusqu'à l'apothéose ?
Je vous le souhaite |
Nemo
28/1/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Papipoete,
Cette gérardine me touche par sa simplicité. Ne dit-on pas que l'espoir fait vivre ? Merci pour le partage. Mais je suis étonné de vous trouver dans la catégorie "poésie classique" car, que je sache, le quinzain décroissant de Gérard Laglenne est à classer dans la catégorie "contemporain". Cela aurait-il échappé au "jury" ? Bien entendu, ça ne change rien a la valeur de votre écrit. |
LJB
26/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Sur un thème classique, la recherche de cette fameuse âme soeur, la construction donne un élan particulier à cette quête.
C'est joliment écrit et donne l'envie de croire à l'histoire. |
MioModus
9/3/2018
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Quand je vous lis rien ne se passe...
Beaucoup de mal à aller au bout. |