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Vincent
24/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Parmi ces bruits et ces clameurs
Qui dans la nuit frappent mon cœur, Toi, qui n'es plus, tu me soutiens D'un air venu des jours anciens, Toi qui n'es plus que ce refrain Qui dit attends, attends demain. l'absence est là, palpable j'adore lorsque la poésie déborde de sentiments et c'est le cas votre poésie est ciselée de mots enchanteurs j'ai vraiment beaucoup aimé |
Anonyme
29/4/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Votre poème est bien fait autant que je puisse en juger, mais je reste sur ma faim.
En effet, on voit passer deux êtres, l’un absent, l’autre présent, et l’absente manque à celui qui reste. Mais pourquoi ce manque, pourquoi est-elle partie ? Comment était-elle ? Bref trop de choses ne sont pas évoquées pour retenir mon attention. En outre les images sont assez communes. Il faudrait peut-être dire plus de choses car si le titre est : « Les heures noires », j’ai le sentiment de rester tout du long dans du gris-clair, trop clair sans être lumineux - comme le manque peut l'être. Cordialement. |
Lulu
2/5/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime beaucoup ce poème qui dit la présence absence de l'autre.
Il y a bien ces heures noires avec leurs échos perfides, mais l'autre demeure de par son murmure qui rassure et pousse à l'optimisme : "attends, attends demain", au delà de cette crainte de "disparaître / Avant l'aube qui va renaître". J'aime aussi le rythme d'ensemble. Vous avez bien fait de présenter ce poème en octosyllabes, avec ses petites rimes discrètes. J'ai l'impression que ces mots sont aussi un murmure ; un murmure à l'absente. Tous mes encouragements. |
papipoete
3/5/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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le poids de l'absence de celle qui n'est plus, est si lourd à porter, mais pensant à elle, il peut l'entendre lui murmurer un avis, son chéri? Elle voit sa détresse d'être seul, lui qui l'aime toujours si fort, lui que la nuit hante avec ses voix d'autres, criant d'abandonner la lutte et disparaître...
Mais une aube nouvelle renaît, et son Amour au ciel lui chantonne ce vieux refrain < attends, attends demain > Ils étaient unis pour la vie, mais dans l'au-delà leur passion survit! Des octosyllabes humbles, dénuées de fioriture ordonnent ce court poème, qui en dit " si long " sur ce sentiment qui peut, ne jamais s'éteindre |
LeopoldPartisan
4/5/2015
a aimé ce texte
Pas
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désolé mais je trouve que ce texte accumule tout les poncifs du genre au point qu'à la première lecture on n'éprouve pas la moindre surprise lorsqu'on découvre le vers suivant. J'aime les contines ancestrales et apprécie une certaine forme de pastiche, mais ce n'est hélas pas ici le but recherché.
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Robot
16/5/2015
a aimé ce texte
Bien
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C'est avec raison que ce texte s'achève sur l'évocation d'un refrain car ce poème ressemble à une chanson. J'aime beaucoup. Plus dubitatif sur le titre qui me paraît sombre par rapport à la nostalgie et aux regrets qui transparaissent sans noirceur dans ce poème.
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Anonyme
16/5/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour pepehache... Un poème qui me parle et me touche !
Toi, qui n'es plus, tu me soutiens D'un air venu des jours anciens, Toi qui n'es plus que ce refrain Qui dit attends, attends demain. Des heures noires où chaque jour qui passe est un jour de gagner sur l'envie de s'en aller retrouver cette voix qui murmure... Votre poème sonne juste mais peut-être faut-il être passé par là pour le comprendre et l'apprécier à sa juste valeur... Merci du fond du cœur... |
Anonyme
16/5/2015
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Je trouve que cette absence est exprimée de manière assez...neutre et ne reflète pas le poids qu'elle a très certainement. Les images sont assez convenues.
De plus, ce " vieux refrain " et " attends demain " m'éloignent de ce texte en me remémorant la chanson du film " Le train sifflera trois fois". |
Francis
16/5/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un refrain, une voix, une chanson ( "cette chanson était la nôtre ") adoucit la douleur de l'absence, "le soir des heures vides". Des mots simples pour survivre à la nuit. Un poème qui ne me laisse pas insensible.
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Anonyme
16/5/2015
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bonjour pepehache
C'est vachement bien Simple, concis, intense, bien écrit. Magie des termes bien trouvés, le seul mot de "refrain", surgissant au vers 3 et repris dans l'avant-dernier, illumine le poème. Merci pepehache et bravo |
Anonyme
16/5/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
Ce petit texte sur l'absence se fredonne comme une antienne et c'est justement ce qui fait son charme car les images du thème sont bien connues. Les nuits blanches en croyant écouter la voix. Les souvenirs qui soutiennent comme des étais les jours mauvais. Et l'attente espérée du jour des retrouvailles qui viendra fatalement pour ceux qui y croient. Donc, finalement, rien de neuf mais c'est la façon de le dire qui sauve cet ensemble. |
Anonyme
16/5/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Texte très musical qui frappe par sa simplicité et qui nous va droit au coeur. Bien sûr, on pense aux "Vieux" de Jacques Brel ce qui n'est pas rien. Merci pour cette lecture émouvante.
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Ioledane
16/5/2015
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un poème court et émouvant dans sa simplicité, même si un peu plus d'originalité ne lui aurait pas nui.
J'aime beaucoup "Le soir glisse et les heures vides / Retentissent d'échos perfides". Un vrai bémol en revanche pour la surabondance de "qui", souvent présents deux fois au sein de la même phrase : vers 2 et 4, vers 7 et 8, vers 10 et 11, vers 13 et 14 - 8 fois sur 14 octosyllabes, cela fait beaucoup ! Mon impression d'ensemble reste néanmoins positive. |
Aveta
16/5/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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c'est simple, juste, et prenant. Il n'y a pas besoin de grands effets de manche pour évoquer l'absence de celui/celle qui reste et l'amour qui perdure, malgré tout. Merci !
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Anonyme
16/5/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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"Lettres à l"absente", pourrait-on dire. Un roman de PPDA publié en 1993. Lettres à Solenn, sa fille, atteinte d'anorexie mentale et finalement décédée. Bouleversant...
"Les heures noires" m'ont fait immédiatement penser à votre poème, puisque le thème de l'absence y est "savamment" évoqué. Un texte très beau et très fort. Wall-E |
Pussicat
22/5/2015
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Ce texte posté dans la catégorie Néo-classique m'étonne... je lis une chanson et combien j'aurais aimé en apprendre un peu plus... j'aime ce procédé de reprise en fin de texte des vers force, ici : "Qui dit attends, attends demain." comme un "refrain"... comme on referme son porte-souvenirs... un peu court, mais j'ai bien aimé...
un bémol sur la 2e strophe que je trouve faible et qui tranche avec le coulé de la première, son rythme... à bientôt de vous lire, |
CassandreB
5/9/2015
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Un poème qui m'a plu et tout au long duquel j'attendais presque d'entendre quelques notes de musique tant son refrain est présent.
Je n'ai pas besoin d'en savoir plus, je suis touchée par ces mots. L'absence est marquée. Merci pour ce partage. Cassandre |