Waouh soufflé par le bon vent de cette mélodie, paternité quand tu nous tiens de la bonne façon.

Je suis sous le charme, tout est en place, belle pensée, belle écriture.

Le petit poignet peut avoir confiance en ses racines, elles ne seront pas maléfiques.

Merci beaucoup à l'auteur !

Dés la première lecture j'ai eu l'impression de retrouver "le p'tit bonheur" de Félix Leclerc, écrit en "inverse".
Mais ici, le petit poignet ne s'en va pas "la tête haute sans joie, sans haine".
Un nouveau départ serein en ayant tout laissé en ordre, accompagné des petits poignets qui ne laissent pas le sujet en arrière.
La poésie est très belle.
Quant à la version chantée, j'ai apprécié la diction posée, fluide, soutenue par la sobre mélodie à la guitare qui donnent la mesure de la paix de cette nouvelle vie.

bonjour perthro
Même si la mélodie ne m'emballe pas ( en particulier quand vous faites tournoyer le bout de la rime du 5e vers ), je salue la performance d'avoir accompagné vos paroles de musique !
Mais l'histoire elle, beaucoup me plaît avec cette vie de bohème qui tout d'un coup, va se trouver chamboulée par deux petits poignets !
En principe, cette menotte produit le même effet sur tout être humain ( à part Fourniret et Dutroux ) que l'on soit père, ou grand-père !
Dans cette chanson, ce n'est que " fortuitement " que le héros tenant par la main ce petit d'homme, qu'il réalise que quelque chose a changé, qu'au bout de son chemin un horizon clair donne alors sens à sa vie...
NB très tendre, et encourageant pour qui ne croyait plus en rien ; la vie tourne la page d'avant pour commencer un nouveau chapitre.
L'album d'une famille vient d'illustrer sa première image !
L'avant-dernière strophe est ma préférée, quand ce père fait son ménage, n'oublie pas d'éteindre la lumière, pour accompagner ce petit bout de bonheur...avant de rentrer ce soir heureux à la maison.
Profitez bien de ces petits poignets, car viendra un jour où son " propriétaire ", de votre main les retirera...

Salut, pour moi, c'est une chanson qui touche. Très belle ambiance musicale qui va bien avec des paroles, belle voix qui transmet de l'émoition. les paroles en elles-même ne sont pas renversantes, mais là, ça se marie très bien à la musique et ce "petit poignet" est très bien trouvé.

Pour le texte en lui-même, pour moi y a juste un truc qui cloche, c'est ce jeu de mots avec temps/tant, ça ne s'entend pas, donc on ne comprend pas bien juste en écoutant, faut le lire pour saisir.

Bonjour perthro,

Oui, avec un enfant, tout recommence... en mieux. Il ou elle redonne pour qui est figé dans sa démarche 'de bohème', perdu, une envie d'aller de l'avant... une nouvelle fois. Un renouveau, quoi.

L'avant dernier vers de chaque couplet, le faire durer, nuit à la version chantée, c'est dommage, mais votre voix, toute en retenue et en émotion, arrive à bien faire passer la pilule !

Une réussite selon moi.

Bonjour,

Je trouve votre texte à la fois touchant et maladroit. Il y a un mélange de bonnes trouvailles qui font mouche comme ces "petits poignets" et puis d'autres choses qui sont malheureusement des lieux communs trop souvent lus et entendus comme "mes pas dans les tiens, tes pas dans les miens". C'est joli évidemment mais je suppose que si vous écrivez, ce n'est pas pour redire ce que d'autres ont déjà dit avant vous.

J'aime bien la douceur et l'intimité de la mélodie et de votre façon de chanter, mais vous gagneriez à articuler un peu plus surtout au début car on ne comprend pas tout si on ne suit pas sur le texte.

Enfin, je trouve qu'il y a l'un ou l'autre problème de cohérence, notamment avec la dernière strophe. Déjà je trouve difficile d'imaginer quelqu'un poser ses poignets quelque part (en général ce sont les mains qu'on pose) mais si je fais un effort, je peux m'imaginer un enfant ou une femme aux poignets très fins vous tenant à la taille, par derrière, et donc, forcément, si vous avancez, comment pourriez-vous vous faire distancer.. par quelqu'un qui est derrière vous ? Pardon, je vais vous paraître trop rationnel sans doute, alors que j'aime beaucoup les textes qui ne le sont pas, mais de mon point de vue, pour qu'une métaphore ou un second degré fonctionne, il faut d'abord que le premier degré soit parfaitement cohérent. Dans votre texte, j'ai l'impression (par endroits, pas partout) que vous avez placé les mots d'abord et cherché le sens après. Mais je peux me tromper, c'est juste mon impression.