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Anonyme
19/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un maillet !
J'aime particulièrement cette forme que l'on rencontre assez rarement en poésie. Insérer le même vers en le faisant glisser en 1, puis 2, puis 3 puis 4, présente une difficulté quant à la fluidité du poème et à la cohérence du tout. Vous vous êtes bien acquitté de l'"exercice". De plus, cette forme sied bien au sujet, car ce satané médicament dont le locuteur subit la dépendance l'attire comme un aimant, justifiant la récurrence du vers. ps : pour m'être essayée quelquefois à cette forme, je sais que l'alternance des rimes féminines et masculines est quasiment impossible à respecter. Quasiment ou même carrément, je crois. |
Vincendix
21/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une forme peu ordinaire qui convient parfaitement au sujet de ce poème, la répétition du ver-clé (C'est l'heure du médicament) s'avère efficace.
Combien de personnes ont recours aux somnifères pour dormir, ce n'est pas mon cas heureusement, mais je comprends les angoisses, les nuits sont longues, surtout en hiver. J'aime bien le Bel au Bois Dormant... |
Pimpette
2/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un vrai poète notre Papy!
Sur un sujet assez modeste la poésie est présente avec un brin de drôlerie, et c'est un bonheur à la lecture ça fluide... "C'est l'heure du médicament, Un cachet blanc, un autre rose Que je prends machinalement, Chaque soir pour fondre en narcose." J'aime cette simplicité si difficile! |
Robot
2/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour papipoete
Un bel ouvrage ce maillet. Tu nous a déjà démontré ton talent pour travailler les formes fixes peu usitées. Le thème ici s'accorde bien à la répétition du vers témoin. Une réussite fluide pour un poème sur un sujet traité hors du commun. |
leni
2/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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c'est de la poésie réaliste c'est court c'est excellent
La répétition de c'est l'heure du médicament est bienvenue Vieil arsenic d'apothicaire ! Belle trouvaille! Loin d'être Bel au Bois Dormant, Je m'éveillerai dès l'aurore, Avant de songer tard encore C'est l'heure du médicament. Et ce quatrain final me plait beaucoup Merci pour ce bon moment Salut cordial Leni |
Anonyme
2/11/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour papipoete
Voilà une forme de poésie qui vous convient bien car votre meilleure production est dans ce genre de texte. Même si je n'aime pas trop les poèmes à répétition de vers mais je l'ai déjà dit, je trouve que cette formule sied bien au thème du poème. Ah ce médicament, tour à tour aimant, traître, maître, amant, arsenic, il est une béquille nécessaire pour certains et votre texte rend parfaitement cet état de fait. Si votre histoire est contée ici, essayez de casser ce machinalement, mais c'est plus facile à dire, évidemment. |
phoebus
2/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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La poésie permet aux voix muettes de se faire entendre: un sommeil enveloppé dans un principe actif, enfermé de toutes parts. L'attente, une masse de silence: ce médicament encombre l'espace. Il est devenu figure de l'intériorité.Il porte ce désir fou de salut mais le clocher hurle comme des sirènes d'ambulance.
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Francis
2/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Tic-tac, blanc, rose, tic-tac c'est l'heure du médicament. La dépendance, le rituel est bien rendu par la répétition de ce vers qui dégringole progressivement à la dernière place de l'ultime strophe.
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Anonyme
3/11/2015
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Salut papipoète
Mine de rien, la forme du maillet n'est pas facile à maitriser C'est donc un petit exploit d'en avoir réussi un d'aussi fluide Le vers refrain est bien choisi Sa répétition exprime bien le caractère obsessionnel de la chose Beaucoup d'humour dans ce petit bijou d'autodérision que je considère comme ton meilleur poème à ce jour Merci papipoète et bravo [edit] Tu ne fais pas la diérèse à hésitation ce qui nous interdit de considérer ce maillet comme classique. Dommage |
lala
2/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour papipoete,
Le médicament est le maître du sommeil mais sous contrôle quand même, et l'auteur est maître de sa plume ! Ainsi, les rôles sont respectés ! Dans la forme, vous avez placé beaucoup d'humour sur une situation de stress, et mis en valeur le message essentiel avec sa répétition glissante dans chaque strophe. C'est gagné ! Monsieur le Bel au Bois Dormant traverse des nuits sereines et boude son amant rose et blanc ? Il est bien difficile !!! Une excellente journée... et une nuit rêvée... |
Anonyme
2/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Salut papi ! Un maillet qui t'enfonce quatrain après quatrain dans ce sommeil artificiel mais tout de même réparateur... Tu ne pouvais pas trouver meilleure forme poétique pour traiter ce sujet !
