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ameliamo
4/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une jolie chanson en sa totalité; texte, musique et interpretation. Poèsie, nostalgie, musique douce et interpretationn sur mesure, dans un mélange romantique qui enchante l’auditeur. Bravo à celui qui est poète, compositeur et interprète.
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leni
9/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Cette chanson a un charme C'est une ballade monotone Le texte est bien écrit avec des images fortes et des images plus faibles
Images fortes quelle belle liberté que l'imagination mais pas heureux quelle et que Et d'être un peu corsaire, De la virginité Je loue la liberté De l'imagination... POURQUOI ne pas garder ces deux vers chaque fois qu'il est question de liberté et d'imagination De ces feuilles durcies, Croisées en entrelacs, Je ferai la litière En haut de mon donjon Images plus faibles D'être un peu juvénile??? Des branches et des brindilles on peut trouver mieux Maintenant un mot sur la musique et le chant Il y a une belle potentialité Mais beaucoup de paroles sont difficiles à comprendre et ce texte mériterait d'être mieux chanté Parfois la voix donne un forte gênant TOUT ceci dit non pour démolir mais pour vous donner l'envie d'atteindre un plus haut niveau Vous pouvez d'ailleurs ignorer ma critique MAIS CE QUE JE SALUE c'est votre talent |
Anonyme
22/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour
C'est joli, j'aime bien cette chanson, la mélodie et cette guitare l'accompagnant. Ah l'imagination : Une flamme dans l'âme éclaire tel un phare Sur un îlot sauvage et rossé par les flots, Un océan terrible et qui, rageur, égare Les navires du rêve à sa surface éclos. C'est ainsi que je la dépeins dans un de mes textes. Ici, j'aime bien son mariage avec la liberté.Souvent l'une ne va pas sans l'autre. Bon texte et belle mélodie avec quelques interrogations : Où donc est la clairière Que l'on m'a tant vantée ? La distance de l'enfance : Furent ainsi écartées Toutes les prédations… Et ainsi de suite... |
Vincendix
22/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Quelques dissonances dans la musicalité de ce texte à la lecture et qui se retrouvent à l’écoute.
Je remplacerais Quelle belle liberté Que l’imagination Par Vive la liberté De l’imagination Ou bien de la bruyère Par De la tendre bruyère La mélodie est agréable mais les intonations de la voix sont irrégulières, c’est un peu dommage. Un texte chanté est valorisé par la musique et la voix, seulement il faut un parfait équilibre entre les trois composantes. A part ces petites remarques, j’apprécie cette promenade imaginaire en dehors de la piste, avec un avenir sans borne, j'y reviendrai... |
Anonyme
22/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une belle poésie aux images subtiles.
" Où donc est la clairière Que l'on m'a tant vantée ? " Et l'anaphore " Quelle belle liberté Que l'imagination " est bien trouvée.. L'accompagnement en arpèges souples laisse bien la place au texte. La voix est juste et colle bien à l'ensemble. J'aurais aimé un pont, pour rompre un peu la monotonie de l'environnement harmonique. Mais c'est une affaire de goût personnel ; il va sans dire que voilà une fort jolie ballade. |
David
22/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Perthro,
La même rime bois/abois ouvre et referme le texte, je remarque des passages comme "J'avançais tel un faon/Toutes les prédations…/Et d'être un peu corsaire," le vocabulaire de la chasse ressort un peu mais il y a aussi le refrain sur la liberté, sur au-delà de la proie et du prédateur, sur les circonstances qui distribuent ces deux derniers rôles et l'essence qui ouvrent sur le grand mot du refrain. Et là, je pense au discours de la servitude volontaire de la Boétie, sur le maitre qui peut mépriser la liberté du fait des circonstances, alors que l'esclave n'en a pas les moyens, il n'a d'autres espoirs que son essence, que ce qu'il peut être malgré ce qu'il n'a pas. Ou grâce, d'ailleurs. Il y a aussi un passage sublime, justement autoproclamé ainsi d'ailleurs, c'est : "Du fond de mon abri, L'avenir est sans borne : Le tout petit cabri A de sublimes cornes !" Je souris de l'image voisine, les cornes du cocu, mais je la trouve très forte telle qu'elle est, et là je pense à "La promesse de l'aube" de Romain Gary, dont je n'ai encore lu que quelques paragraphes, il traine à mon chevet, et je me demande si ce que je me laisse lire dans ces vers, que le cabri part cocu, trompé, de son avenir sans bornes, ce ne sera pas le même sentiment que cette "promesse de l'aube" qui ne sera jamais satisfaite il me semble, qui ne peut pas l'être. Ce ne serait pas une fatalité malheureuse mais comme un axiome de la liberté qui impliquerait une insécurité constante, que je lis un peu dans la toute fin de la chanson. Sinon, pour la partie en 3D, la chanson chantée je veux dire, c'est un chuchotement tout juste perceptible, un ton de berceuse, pas du tout un "charivari", le bruit même des "abois", ce n'est pas déplaisant, ça demande une attention assez forte, donc je me dis que ce n'est pas vraiment "populaire", ça doit plutôt correspondre à un genre "intimiste", et heureusement, c'est sobre. |
Anonyme
22/11/2015
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Vraiment bien agréable écoute, tout en légèreté, mélodie douce apaisante, tout à l'image que véhicule "L'Imagination", en fermant les yeux, je me suis laissée aller à l'écoute de votre voix, aux belles intonations, qui s'est glissée bien délicatement en moi, merci pour ce délicieux moment en partage, les émotions sont là, texte comme j'aime, vivant, vibrant, j'en aime sa fragilité et j'en redemande.
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