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Lulu
25/7/2015
a aimé ce texte
Bien
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J'aime bien le titre qui a attiré mon attention. Sa concision m'a touchée.
Le thème m'a intéressée. L'absence de l'autre est bien rendue. Le moment de la nuit est peut être plus sensible car il est le temps de tous les cauchemars possibles, le temps où l'autre comblait un vide... On sent bien l'angoisse courir tout au long du poème - l'angoisse, plus que la tristesse. Peut-être parce que l'autre vient tout juste de disparaître ? On se retrouve alors comme un enfant face à ses angoisses. La peur du vide, notamment, "ce futur à vivre seul". Indépendamment de cela, je trouve que l'ensemble est bien écrit. Le vocabulaire est simple. Sans recherche particulière. Mes encouragements. |
Anonyme
9/8/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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" Soudain le chagrin me submerge,
Non, ce n'était pas un tourment " Cette " nuit d'après ", ce moment horrible quand on s'éveille et que pendant quelques secondes tout nous paraît normal, puis d'un coup d'un seul on reçoit la réalité en pleine gueule. Un texte sombre, certes, mais empli de sensibilité. |
Anonyme
9/8/2015
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour papipoete,
Pourquoi un " ? " à la fin du dernier vers du premier quatrain ? Je suis étonné également du changement de temps : "ouvre", "disait", "partis" : quelque chose cloche, je trouve. En gros, le texte manque d'originalité et "sent le travail" : exemple : "méchante" > "chante", "où tu t'endors de ce côté" > "la chaleur de ta nudité" "tourment" > "ornement" , "closes" > "écloses"...etc... Pour quoi ne pas avoir libéré votre émotion et l'avoir engoncée dans ce corset qui l'efface et paraît artificielle tant elle est se pare d'une sorte de grandiloquence (pieux ornement, à jamais, à peine,...) qui la rend, à mes yeux en tout cas, un tantinet "surfaite" et peu personnelle en somme ? Essayez donc ! |
Anonyme
9/8/2015
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Salut papipoete... Je suis moi-même passé par cette "nuit d'après" ainsi que celles qui ont suivi mais je n'ai jamais trouvé les mots pour décrire ce que l'on ressent dans ces moments...
Je retrouve toutefois au travers de ces vers ce sentiment de vide et d'impuissance que j'ai connu. C'est un sujet délicat et trop personnel que je ne commenterai pas plus en détails bien que l'ayant parcouru avec beaucoup d'émotion... Bonne continuation. |
Anonyme
9/8/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour papipoete
Que de mauvaises heures sont passées ! Lorsque notre double s'en va, nous sommes bien démunis. Sur le texte lui-même : Il est très difficile de faire partager une si grande émotion, le pari ne me semble pas, hélas, gagné. Trop de lieux communs et trop de mots attendus émaillent ce texte. Dommage, je pense qu'il ne faudrait pas grand chose pour l'améliorer. Ne cherchez pas systématiquement les rimes trop riches, à vouloir trop bien faire vous faites capoter l'ensemble. Soyez plus naturel et plus simple. |
Marite
9/8/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonsoir Papipoète ! Je crois qu'il faut avoir vécu cette "nuit d'après" pour être touché par l'émotion transmise avec beaucoup de pudeur.
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Vincent
10/8/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ce soir, dans cette chambre vide,
Je viendrai me coucher sans toi, M'étendre sur ce lit aride, Ce pauvre abri d'amour sans toit. bonsoir papipoéte il est étonnant que je ne l'ai pas vu en première lecture votre texte je suis particulièrement touché par vos mots qui me vont droit à l’âme ce sont toujours les mots les plus simples chargés par tant de sincérité qui font passer le mieux une grande émotion j'ai beaucoup aimé votre texte |
Automnale
10/8/2015
a aimé ce texte
Bien ↓
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Ce n'est pas facile, cher Papipoète, de commenter un poème inspiré d'un succès cinématographique. Remarquez bien que ce serait encore plus difficile si ce texte vous concernait personnellement (Dieu merci, ce n'est semble-t-il, pour vous, pas le cas).