Le Bel au Bois dormant est une jolie trouvaille et j'ai apprécié à sa juste valeur le Vieil arsenic d'apothicaire... Juste une petite remarque, le titre. Le clocher sonne ? Un poème très réussi, avec ou sans clocher... Merci ! |
Anonyme
2/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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" Le clocher sonne " et rappelle " l'heure du médicament " qui fait " fondre en narcose ". Ce pourrait donner lieu à un poème sombre ; mais l'humour présent adoucit la situation tout en la dénonçant.
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Curwwod
2/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bravo, Papipoète, pour ce maillet plein de malice dont la forme recouvre à merveille l'obsession, le besoin, la dépendance que vous y évoquez. Sous des dehors légers, voire ironique vous y évoquez le sort de ces personnes dont la santé, le sommeil, la douleur réclament cet adjuvant qui prend bientôt toute la place. Il y a dans ce thème bien plus de gravité qu'il ne paraît.
"Il m'attire à lui cet aimant, C'est l'heure du médicament. C'est l'heure du médicament, Un cachet blanc, un autre rose Que je prends machinalement,..." J'aime voir ressusciter ces formes anciennes trop oubliées qui charment par leur musicalité. Merci pour cette lecture. |
Arielle
2/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un délicieux maillet qui nous assène avec humour une évidence qui se répète chaque nuit avec l'âge : Le sommeil si précieux nous fuit sans le secours d'un arsenic d'apothicaire !
De jolies trouvailles comme cette fonte en narcose ou ce Bel au Bois dormant. Un de tes poèmes que je préfère, papipoète ! |
Cristale
2/11/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Papipoète,
Un maillet fort bien mené avec ce vers en écho qui s'en va decrescendo accompagnant le poète aux portes du sommeil. Une forme qui ne peut que me plaire surtout quand le thème est original, et c'est le cas. Celui qui ne dort pas entend sonner chaque heure de la nuit,(surtout dans les villages) quand ce n'est pas toutes les demi-heures : douze coups, il est minuit, ding, il est une heure, ding-ding, il est deux heures, et l'angélus à sept heures qui annonce fortement le matin. Ce médicament : un amant quand même bien sympathique pour notre "Bel au bois dormant" puisqu'il le rend sourd à tout son de cloche et permet à sa plume de nous offrir au réveil une poésie pleine de fraîcheur. J'aime bien, entre autres, la rime "rose-narcose" peu usitée. Je me demande pourquoi ce poème n'est pas en "classique". Je n'ai remarqué aucune erreur de prosodie et il semble correspondre parfaitement à la classification. Merci Papipoète pour ce bouquet d'octosyllabes, un maillet qui est loin d'être soporifique ! Bravo ! Cristale |
cervantes
2/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Texte original, qui par la répétition de :
C'est l'heure du médicament, nous fait entrer de plein pied dans le quotidien de nombreuses personnes. En paraphrasant Brel, dormir la belle affaire; mais vieillir! Dormir, le Graal de tant de patients, pour mieux vivre ou mieux oublier? Médicament ou drogue? Impossible de trancher. Mais vous nous dites bien toute l’ambiguïté de ce choix. Merci |
Automnale
2/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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J’ignorais, ou je ne me souvenais plus, que cette forme de poésie avait pour nom « maillet ». Je commence donc la semaine en apprenant quelque chose.
