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Provencao
2/8/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bienvenue PetiteOmbre.
J'ai bien aimé ce fantôme et la Muse avec ce "Tu es là " en ce balancement à l'irrevocable, l'accortise à l' irréversible et l'assentiment à l'irréversible, où vous conviez dans chaque mot, chaque note ces chimères de l'anecdote. J'ai bien aimé ces vers illusoires pour activer où ralentir le temps: "Pourtant j'ai été Mais tu es là Ma défaite et mon salut". Au plaisir de vous lire Cordialement |
Pouet
2/8/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Slt,
une évidente qualité d'écriture. J'aime bien parmi d'autres "Car l'univers est précis, certain", "Je suis la fausse infirmière", "Je me hante", "Celui de l'anecdote De l'éphémère"... Je suis peut-être un peu moins fan de l'entame, disons du premier tiers du poème qui m'a paru plus convenu par endroits si tant est que cela veuille dire quelque chose. Une certaine force dans ce texte, texte assez noir d'où suintent quelques coulées de lumière épaisse, quelques caillots d'espoir. Je trouve pour ma part ce premier texte convaincant, je n'ai guère envie de pinailler, plutôt d'encourager. |
Anonyme
2/8/2021
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Essayons de pinailler.
Le double emploi de pouvoir, à la première strophe, est sans doute évitable si le propos veut gagner en légèreté. Pareillement par la suite, certaines adresses à la seconde personne sont peut-être dispensables ? Ce premier il, bien mystérieux, se rapporte bizarrement à l'espoir pour moi, plutôt qu'au corps, sans en être certain, et peut-être est-ce une étrangeté de pudeur, peut-être une maladresse, je n'en sais rien. Il me semble que l'on apprend rarement des anecdotes, surtout quand elle n'inspirent rien. C'est un poème bien secret, mêlé d'évocations chuchotées, où cet il final me donne l'impression de la femme remède, passagère de celui qu'elle aime mais qu'il n'aime pas pleinement, sinueux à souhait par peur de quelque confidence au lecteur, mais que sert d'interpréter si ouvertement, alors que je pourrai relire ces mots demain et y trouver d'autres choses ? Le poème m'est un brin long pour les efforts musicaux que m'exigent les vers libres, mais cela m'est très personnel. L'univers est-il précis ? Voilà une bonne question à me poser pour le reste de la journée. Se voir soi-même se voir est une activité qui peut durer. J'aime assez. |
PetiteOmbre
2/8/2021
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Bonjour à tous
Voici un lien vers le clin d'œil peu subtil : https://www.poetica.fr/poeme-1368/guillaume-apollinaire-cest/ |
papipoete
2/8/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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bonjour PetiteOmbre
( masculine ou féminine ? ) Votre première parution me fait dire à quoi je songeai, dès vos premières lignes, mais pas jusqu'à la fin au film culte " Ghost ", dont la musique va me hanter ( gentiment jusqu'à la venue de Morphée ! ) Tu n'es plus, et pourtant je te sens tout près ; et je te vois, comme tes cheveux onduler dans le vent... je t'en supplie, ne pars pas " laisse à ma joue ton épaule amie " NB des passages " complexes " pour mon esprit parfois, quand d'autres me font voir l'invisible " bientôt il s'en ira et dans son sillage/on pourra reconnaitre tes pas " " laisse ma joue... " est si tendre, et la dernière strophe referme ce caveau, comme une plaie qui ne guérira jamais " Woah, my love, my darling I've hungered for your touch..." |
Myo
2/8/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il est des souvenirs plus vivants que bien des réalités.
Des absents tellement présents... C'est ainsi que je perçois ce très beau poème, un dialogue avec celle qui n'est plus mais dont l'amant se rapproche à chaque pas. Je suis juste un peu perdue avec le "de celles" de l'avant-dernier paragraphe. À qui se rapporte ce pluriel ? Mais j'ai beaucoup aimé l'ensemble et cette atmosphère d'entre deux mondes. Merci du partage Myo |
PetiteOmbre
3/8/2021
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