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Myndie
12/2/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Ah ce fameux temps! Rien de bien nouveau à l'horizon, en somme :)). Ceci dit, pour un texte écrit d'un trait, certainement brouillon mais sincère, c'est pas si mal! Vous avez le sens du rythme mais une tendance à l'énumération et aux formules rebattues : "au gré des vents contraires " "Cet océan de pleurs qui t’a toute emportée" "Qui passe et ne sait rien faire d’autre" Vous écrivez avec votre cœur c'est certain mais peut-être faudrait-il à l'avenir écrire moins spontanément et prendre le temps de respirer. Je vous y encourage en tout cas car je suis sûre de vous trouver publié sur Oniris, cette fois-ci ou une autre... |
Anonyme
18/2/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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D'un trait c'est pas mal ! (je le souligne d'un trait!). Le déroulement du poème s'effectue sans heurts, comme le temps qui se déroule quand tout va bien.
Or le temps de votre texte est vecteur d'abandon, de fausses routes irrattrapables, de questions sans réponses posées au temps, qui nous le savons bien, n'a pas d'oreilles. J'ai aimé le contraste entre la simplicité à la lecture du découlement de votre poème et ce qu'il dit en profondeur. J'ai aimé aussi quelques tournures biens vues: 'Des sorties à la mer pour oublier les rues' (le temps) 'Qui nous épuise et nous épouse de force' Agréable à lire. egfrild |
Anonyme
19/2/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
Non mais est-ce qu'on présente des brouillons? :) J'ai pensé directement à Vanessa Paradis (ou Gaetan Roussel) Il y a, en vous lisant. Au niveau rythmique on s'en rapproche pas mal, et finalement même au niveau des sonorités, je ne serais pas étonnée si j'apprenais que l'auteur a écrit en écoutant ladite chanson en fond... Sorti de là, j'ai apprécié. Le thème, la forme, le traitement... tout m'a plu, du champ lexical aux Et de fin. Il ressort une émotion certaine de vos vers, quelque chose d'universel et d'intemporel d'une beauté assez bluffante pour un brouillon (et vous êtes lucide en incipit, c'est bien). Pour un brouillon donc, parce que là où vous pêchez d'après moi, sans vouloir vous offenser, c'est dans des mots encore trop communs (l'originalité aurait été de fredonner Paradis/Roussel sans avoir l'air d'y être menée), même si souvent, au final c'est aussi ce qui me plait dans cette poésie. Il n'y a pas d'artifice, j'adore les premiers jets ! Mais les nuits innombrables, contre les vagues et la houle, les vents contraires etc... c'est pour moi encore trop facile face à la beauté toute simple et sincère de l'océan de pleurs qui t'a toute emportée, t'aimer bêtement, tuer le malheur à mains nues, ... Je pense d'ailleurs que si de votre propre aveux c'est encore brouillon, mon avis devrait vous éclairer un peu sur des pistes d'amélioration (bien que ce terme ne soit pas tout à fait correct). Au plaisir de lire la version aboutie de votre oeuvre ! Et bonne continuation ! |
Robot
8/3/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Le premier vers est une horreur phonétique.
Pour le reste quelques banalités "le temps qui nous égrène" quelques étincelles agréables "J’aurais tué pour toi le malheur à mains nues J’aurais été à contresens de tout Contre les vagues et la houle Cet océan de pleurs qui t’a toute emportée" Je dirais que c'est une construction plutôt intéressante mais assez inégale. Un brouillon qui aurait nécessité quelques ajustements. Même Breton a reconnu que son "écriture instinctive" était retouchée. |
Proseuse
8/3/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Paul,
J' ai eu la sensation en vous lisant d' être invitée dans une de vos pensées ... il ne faudrait, sans doute pas grand chose pour que de ce " brouillon" comme vous le dites dans l' incipit, naisse le poème , l' idée sur le temps, certes est rebattue, mais il y a toujours moyen d' en parler encore ! cet écrit, n' est pas déplaisant à lire, mais avec un petit quelque chose en plus il y gagnerait certainement à vous relire bientôt |
Anonyme
8/3/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Il y a quelques bonnes idées et du plus convenu dans ce texte sur un sujet très répandu.
Mais je le trouve assez désordonné dans sa construction, dû certainement au fait qu'il a été écrit " d'un trait" (sic) et n'a pas suscité chez moi un intérêt sensible. " Et toutes ces choses qui font de nous des Hommes " cette chute ne m'a vraiment pas séduit. Avous lire une autre fois. |
Tadiou
9/3/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime ces cris, ces souffles, maîtrisés, d'amour, de lutte, d'espoir, de lucidité.
J'aime en particulier ces deux vers : "J’aurais tué pour toi le malheur à mins nues J’aurais été à contresens de tout " : Quel beau jaillissement d'amour, que cette volonté de combat titanesque contre le malheur et la sortie des sentiers battus! J'aime aussi que le dernier mot soit "Hommes" : tout est à sa place, nous sommes ici et maintenant, dans notre merveilleux et notre misérable : des h(H)ommes, tout simplement. (la majuscule est -elle nécessaire?) |
Queribus
10/3/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Paul777,
J'ai bien aimé ce texte qui m'a fait tout de suite pensé aux surréalistes en particulier à André Breton. Même si on y trouve quelques maladresses et poncifs (en particulier à la fin: "Et, Et, Et toutes ces choses"), le tout forme un ensemble assez cohérent et mérite vraiment le qualificatif de poésie libre, ce terme regroupant souvent des poèmes moitié classiques ou néo-classiques irréguliers dans leur disposition. À mon avis et comme disait Jean Orizet: il est beaucoup plus difficile d’écrire un poème libéré qu'un poème classique: en effet, en l'absence de règles formelles, il convient de s'inventer ses propres règles à soi et vous y êtes parvenu; ça mérite un beau coup de chapeau. Bien à vous. |
JeanMarc
10/3/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
j'aime beaucoup ce texte, il me parle bien... Avoir la sensation de comprendre vos mots et c'est encore mieux de le dire. J'aime bien ce genre de poème qui comme les vagues frappent les pierres sans que personne ce préoccupe de ce que cela a pour conséquence parfois. c'est dit avec beaucoup de justesse et cela vient des tripes, c'est tout l’intérêt de la poésie pas seulement des critères techniques qui m'ennuient et qui ne plaisent pas toujours. On ne peut pas plaire à tout le monde |