|
|
Lariviere
24/6/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Le style proche du récit rend le tout très descriptif mais l'écriture est conçu comme un poème : il y a une certaine musicalité des phrases qui ne se découvre pas forcement à la première lecture. Le fond du propos pourrait être plus captivant, certainement , en jouant sur le rythme et le ton du vocabulaire mais c'est aussi un choix dans l'expression je pense, et dans l'atmosphère... J'aime bien la fin, assez brutale, où l'auteur n'est pas tombé dans le piège de la rime.
J'ai découpé les trois phrases qui débute le dernier passage ; il y a une volonté de rimes "libres", de rythme, voire même de métrique et de musicalité d'où la syntaxe alambiquée et l'abus de "et" assez disgracieux : "je pus contempler cette ombre blonde dans mon esprit s’incarner." "Je tendis mes mains vers ses mains sombres et fragiles et refermées." "Sa chevelure s’étalait sur le monde et l’ovale claire de son visage absorbait mon reflet." Merci de cette lecture Je souhaite une bonne continuation à l'auteur. |
Anonyme
5/7/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Comme un flash back sur les "passantes'' qui ont accompagné des moments d'une vie.
J'ai bien aimé le premier volet que je trouve poétique. A mon avis, le reste du texte gagnerait beaucoup à être un peu moins sophistiqué dans ses images descriptives. |
Robot
24/7/2015
a aimé ce texte
Bien
|
Un ensemble poétiquement suggestif sur une idée originale intéressante qui a retenu ma lecture.
Dommage que des phrases lourdes viennent gâcher cette prose. "...je pus contempler cette ombre blonde dans mon esprit s’incarner." Pourquoi cette inversion et ne pas écrire - s'incarner dans mon esprit - "Cette femme partit un jour et me laissa seul dans mon fantasme qui doucement se défit comme le font certains souvenirs." - Partit un jour - un jour est en trop, partit était suffisant. Voila comme je l'aurais rédigé pour plus de fluidité. - Cette femme partit, me laissant seul dans mon fantasme qui se défit doucement, comme le font certains souvenirs. - |