Un commentateur l’a déjà dit, ce maillet convient fort bien, puisque répétitif, à cette prise régulière de médicament. C’est toujours épatant de lire Papipoète qui a l’art et la manière de surprendre, par ses thèmes variés et puisés dans le quotidien - ce qui me plaît bien -, ses lecteurs. Ce poème, qui possède une musicalité certaine, pourrait être chanté : « C’est l’heure du médicament/Un cachet blanc, un autre rose/Que je prends machinalement »… Oui, cela sonne bien. Et puis quelle excellente idée de comparer le médicament à un amant, vieil arsenic d’apothicaire ! Ah, ah ! Loin d’être Bel au Bois Dormant/Je m’éveillerai dès l’aurore, écrivez-vous cher Papipoète ! Eh bien c’est très agréable de commencer une journée avec vous. Même si l’aurore a, depuis un bon moment, disparu. Voilà un poème original qui, après la cigarette, parlera à tous les lecteurs attirés, chaque jour - ou chaque nuit -, par un aimant. Merci et bravo, cher Papipoète ! Je penserai à vous demain, vers dix heures, en prenant mon médicament et en regardant, au lointain, le clocher de l’église. |
Lariviere
2/11/2015
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour Papipoète,
Etant distributeur de médicaments (et donc marchand de sommeil) à mes heures perdues, ce "maillet" m'intéresse particulièrement. Sur la forme, ca a le mérite de me rappeller au moins ce qu'est un "maillet" (pas le truc pour taper sur la tête, l'autre...) en tant que type de forme ou plutôt de "format" poétique... Le maillet est donc une forme fixe ; c'est peut être utile à savoir... Je me rappelais juste personnellement qu'il y avait une histoire de vers d'entame qui se répète dans un certain ordre bien établi tout au long des strophes avec une reprise à la fin, bref, un truc bien carré, carré... Et en tous cas encore mieux expliqué j'imagine sur wikipédia, ce qui pourra au demeurant faire passer et en un simple clic, le dernier des ânes bâtés pour un major de promo de khâgne ou d’hypokhâgne... Sur le fond, je ne vois pas d'intérêt ni de qualité propre à ce texte. Je trouve l'ensemble très plat et sans véritable relief, relief donc s'il y en a, qui ne dépasse pas le trait d'humour sociétal, sur un sujet qui méritait peut être justement un traitement plus rigoureux (sur le fond...), car c'est un vrai sujet de société et donc de poète (à moins que le poète soit à l'extérieur de la société... En "retrait", à la retraite, en somme... ;)) vu le nombre de médocs qu'on prend en France, surtout les somnifères et les antidépresseur... Le sujet est grave justement ; mais là, j'imagine que l'auteur a fait justement le choix de la sacro-sainte "légèreté parce que le sujet est assez grave comme ça" et autres raisons de "bon sens" souvent très chères à tous les partisans du simplisme de fond et du complexe de forme qui se retrouve si bien dans la célèbre phrase de Boileau, cet intégriste de la poétique qui n'y comprenait rien, en terme de poétique véritable, en fait, et qui du coup se bornait à appliquer des règles sans vraiment savoir pourquoi ce qui l'a amené tout naturellement à cette fabuleuse et si spirituelle réflexion : "ce qui se conçoit bien, s'énonce clairement" (... alors que même cette affirmation si on y réfléchit deux minutes, est en réalité la représentation même du vide absolu en terme d'expression artistique et/ou poétique)...... Je ne vous compare pas à Boileau (vous ne m'avez rien fait de mal ;)...) ; je fais juste cette petite digression pour que vous compreniez comment je juge et ainsi que vous puissiez vous servir, ou pas, de mon avis en toute connaissance de mon état d'esprit... Pour revenir à votre texte en tous cas, sur un format assez court, je ne suis pas convaincu par la réalisation. Les idées ne sont pas très fouillées. Les rimes me paraissent forcées par la contrainte prosodique. Le rythme , est ce qu'il est (on n'y peut rien car choix découpes académiques))et le choix des termes, là encore, semble plus imposé par la métrique et la phonétique que par le sens profond. En résumé, je trouve que ça ne dépasse pas le