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Pimpette
20/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bien envoyés les vers courts et diablement efficaces!
Les vannes célestes aux robinets grippés me plaisent terrible! La présentation en décalé qui me gêne souvent convient ici parfaitement! Je n'attendais pas Van Gogh...mais pourquoi pas? J'aime aussi ces images à peine décalées de la réalité: -Sahel oublié adorable |
Agueev
20/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ce qui me plait dans ton poème, c'est qu'il aussi agréable à lire dans n'importe quel sens : Seulement les vers de gauche, seulement ceux de droite ou le tout, et à chaque fois le rythme, les images et le sens des mots m'interpellent.
J'adore ! |
leni
21/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour papipoète
j'ai lu et relu et je me suis enfin laisser aller dans une idéation qui vagabonde Chaque groupe de vers est autonome en référence au sujet Vannes célestes Aux robinets grippés Sahel oublié… c'est dès le début l'image qui frappe et j'aime beaucoup les trois vers finaux où je n'attendais pas Van Gogh Un écrit très patculier Merci et Salut cordial leni |
Myndie
21/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Papipoete,
Voilà un vagabondage comme je les aime, une forme poétique excellente, des images et des sonorités qui métamorphosent des humeurs en beauté. Vos vers affranchis ont une musique tonique, une acuité, une sincérité et des accents tout personnels, ce sont des vers à dire. Fuir la conventionnelle et raide élégance, se vêtir de soies légères qui dansent aux vents mauvais; il fallait bien ça pour exprimer la fantasque rébellion de vos pensées... "Lacs vert-de-gris Sentes évanouies… Oh terre, où es-tu ?" : j'adore! Merci pour cette jolie lecture |
Francis
21/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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D'abord surpris par la forme, j'ai lu avec plaisir chaque strophe. J'aime beaucoup celle des rivières et des sentes et le feu d'artifices final. Un voyage entre l'eau et l'aridité , le rêve et la réalité.
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Lulu
31/12/2014
a aimé ce texte
Pas
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Je ne partage pas l'enthousiasme des amis... Désolée. Ce poème me laisse perplexe, ne me touchant vraiment pas. Je ne comprends pas sa mise en forme, ni même son contenu. Tout me semble décousu. Je ne perçois pas de fil conducteur.
"Là-bas fuyez !" Où ça suis-je tentée de demander. Au Sahel ou du Sahel ? Je ne saisis pas. Il en est ainsi de tout le texte en ce qui me concerne. D'autres auront su percer le mystère de votre poésie. Peut-être serai-je davantage touchée la prochaine fois ? J'aime beaucoup le titre. Peut-être m'attendais-je à tout autre chose ? |
patro
5/1/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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La poésie libre nous laisse un peu d'audace pour fuir les conventions : ce texte est un coup gagnant . Courtes strophes comme des haikus, appels en écho . Recherche de simplicité mais avec le poids des mots ; dommage que la ligne directrice se perde : je n'ai pas suivi comment le poète -lassé des pluies -, débouche sur une vision-yeux fermés -de VanGogh. A moins que la cocaine ...?
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Donaldo75
27/11/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Salut papi poète,
Je suis allé rechercher une autre de tes compositions en libre – tu sais que je pense que tu assures bien dans cette forme – et celle-ci m’a plu ; ce petit côté tercets picturaux rythmés par des vers centrés à la ponctuation forte, s’adressant au lecteur ou au spectateur ou carrément à tout un chacun – j’adore ce terme qui selon moi ne veut rien dire – avec sur la fin ces trois vers centrés qui ramènent la lecture sur le chemin de la peinture et réconcilie ma compréhension du chemin esthétique, de ce parti-pris de l’auteur dans sa composition. Et je pense qu’en le relisant dans l’autre sens, de la fin vers le début, ça fonctionnerait tout aussi bien. Après tout, certains grands morceaux de musique pop ont utilisé ce procédé carrément dans l’enregistrement. Bon, je m’égare. Bravo ! Donaldo, en mode archéologue qui écoute Bauhaus (un groupe de rock dont le nom est issu d’un mouvement pictural) en boucle ce matin. |