Ici donc, dans le contexte de Love Story, je ne sais si un coq éveillait, le matin, le couple d'amoureux formé par Jennifer et Oliver... Un coq à New York !... Par ailleurs, je trouve un peu facile ce rapprochement entre "sans toi" et "sans toit" (cela me fait penser à l'histoire du couvreur !)... Et enfin, je n'apprécie pas du tout : "Je revois la flamme du cierge/Eclairant ton pieux ornement". Cela dit, le thème du film est d'un triste... Votre poème l'est aussi... Si tel était votre but, vous avez gagné... Cependant, je suis persuadée - ce n'est pas la première fois que quelqu'un vous le souffle à l'oreille - que vous devriez essayer d'écrire en prose... Vous ne manquez pas d'idées, vous vous exprimez fort bien, vous avez roulé votre bosse, votre sensibilité est à fleur de peau, alors pourquoi ne pas tenter de laisser de côté, au moins une fois, le carcan des terminaisons... J'ai hésité à venir mettre mon petit zeste de citron... Mais c'est ma façon, cher Papipoète, de vous faire savoir que vos textes me touchent. P.S. - Si la flèche de l'appréciation est en bas, c'est qu'il ne s'agit que d'un film (quand bien même a-t-il fait pleurer plus d'un cinéphile...). |
Anonyme
10/8/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Papipoète,
A ma plus grande honte, je ne crois pas avoir vu le film qui vous a inspiré. Ou alors il n'est pas resté gravé en ma mémoire. Ou je le confonds avec d'autres de la même époque, et qui se ressemblaient. Cette scène de réveil brutal avec cette grande absence à ses côtés, la main qui cherche l'être aimé, et la triste réalité qui s'impose, cette scène est un grand classique du cinéma. Vous rendez bien le désarroi qui s'ensuit, puis la tristesse. J'ai aimé aussi, ce qui donne... corps au propos : Cherchant fiévreusement ta bouche / La chaleur de ta nudité. Dans le premier quatrain, à la place de : Que morte, tu partis aux cieux ? J'attendais plutôt : Que morte, tu partais aux cieux. Merci, Papipoète, pour ce poème d'amour blessé. |
Anonyme
31/8/2015
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Bonjour PAPIPOETE
Vous dites que ce poème est le fruit de l’inspiration. Bien même qu’il ait des rimes assez faciles comme closes et écloses, je le trouve très réussi. On part d’un cauchemar pour se terminer sous la sombre réalité. Les deux derniers quatrains sont superbes. J’adore « les paupières à peine écloses pour ce futur à vivre seul » ainsi que » ce pauvre abri d’amour sans toit ». Bravo |
Francis
11/8/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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L'émotion est là et la plume parvient à la faire partager. Quel vide pour celui qui reste quand l'autre qu'on a tant aimé s"en est allé pour toujours ! Il erre sous cet" abri d'amour sans toit", dans cet abri d'amour sans toi. Survivre "pour ce futur à vivre seul."
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lala
15/8/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour papipoète,
Je retrouve votre sensibilité, votre mélancolie, votre envie de partager, et ce partage dans ce poème, c'est la tristesse, le désarroi, la confrontation d'une réalité à laquelle on ne veut pas croire, mais qui est si présente pourtant qu'elle sait se manifester la nuit. Quelques maladresses pour trouver la rime et une fluidité qui se perd parfois n'empêchent pas la transmission des émotions. Pensées de vacances ! |
ameliamo
20/8/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une poésie très belle, mais si triste, même si je comprends bien ce sentiment. Je peux te dire que le temps efface peu à peu la douleur, jusqu’ils restent seulement les beaux souvenirs.
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OH2Warenghien
30/8/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Poésie profonde, emprunt de tristesse..., on se surprend à penser à l'être aimée disparue trop tôt!
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Vincendix
10/9/2015
a aimé ce texte
Bien
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Peut-être le moment le plus difficile à vivre dans la vie de couple, je n'ose penser qu'il puisse m'arriver, je préférerais partir avant.
La nuit d'après doit être longue comme un siècle. |
MissNeko
29/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Magnifique. Beaucoup de tristesse mais vous ne tombez pas dans la pathos tire-larmes.
Des mot justes dans un poème tout en pudeur. |