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Curwwod
20/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Et bien en voilà un poème qui donne confiance en l'humanité. C'est très joliment tourné, avec un petit côté suranné, comme ces images d'Epinal où on voyait des garçons en costume marin et des filles en robes à mi mollet et canotier de paille. C'est joli, rafraîchissant mais au fond c'est un poème de combat où l'amour, homosexuel, saphique, paternel balaie d'un coup tous les préjugés, toute la sevitude à la norme (ça a toujours été comme ça, alors...), tout ostracisme imbécile et conventionnel. Continuez à l'aimer toujours aussi fort votre petite fille, elle le mérite et vous aussi.
Ce poème ne manque pas de me rappeler un texte récemment publié sur Oniris, et je me réjouis de voir évoquer avec tant de modération et de tendresse ces sujets qui ont fait éclater au grand jour récemment ce que les humains peuvent avoir de pire. Bravo pour vous et pour elle. |
Anonyme
22/12/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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"Pourquoi faut-il souvent se cacher quand on aime ?
De la poésie à la réalité il y a plus qu'un pas à franchir, hélas et la mentalité humaine, n'est pas encore prête à changer. Petit poème sympathique qui défend plutôt bien les amours différentes. Inversion pour inversion, j'aurais plus aimé aux courts cheveux et discours fielleux que le contraire, mais bon, pas de quoi fouetter un chat. |
Myndie
24/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Elégant dans sa forme, votre poème l'est également dans son propos. Voilà une manière délicate et sans agressivité de défendre ce droit à aimer qui malheureusement ne semble pas encore couler de source pour certains...
Vous avez une manière simple et délicate d'exposer les choses. L'emploi du verbe "girer", peu usité, renforce encore l'impression de délicatesse qui se dégage de vos vers. L'octosyllabe s'accorde bien à mon sens à cette réflexion en forme de monologue (les strophes m'apparaissent un peu comme des stances) . Cela donne cette douceur qui s'épanouit véritablement dans le dernier vers . Une très belle lecture. |
Lulu
28/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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D'après l'incipit, je m'attendais à quelque chose d'hésitant, mais nous avons affaire à un joli poème.
Je n'aime juste pas "La mer ondoyait chaotique", car je ne comprends pas. Peut-être aurait-il fallu mettre une virgule après le verbe. Sinon, j'aime tout dans ce poème au rythme agréable, doux et tranquille. |
leni
11/1/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voici un texte très élégant sue le droit à la différence C'est un texte délicat:
Flore éconduirait Valentin Femme elle s'éprit d'une ondine Et le poème finit rassurant Je t'aime ma petite-fille, Qu'un jour telle Flore tu sois Ne crains pas que mon feu vacille, Je t'aimerai comme autrefois. Très bel écrit Salut cordial et MERCI à toi Papipoète Leni |
Robot
11/1/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Un texte sur la tolérance.
L'angle familial choisi lui donne de la force et l'émotion du narrateur transparaît. Il ne sait pas qu'elle voie choisira sa petite fille, mais il lui dit dans la strophe finale que si elle prend le chemin de Flore, peut importe, il l'aimera toujours. Et il faut saluer l'écriture de ce texte toute en nuances qui se lit et se dit de manière très fluide. |
Michel64
11/1/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Comme ceci est bien écrit, sur un sujet qui hélas, encore de nos jours pose problème à pas mal de personnes.
Par contre les expressions "girait aux cerceaux" et "portait à rinceaux" me sont inconnues et, soit, s'emploient en Belgique et pas dans mon sud-ouest de France natal, soit me paraissent un peu compliquées même si (après consultation du dico pour rinceaux) j'arrive à suivre malgré tout. J'ai beaucoup aimé "Flore éconduirait Valentin." ainsi que le dernier quatrain qui dit très joliment l'amour inconditionnel d'un grand-père. Au plaisir de vous relire Michel |
Anonyme
11/1/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour papipoete .
Un sujet délicat traité avec beaucoup d'élégance voire tendresse. " Trop d'indices pour être dupe, Flore éconduirait Valentin." Belle image pour évoquer la situation. Et ce dernier quatrain qui vient corroborer le titre. Bravo. |
Anonyme
12/1/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Salut papipoete... Joli poème avec quelques mots assez peu ordinaires tels "girait" et "rinceaux"... Thème d'actualité et traité avec délicatesse.
Juste un bémol, "La mer ondoyait chaotique," En effet un ondoiement chaotique me semble être un contresens. J'aime beaucoup le final et surtout le vers ultime qui clôt parfaitement cette suite de quatrains... Merci ! |
pieralun
12/1/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Très fin poème en octosyllabes avec un très beau dernier quatrain.
J'aime cette façon d'effleurer l'homosexualité et les problèmes qu'elle pose dans notre société. Baudelaire l'a fait..., pourquoi pas Papipoete? ( quant à l'homosexualité féminine) Juste 2, 3 petites choses un peu en dessous à mon avis: " indices " dans le 2 eme quatrain, trop prosaïque. " fielleux discours" trop fort, même vrai, pour l'ensemble du poème. " l'amour s'enflamma " un vrai poncif. Bravo Papi pour l'ensemble |
Francis
12/1/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Des vers qui ont la douceur de la tolérance , du lien qui unit un grand-père et sa petite fille. Mais tolérance et amour ne sont-ils pas jumeaux ? Merci pour cette bouffée d'oxygène, de tendresse sous une plume élégante.
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Anonyme
12/1/2015
a aimé ce texte
Bien
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Ces vers comportent beaucoup d'inversions et des phrases qui ne coulent pas vraiment d'elles-mêmes. Je n'aime pas franchement la place du narrateur qui se focalise sur les sentiments la jeune fille dans le second quatrain (avec « maman »), puis qui s'adresse à sa petite-fille dans la dernière strophe. Je crois que quelques virgules (« Flore, » ; « Femme, » ; « ondoyait, chaotique, ») contribueraient à la fluidité du poème.
J'aime le vers « Frêle nageuse aux cheveux courts », juste après « elle s'éprit d'une ondine », plein d'images aquatiques ; j'aime les cinq derniers vers pour leurs beaux sentiments, mais je ne suis pas émerveillé par ce poème, « Même si », même si… |
Anonyme
21/1/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Poèmes en octosyllabes se lisant agréablement avec ces belles images amenées par des mots finement ciselés et délicats. Chapeau pour cette idylle d'amatrices de cresson !
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IAPAH
31/1/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Etant le petit nouveau , je poste pour la première fois un commentaire.
Un poème en octosyllabes dont l'air paraît si frais, si innocent , si naïf. Ce rythme de 8 pieds , comme un petit enfant qui sautille , nous est très léger à la lecture , très doux, les syllabes s'enchaînent avec une sensation d'eau qui glisse, c'est très agréable. Le thème de l'homosexualité est joliment amené , j'aime beaucoup cet amour secret et "interdit". Vous avez cassé un taboo sans choquer , je vous félicite. J'ai par contre un peu moins aimé le dernier ver du troisième quatrain. Il m'a paru disgracieux à l'oreille. Le quatrième quatrain quant à lui est, je pense, légèrement accessoire. Je titille avec ces quelques points négatifs car il ne m'ont pas du tout gêné pour apprécier ce très beau poème. Je vous remercie ! |
MissNeko
30/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un poème tendre et tolérant. Ça fait du bien. En plus d être bien écrit, il traite d un sujet encore trop d actualité. Tout le monde devrait pouvoir aimer qui il veut sans crainte de perdre l amour des siens.
C est très beau et très juste. |