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lucilius
30/10/2018
a aimé ce texte
Bien
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Il suffit d'un coup de pinceau d'un peintre figuratif, pour qu'un arbuste squelettique prenne l'apparat d'une divinité bouddhiste. L'art de transformer le laid en beau, le dépouillement en enrichissement, la répulsion en adoration.
Lecture plaisante. Je trouve juste un peu trop enfantine l'expression magique "Abracadabra". |
Miguel
5/11/2018
a aimé ce texte
Pas
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Tout va bien jusqu'aux taillis ; après, cela s'obscurcit et tombe dans le sibyllin. Et encore : pourquoi les grandes chaleurs assoiffent-elles les "frères" et pas notre arbre narrateur ? Que signifie "décroitre vilain" ? L'an neuf me semble croitre, au contraire. Je ne comprends pas très bien.
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Vincente
17/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je me suis laissé porter avec plaisir dans le charme désuet de ce joli poème. L’œil attentionné et attendri du narrateur est bien servi par la qualité de sa plume.
Quelle belle inspiration que de peindre en blanc un bel arbre qui s'éteint, qui se pâlit d'ivoire intemporel ! J'ai particulièrement aimé l'avant-dernière strophe : "Un peintre ici vint à passer, Qu’intrigua mon sombre squelette. Parer de blanc un trépassé Germa bientôt en sa palette." |
Anonyme
17/11/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Comme c'est triste un arbre mort dans la nature...
Heureusement que ce " peintre ici vint à passer " et eut cette belle idée (qui est celle de l'auteur) le peindre tout en blanc. Et voilà que ce morne squelette devient une " Dame blanche, " une " déesse aux mille bras ". Je suis moins séduit par le quatrième quatrain, que je trouve un peu laborieux, ainsi que cet "abracadabra ". Une lecture plaisante. |
Annick
17/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ce poème, au sujet d'un orme auquel le peintre donne "une seconde vie", ne manque pas de raffinement avec son vocabulaire médiéval, ou désuet : le fier château, Du Seigneur le Maître de forges, vilain, L’an neuf, le Malin, pauvres hères, un trépassé ...
Les inversions de sujets sont autant de révérences gracieuses : Qu’agrémentait le rouge-gorge - Mais vinrent les grandes chaleurs -Qu’à l’affût guignait le Malin - Qu’intrigua mon sombre squelette. Cet arbre personnifié s'exprimant à la première personne m'a fait penser à ces vilains du moyen âge, paysans misérables, dont la survie dépendait en grande partie des récoltes souvent maigres, hélas, à cause de la sécheresse ou des intempéries... La dernière strophe change de narrateur : comme la conclusion originale d'un joli conte. Et la magie opère : "Abracadabra" ! L'arbre est divinisé. Qui n'a pas rêvé d'être mort et beau à la fois ! Mais le plus tard possible... |
leni
17/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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un squelette peint devient divinité ou ce que l'on veut TOUT est dans l'imagination Les papillons ou des taches d'encre permettent de créer un test psychologique ( RORCHARD?)
Évidemment celui qui ne pense qu'à ça sera vite repéré??? Avant de décroître vilain, L’an neuf m’orna d’une ramure Qu’à l’affût guignait le Malin, Dépouillant à mort ma mâture. a vos pinceaux INHABITUEL et IMAGINATIF MERCI AMITIES LENI |
Queribus
18/11/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
J'ai apprécié dans ce texte la bonne maitrise de la poésie néo-classique. Par contre, le fonds l'est apparu un peu décousu avec des expressions à la limite de la préciosité' ou moyenâgeuses ("Infligeant alors grands malheurs", "Avant de décroitre vilain", "Qu'à l'affut guignait le malin","Dépouillant à mort ma mature",); j'aurais apprécié plus de simplicité et un langage plus direct. Bien à vous. |
hersen
18/11/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime dans cette poésie comment l'imaginaire d'un peintre, sa vision, transforme un arbre qui a eu tant de peine en déesse !
Tu as fait dans le land art, cette fois-ci ! |
Francis
18/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Vieil arbre solitaire, symbole de sagesse , Le pinceau du peintre et la plume de l'auteur t'ont immortalisé. Des racines à la cime tu sembles rejoindre le ciel. Ton vieux squelette et tes branches desséchées te donnent la silhouette d'une déesse orientale.
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Robot
21/11/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Papipoète,
Il est bien beau ton arbre et en regardant la photo on comprend encore mieux ce qui a inspiré tes vers. Que la déesse aux mille bras qui renaît te soit propice. |