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Anonyme
22/6/2009
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Une ballade chez les impressionnistes pour commencer la journée, que demander de plus même si chez Renoir je préfère les portraits aux paysages... La première chose qui m'a frappée, désolé, ce sont les nombreuses répétitions, coquelicots, velours, fleurs, bleu, etc. souvent dans la même strophe ; je pense que ça aurait pu être évité sans problème. Ensuite, avoir tenté de donner vie à ce tableau était, à mon avis, une "fausse" bonne idée car l'interprétation d'une peinture reste malgré tout très subjective... mais bien entendu ce jugement n'engage que moi ! Bonne journée Pieralun et au plaisir de te lire.
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pieralun
22/6/2009
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Les répétitions sont voulues bien sûr, je comprends que cela puisse déplaire, mais elles sont là intentionnellement.
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Anonyme
22/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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un peu de répétitions, mais j'aime cette balade...mais avec un "d"
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Garance
22/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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Balade dans un tableau de campagne très agréable !
J'ai tout d'abord été surprise par les répétitions, et puis j'ai compris qu'elles étaient intentionnelles, du coup j'ai été étonnée de ne plus en lire dans les deux derniers quatrains. Mais la poésie est capricieuse...je devrais le savoir moi qui n'aime que la liberté des vers. |
Marquisard
22/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je l'ai trouvé très approprié, en superbe adéquation avec la toile ce poeme,
rythme lancinant comme suspendu entre souvenir et instant présent, onctueux et frivole à la fois, j'ai apprécié. très bel écrit, très belles images, très bel hommage. merci |
Anonyme
22/6/2009
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Ok pieralun ! Autant pour moi... Je n'avais pas compris pour les répétitions volontaires ! Pour le reste je campe sur mes positions mais ça n'enlève rien à la qualité des alexandrins ... J'espère seulement ne pas t'avoir froissé en débarquant dans ton poème avec mes "gros sabots". Amicalement. Alexandre
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Anonyme
22/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je trouve ce poème fort attachant, et en adéquation avec ce merveilleux tableau de Renoir.
On y retrouve la fraîcheur, la nature heureuse, les vibrations de la lumière, la joie simple d'une femme et d'un enfant... Bravo. Je précise que les répétitions ne me choquent pas, et ajoutent au charme du poème. |
Anonyme
23/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Associer poésie et peinture, quel bonheur! Les alexandrins sont fluides, et on se laisse bercer par cette musique des vers.
Des fleurs, beaucoup de fleurs, certes, mais que voit-on surtout dans le tableau de Renoir! J'ai bien aimé ce poème qui tout d'abord descriptif sort ensuite du cadre du tableau. Cela rend le tableau vivant. |
sentimentic1
29/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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Une belle ballade dans ce paysage impressioniste. On voit assez facilement que les répétitions sont volontaires et du coup, elles semblent manquer ensuite.
Pour le "gueuloir" dont tu m'as parlé par ailleurs, je crois qu'il s'agissait de Balzac. |
Anonyme
6/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime beaucoup Renoir et ce poème me laisse rêveuse devant les mots doux peints sur la toile du net. Je reviendrai lire dans ta galerie.
Et j'ai aimé les répétitions, elles sont délicieuses. |
Anonyme
10/4/2011
a aimé ce texte
Un peu
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Chose promise, chose due, tu as le droit au scalpel moderne-surrélisto-maboule sur ton oeuvre classique. Décorticage en règle. Attention Pieralunum, je tranche.
