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David
12/11/2014
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
C'est l'histoire d'un chanteur de rue qui finit par bruler sa guitare pour se réchauffer un peu, comme une variante de la petite marchande d'allumette d'Andersen. C'est ce que j'ai compris en tout cas, mais dans les tout derniers vers, ça manquerait un peu de développement je trouve, ou de plus d'intensité dans les vers, le poème ne m'a pas trop marqué en l'état. |
Anonyme
23/11/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
J'aime bien ce petit poème qui porte comme une désespérance de tous ces musiciens de rue aux talents si souvent méconnus. L'histoire de brûler son instrument pour se réchauffer me paraît quelque peu surréaliste : ma femme possède un violon de son adolescence et même si elle n'en joue plus depuis longtemps, jamais elle ne s'en séparerait. Comme le dit David, j'aurais aimé également au moins deux strophes supplémentaires pour mieux développer cet instant terrible pour un musicien. Mais l'ensemble demeure bien écrit et je suis preneur. |
Marite
23/11/2014
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Papipoète. Une histoire qui pourrait, sans aucun doute, être d'actualité mais à laquelle peut-être on devient de plus en plus indifférent, et pourtant ... La régularité du rythme et des rimes rendent la lecture aisée si bien que l'on en oublie presque le travail qu'il a fallu accomplir pour que l'écriture respecte les critères du néo-classique.
"Je n'ai plus que la main à tendre Du jour à la nuit ; repartir Sous ce pont, grelotter, n'attendre Personne vers qui me blottir." C'est la strophe que je préfère, elle traduit bien la solitude et peut-être la désespérance de ce chanteur exclu de la société. |
Lulu
23/11/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime beaucoup ce poème qui touche à l'universalité. Il nous parle d'un musicien, mais ce texte va au-delà. On se représente aisément le calvaire de quelques-uns.
Dans l'ensemble, je trouve ce texte très touchant. Je le trouve sobre, délicat et apprécie le rythme fort agréable. J'aime particulièrement la première strophe, laquelle donne le ton en donnant vie à cette "chère guitare". |
Curwwod
23/11/2014
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Je suis un peu partagé sur ce poème dont le thème est sans doute touchant à force d'actualité quotidienne (et ça ne devrait pas s'améliorer dans les mois à venir), dont l'écriture est agréable même si un peu inégale dans les différents quatrains, mais son côté trop pathos nuit réellement à la portée émotionnelle du sujet. J'ai un peu l'impression de me trouver face à une chanson réaliste, début XXè, genre Roses blanches pour Maman. Là, la complaisance au misérabilisme va un peu loin.
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Francis
24/11/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Quelques notes pour briser la solitude ou l'indifférence des passants pressés. Demander un peu de chaleur humaine au seuil de l'hiver et à l'approche de Noël ne me laisse pas insensible. J'aime beaucoup le dernier quatrain.
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Michel64
24/11/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai bien aimé ce poème triste d'un exclus brûlant de ces derniers feux après avoir perdu sa dernière compagne, sa guitare. Son seul échange restant avec l'autre monde, celui des gens qui ont un toit.
"Même toi ma chère guitare Ainsi, tu me laisses tomber ?" Ce "même" exprime d'emblée la série de catastrophes ayant mené le sujet là où il en est. Pour le dernier vers j'aurais préféré "Se consumant sur un trottoir" plus simple. |
leni
24/11/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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A voire bon coeur je fais la manche Mais e monde devient sourd
Les temps changent Alors que Je survivais en cet espace Pinçant l'air de Jeux Interdits, Grâce à l'obole en ma besace De maints auditeurs enhardis. Et je rêve pourtant... Mais il ne restera qu'une flammèche Et tout est dit C'est l'époque Bien écrit en mots sobres Bravo Salut cordial Leni |
Robot
24/11/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai vu dans ce texte que j'ai apprécié un peu comme une chanson triste. Le dernier quatrain, quand le feu du musicien s'étiole est de toute beauté. Reste le musicien désespéré qui se consume (au figuré) à côté de la guitare qui git à terre.
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Ioledane
25/11/2014
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Voilà un texte sans grande originalité, que le dernier quatrain vient heureusement rehausser.
Le premier quatrain est pour moi plat et sans saveur ; le deuxième ne comporte guère plus d'aspérités, hormis peut-être à la rigueur les "maints auditeurs enhardis". Le troisième est moins banal de par ses contre-rejets, mais ces derniers en rendent la lecture et la compréhension un peu pénibles. Le quatrième retombe (à mes yeux) dans la platitude et le cliché. Enfin le dernier relève le niveau, avec ce double sens sur la gratte "sèche" et deux derniers vers qui ne manquent pas de grâce. Au final, un ressenti assez moyen. |
Pussicat
26/12/2014
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Bonsoir papipoete,
ça ne va pas ! on ne brûle pas sa soeur de bois, de cordes même pour se réchauffer, c'est elle qui réchauffe le coeur et donne à manger au narrateur... enfin c'est ce que je comprends de ce texte à l'écriture naïve. Pourquoi elle le laisse tomber ? plus de cordes ? on comprend pas très bien... mais brûler son gagne-pain, il y a comme une impasse. A bientôt de vous lire, |
Anonyme
23/2/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Chanteur sans avenir do ré qui a dû vendre son fa et qui dort à même le sol.
Tu as trouvé la clé pour conter l'affreuse situation d'un sans-logis avec guitare. J'ai particulièrement bien aimé le dernier quatrain, très poétique. |
Anonyme
24/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un poème très bien écrit, comme toujours.
Une ambiance véritable qui pousse à la réflexion. Encore une fois, bravo ! |