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Queribus
11/7/2021
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Des mots simples pour évoquer un "vieux" sujet, celui des clowns avec leurs malheurs propres (J'ai pensé à la chanson de Gianni Esposito). Un texte qu'ion comprend à la première lecture. Le tout dans une prosodie néo-classique quasi parfaite. Je me permets quand même les (toutes) petites remarques suivantes: -En un assourdissant silence -Puis une clameur apaisante dans le langage courant on dirait plutôt: En un silence assourdissant Puis une clameur apaisante -j'aurais mis une virgule après clou au premier vers Je sombrai dans le désespoir Que rien ne saurait interrompre; j'aurais plutôt mis: Je sombrai dans UN désespoir... -j'aurais mis une virgule près seul. Tout ceci n'est que broutilles et n'enlève rien à la qualité de votre écrit. En résumé, un agréable moment passé à vous lire. Bien à vous. |
Robot
11/7/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le trapèze qui se rompt et c'est le drame qui ne peut s'oublier. Le narrateur - on sent que c'était un fan de l'acrobate ou peut être même un artiste de la troupe (admirateur, fan, amoureux ?) de Ulla. Suite à l'accident tragique il s'éloigne jusqu'à ce qu'un jour se trouvant parmi le public d'un cirque de passage, il revoit Ulla dans ses oeuvres.
Ce poème me rappelle un film déjà ancien dont j'ai oublié le titre. Un récit bien conduit qui me laissait à penser que l'accident avait été fatal. Mais ô suspense, Ulla est bien vivante pour présenter courageusement son art. Quelques inversions obligées pour la rime qui ne m'ont pas vraiment gêné. |
Provencao
21/7/2021
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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J'ai beaucoup aimé ce chapiteau en vos mots où la formidable voltigeuse dont le courage chasse les fantômes avec grâce et danger qui du boulevement peut en fanter une Ulla bien rêveuse....
Votre écriture est aussi mon cher ami papipoete une acrobatie, une cajolerie qui repose toute entière sur ce fil édulcorant une sente de l'invraisemblable, faire du danger des papillons de mots... pour notre bonheur. Au plaisir de vous lire Cordialement |
Miguel
21/7/2021
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Donc, voilà un veuf éploré qui plante là son enfant, désormais orphelin et de mère et de père. Le gentil Pierrot en tiendra lieu. Et finalement, par un heureux hasard, il retrouve Ulla à l'affiche (ce cri "chiche" me semble un peu là pour la rime), et le voici tout réjoui à l'idée de risquer de la perdre comme il a perdu son aimée. La mère revit dans a fille, mais pour combien de temps ? Je sais bien que maintenant les voltigeurs sont protégés des accidents (ce qui par ailleurs rend un peu inutile le fameux "chiche"), mais ce lyrisme de saltimbanque me semble sonner faux. Je n'arrive pas à y entrer.
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wancyrs
21/7/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Salut Papipoète !
De m'approcher de plus en plus des âmes des hommes, je comprends la peur de cet homme brisé ; les hommes brisés, la plupart du temps, ne savent que briser, alors je vois "la fuite" de ce père comme un acte ultime d'amour ; la preuve, c'est que sa fille a réussie à suivre les traces de sa maman et surmontée la peur du traumatisme. Que sera-t-elle devenue sous l'ombre d'un père n'étant plus que l'ombre de lui-même ? Bien des hommes essaient de jouer aux super-héros, mais bien peu réussisse dans cette entreprise. Celui-ci a été super-héros à sa façon, car accepter sa faiblesse pour laisser aux autres la capacité d'aider un être cher est, pour moi, un acte de bravoure. J'ai vu, et je vois tant de toxicomanes et autre déséquilibrés mentaux s'accrocher à leurs enfants "par amour" qu'ils disent, mais en fait ce ne sont que des naufragés s'accrochant fortement à leur bouée de sauvetage. Dans ce récit on a un homme qui met sa fille sur le seul radeau de sauvetage possible lorsque leur bateau coule, et se bats seul avec les flots. J'ai affaire ici à un vrai homme, un humain ! Va-t-il encore sombrer si sa fille se brisait comme sa maman ? Peut-être ! Mais serait-ce un péché ? Édit : Je relis, et découvre un détail, une broche que le personnage principal a gardé tout le temps dans sa poche, et cela conforte mon idée qu'il n'a jamais abandonné son enfant. |
Annick
22/7/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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On comprend le poème à demi-mot, et peu à peu, tout s'éclaire dans le dernier quatrain. Le poème se livre sans se livrer tout à fait.
Je me suis un peu perdue parmi les différents pronoms personnels et adjectifs possesifs : elle, toi, te, tu, notre, ma... On dirait un fait réel, un drame relaté sous forme de poème. Un beau récit qui mêle tendresse des sentiments et dureté de la vie. |
Myo
21/7/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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La magie du cirque, cette belle affiche faite pour distraire et amuser
mais qui cache son lot de destins brisés, de familles déchirées, de sombres solitudes. Je vois que vous avez renoué avec le rythme régulier et les rimes avec beaucoup de talent. Un grand merci du partage. |
emilia
22/7/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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De jolis octosyllabes pour nous conter un drame survenu dans l’univers du cirque et le monde du spectacle, dont la prise de risque génère l’émotion des spectateurs, mais parfois, hélas, aux dépens des artistes lorsqu’un accident survient… ; un heureux dénouement cependant qui met en valeur la transmission générationnelle des numéros en rappelant (dans l’exergue) ces familles dynastiques célèbres permettant à leur enfant de reprendre le flambeau, « ressusciter la flamme » avec une promesse de continuité alliant les prouesses physiques et esthétiques auxquelles vous êtes sensible…
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Anonyme
27/7/2021
a aimé ce texte
Un peu
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(Du spectacle, elle était le clou
Ma formidable voltigeuse Avec toujours ce succès fou, Laissant notre Ulla bien rêveuse.)... J'aurais mis = À la fin du spectacle dont elle était le clou, Ma belle voltigeuse Avait un succès fou Ce qui laissait Ulla complètement rêveuse. ( je sais, ce ne sont plus des octosyllabes...) Mais je m'égare, et préfère m'arrêter, sans vouloir offenser les saltimbanques. Cela n'engage que moi. Vive le cirque ! |
Cristale
27/7/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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...et le spectacle continue avec son lot de drames et de bonheurs mais combien de travail et de sacrifices que cette vie consacrée au monde du cirque.
Longue vie à Ulla qui fait honneur à sa mère en reprenant le flambeau. Papipoète est un conteur qui emmène ses lecteurs dans la caravane de sa poésie sur des octosyllabes qui me rappellent le trot léger des chevaux, ceux qui tournaient dans l'arène des cirques, montés par de jolies cavalières. Ne changez rien, on vous aime comme ça. |
Vincendix
28/7/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Papipoete
Une scène parfaitement reproduite, toutes les émotions sont présentes, la peur, l'admiration et la douleur. Bravo et merci Vincent |
Damy
11/11/2022
a aimé ce texte
Passionnément
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Une belle maîtrise du style et une jolie envolée musicale que ces octosyllabes !
Un récit émouvant et qui sait tenir en haleine. Je me suis facilement laissé embarquer, j'apprécie. La résurrection par Ulla ? Le quatrain d'apothéose téléologique m'a particulièrement touché. Merci papipoete de m'avoir introduit sous le chapiteau et pour cet excellent moment de lecture. |