Bon, déjà, le titre en soi et le choix du sujet restent définitivement classique. Ce qui est cohérent. Mais à part le toit de la chapelle sixtine je vois pas plus classique. C'est pas une critique, rapport à ta question en forum et tout je note... Si au lieu de ballade, tu avais choisi promenade, tu partais déjà sur quelque chose de moins évident. :) Les deux premiers vers de la première strophe sont jolies, elles posent bien le parallèle avec le tableau (je suis pas fan de Renoir mais cette toile est fort jolie, bon choix) Troisième vers, bon, le taillis est un peu déroutant mais on prend. Le dernier vers me convainc moins. Je me permets une remarque, peut-être que j'ignore tout du sujet, mais je trouve que tu uses de répétitions un peu dommages. Chemin là, j'y reviens. La tendre jeunesse c'est un peu plat, et pas très heureux selon moi. La jeunesse florissante m'aurait moins choquée... Velours ou couleur, kif kif bourricot, alors pourquoi diable le bisser?didju et en plus y a bleu qui revient aussi, namého, note pour moi-même offrir un dico de synonymes à Pieralun, classé par nombre de syllabes :)) Je sais que c'est volontaire, mais c'est tout de même dérangeant pour le rythme, puisque ça se perd sur la fin... Et finalement si ce n'étaient toutes ces répétitions, tu gères bien le rythme, tu gères pas mal la rime... Vu que tu accompagnes une oeuvre je peux pas blâmer les images un peu vieillottes, j'ai mal choisi l'oeuvre pour commencer mon travail de coupeuse dans le gras du classique... zut. Cependant... Cependant, je dois avouer qu'ici on a clairement un manque d'émotion évident. Alors choix pictural ou simple description, je n'en sais rien mais il me manque quelque chose. Je ne sens ni les rayons caresser ma peau, ni l'envie de les rejoindre pour monter le chemin. Tu vois ce que je veux dire? Typiquement je me retrouve devant quelque chose de beau, d'assez réussi et de prosodiquement correct mais qui reste malheureusement dénué de chaleur. |
CharlesVerbaud
6/11/2012
a aimé ce texte
Bien ↓
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Une balade avec un seul l c'est une promenade, avec deux l, ballade est une forme de poème fixe (La ballade des pendus de Villon). Le titre contient-il une erreur ?
L'alternance des rimes masculines / féminines n'est pas respectée aux changements des strophes, et dans la strophe 4. Un hiatus au dernier vers "qui embrasse". La répétition des mots au début perturbe, dérange, agace. Et puis elle se perd dans la deuxième moitié du poème, sauf le mot fleur qui revient sans cesse. Cela déséquilibre le poème, pourquoi ne pas avoir continué de bout en bout ? En soi, je préfère quand même la seconde partie, justement par l'absence des répétitions. J'aime particulièrement la transformation de la lumière (...) ignorant la lumière Qui pâlit lentement lorsque fane la fleur Et blanchit quand l’hiver vient refroidir la pierre. |
Anonyme
2/3/2016
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C'est en effet l'imagination qui a pris le dessus sur la description du tableau en lui-même, comme quoi parfois l'inspiration du poète est dans toute chose, est prend sa propre dimension, son interprétation.
Même si les répétitions sont voulues, pour moi c'est une erreur, je ne les trouve pas judicieuses du tout, elles ont gêné ma lecture, elles laissent à penser que l'écrit n'est pas assez élaboré, et elles le desservent surtout, cela est marquant en particulier dans la troisième strophe (pouls 2 fois - enfants 2 fois). Dommage, car il y a quelques images intéressantes, pourtant ce poème n'a pas réussi à m'émouvoir, les mots répétitifs en ont été la cause. |
papipoete
3/12/2022
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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bonjour pieralun
un tableau de campagne qu'il faut regarder yeux fermés, mais le coeur ouvert que tant d'émotions font frémir, alors que dans la toile nous marchons en compagnie de l'enfant... cet enfant dont la dame à l'ombrelle, pour toujours s'éprend... jusqu'à " l'hiver venu d'une existence sage " NB je ne commentai pas ce texte..... n'étant pas encore né sur Oniris ! Mais l'occasion m'étant donné d'aller visiter les dédales de la maison, j'y découvre rutilants, des oeuvres de plume comme cette " Ballade chez Renoir " Comment ne pas tomber amoureux de ce scénario, tant ses héros incarnent douceur et béatitude ! même les grillons animent ces vers, croquant la " pulpe du bonheur " S'il me faut choisir un passage dans ce jardin d'Eden, je les prend tous... tant ils rutilent ! la seconde et troisième strophe m'émeuvent tant, mais leurs soeurs n'ont aucunement à rougir... une poésie semblable à une partition musicale, que toute note fait chanter à travers cette valse des alexandrins. |