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StayinOliv
17/3/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Texte intéressant sur le besoin de changement et sur la société de consommation, mais qui aurait à mon sens mérité d'être plus creusé. A moins que ce ne soit voulu, une chanson sans prétention et dans ce cas le but est réussi, mais j'aime les textes vindicatifs sur le problèmes de société et qui appuient où ça fait mal.
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Anonyme
24/3/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Je vais commencer par ce qui m'a plu, la mélodie est agréable, l'interprétation sans accroche, tout cela forme une écoute plaisante.
Pour le fond je trouve franchement que ce qui est exprimé est trop "globalisé", trop catégorique, cela donne un effet de masse sans profondeur, que confirme cette expression lue et relue mainte fois, "nous sommes des brebis", j'aurais aimé de la nuance, car le sujet est intéressant. Pas très heureux "par des veaux"... Seul le refrain me semble être dans la tonalité, mais ne se retrouve pas dans les strophes, le développement prometteur de celui-ci. |
Mauron
30/3/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Allusion à Baudelaire, "Au fond de l'inconnu pour trouver du nouveau", le grand Charles... C'est pas mal. Maladroit parfois, je ne suis pas sûr que Baudelaire eût apprécié les vers approximatifs voire faux, lui qui se voulait un "parfait orfèvre"... En tiendra-t-on rigueur au poète imparfait?...
Sinon, le propos est à la fois très poétique et ironique, j'aime ces "veaux" qui sont aussi, bien sûr, dévots... Ce "nouveau nouveau" me semble fort ancien au fond. A force de vouloir du nouveau, on finit par tourner en rond et revenir à de l'archaïque. C'est ce que vous vouliez dire, non?... |
Pouet
12/4/2016
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Bjr,
Pour ce qui est de la forme je suis pas fan. Le' "nous ouvrons les portes de nos cerveaux" du refrain par exemple, pas bien nouveau pour le coup, mais puisque c'est ce que vous dénoncez... Faire rimer "neuf et neuf", même si le Pont Neuf est vieux, bof aussi. "Muets comme des mimes", cela manque de recherche à mon sens. Pareillement pour "course folle" etc etc... Beaucoup de banalités pour moi, désolé. Pas compris le "Nous sommes des brebis Simplement débordées Par des veaux." Avec "agneaux" d'accord mais avec "veaux" je comprends moins si ce n'est pour la rime avec "dévot". Bref vous l'aurez compris la forme ne me transcende pas. Pour ce qui est du fond, le "nouveau", oui il en faut. Je suis plus outré par le "gaspillage" que par le "nouveau" personnellement. Vous parlez du "médiéval", il faut bien sûr conserver ses œuvres architecturales mais je ne suis pas certain qu'on doive regretter la vie du Moyen-âge... Le nouveau, c'est aussi la vie, l'avancée ou le recul parfois, mais pas l'immobilisme. Si je pousse un peu, un bébé n'est-il pas un nouveau-né? Le nouveau n'est pas forcément synonyme de mauvais. "Des nouvelles chansons"? Effectivement il en faut, n'en restons pas à Maurice Chevalier, par pitié... :) Je pense qu'avec ce sujet il y avait matière à faire plus percutant. |
leni
13/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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perthro
epaté par jeu guitare et par la voix superbement posée le texte est à créer pour apporter du nouveau Ou on chante des onomatopées comme l'a fait URBAN TRAD Salut cordial leni Addendum à mon com1 J'ai réécouté et je suis sous charme guitare voix C'est très cool apaisant lisse C'est pourquoi je note en espérant que l"auteur compositeur tente un autre texte Merci à vous |
funambule
13/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Difficile d'argumenter lorsqu'on accroche sans savoir trop pourquoi; c'est simple, pur, aérien, agréablement décontracté, le son est bon et la voix bien posée. Les texte est un peu étrange... a bien y réfléchir; un peu hors codes, hors du temps. Bon, je le dis, j'adore et pi c'est tout !
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Ramana
13/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Il faut que tout change pour que rien ne change". Je pense à cette maxime parce qu'elle me parait illustrer l'intention de votre texte. Autrement dit il nous est imposé une "société du spectacle permanent" (cf l'essai de Guy Debord, selon qui : "Le spectacle est le stade achevé du capitalisme, il est un pendant concret de l'organisation de la marchandise. Le spectacle est une idéologie économique, en ce sens que la société contemporaine légitime l’universalité d’une vision unique de la vie, en l’imposant aux sens et à la conscience de tous, via une sphère de manifestations audio-visuelles, bureaucratiques, politiques et économiques, toutes solidaires les unes des autres. Ceci, afin de maintenir la reproduction du pouvoir et de l’aliénation : la perte du vivant de la vie.")
Je n'arrive pas à écouter la version sonore sur mon ordinateur, mais le texte me plaît bien car il pose la question fondamentale de notre aliénation plus ou moins volontaire à la pensée dominante. En effet, le "pouvoir" est avant tout le contrôle de la pensée. Il doit, pour s'exercer, divertir sans cesse l'esprit des masses avec du nouveau, mais du nouveau qui vient corroborer cette pensée en la maintenant dans son cadre restreint. Il faut nourrir la pensée, qui est naturellement exploratrice, avec de la bouillie "appellation d'origine contrôlée", pour la remplir afin qu'elle n'aille pas se nourrir ailleurs avec du consistant. Éviter ainsi le véritable changement, c'est à dire l'éclatement du cadre. |
Kodiak
21/4/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Ce n'est pas faux ce que dit ce texte, il nous faut toujours du nouveau. L'idée de départ est donc bonne, mais se demander pourquoi eut été intéressant, or le texte se borne à dresser le constat, avec un vague arrière-ton que l'on devine un peu accusateur (qui s'entend moins dans la version chantée.)
Comme Pouet, je ne comprends pas le lien avec les brebis et les veaux, il faudra m'expliquer... La mélodie, à défaut d'être "neuve" et originale, est très jolie, la voix aussi mais l'interprétation mélancolique ne colle pas vraiment avec le texte, je trouve. On a l'impression que le chanteur ne croit pas vraiment en ce qu'il chante, c'est bizarre. Bref, un avis mitigé en ce qui me concerne. |