vulgaire exercice de style potache gribouillé hâtivement sur la nappe en papier du routier du bord de route, au moment de la digestion... C'est typiquement le genre de texte qui à mes yeux ne trouve aucune raison d'être, car il me semble que sa seule raison d'être fondamentale est de rester dans les clous de la poétique classique, de respecter strictement un format prosodique quel qu'il soit, pré-établi par des règles bien précises, sans se soucier véritablement de la richesse du fond. Sauf que ces règles bien précises n'ont pas été inventé pour entraver le poète, au contraire. A la base celles-ci ont été pensé pour ajouter de la plus-value poétique à l'écriture d'un poème, et non l'inverse... Octavio Paz disait que "sans jeu, il n'existe point d'art"... Ici, j'ai l'impression de voir des règles du jeu, mais pas de jeu !... J'avoue que je ne trouve rien à dire de positif et je m'en excuse. En espérant que ce commentaire puisse malgré tout être utile à l'auteur, je lui souhaite une bonne continuation !... |
Anonyme
11/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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En ce qui concerne la forme, je découvre le "maillet", c'est bien de pouvoir lire une poésie et d'apprendre tout à la fois, je place cela dans mes tablettes, pour m'y essayer, alors merci du partage, de parfaire mon ignorance.
Pour en revenir au fond du texte, Il y a comme une acceptation de cette fatalité, "c'est l'heure du médicament", pas d'autre solution, que je comprends aisément ayant beaucoup de mal avec le sommeil, comme vous le dîtes fort bien "il est le maître", et nous pauvres de nous, nous sommes à sa merci, esclaves asservis jusqu'à la nuit des temps. |
Anonyme
16/2/2017
a aimé ce texte
Pas ↓
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Cher papipoete,
Par hasard, je suis tombée sur votre maillet (haha), en fouillant les recoins obscurs du site. Tout d'abord, je voulais vous féliciter pour l'exercice, il y en a peu sur Oniris, et c'est toujours plaisant de trouver en ces lieux de l'originalité, quelle qu'elle soit ! D'autant que vous maîtrisez l'art de la métrique et de la prosodie sur ce dernier, à une diérèse près comme dirait l'autre. Malheureusement, et avec mes profondes excuses cher papipoete, c'est à peu près là que s'arrête mon appréciation de cette oeuvre en particulier. Le titre me semble légèrement décalé par rapport au thème, j'aurais aimé quelque chose de plus parlant. Le thème est violent, douloureux, pathétique dans le sens où peut l'être toute routine qu'on sent contrainte, et toute addiction qu'on sent involontaire mais nécessaire. Du coup, on s'attend à une envolée poétique, et on reste un chouilla sur sa faim. Autant votre poème est très parlant, autant à mon goût personnel, ça manque de technique ! Les rimes sont faciles, trop évidentes, manquent de recherche dans le stricte sens de la force de l'image et de l'émotion. Il se dégage de l'ensemble une forme de monotonie (qui peut-être est voulue mais qui ne me plait pas du tout en poésie) également en décalage avec le thème, puisque du coup il ne revêt aucune force évocatrice. Tout est dit. Rien n'est à deviner. Les petites pilules sont prises sans émotion, sans artifices, et peut-être est-ce comme cela que le locuteur les prend. Mais moi en tant que lecteur, ça me déstabilise complètement. En effet, on s'attend à quelque chose de très riche, de très torturé, on attend de la douleur, de la souffrance, au moins psychologique. On se retrouve devant un enchaînement de vers quasi enfantins, en totale contradiction avec le thème qui perd de sa force au fil des vers. J'aurais aimé, cher papipoete, pouvoir apprécier, le sujet m'étant familier, mais comme souvent dans ces cas là, je ne m'y retrouve pas. Ce qui peut m'être imputé autant qu'à l'oeuvre, dans l'absolu. J'aurais aimé moins d'évidence, plus de profondeur, plus de détresse et moins de contemplation plate. Le lecteur est parfois exigeant, je le suis malheureusement ! Une prochaine fois peut-être. Au plaisir de vous relire ! |