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Anonyme
28/7/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Réjouissant !
Très musical avé l'acceng... Merci de ce texte original, un bel exercice de style avec, en toile de fond, une belle leçon de philosophie et de valeurs "d'honnête homme" ! |
margueritec
29/7/2014
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé. Dosage parfait d'humour et de poésie pour demander une bonne place après la vie.
Le langage sans fioriture, une supplique usant du langage courant, correspondent à l'image de Fernandel/Don Camillo. Et dans votre dernière strophe, très belle, (ombre de ma bière, je léguerai mes feux-follets - beau et drôle en même temps) votre dernier vers allège par son humour l'effroi de la mort. J'imagine aisément les vers de terre s'amusant à une partie d'osselets. |
Anonyme
16/8/2014
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[edit]
Salut Pieralun S'il est une chose qu'on ne peut pas reprocher à ce poème, c'est de manquer d'imagination. Mettre en alexandrins l'ultime prière de Don Camillo, il fallait y penser. Si des milliards de poèmes parlent de roses, d'amours malheureuses ou de rebellitude, je gage que vous n'êtes pas bien nombreux à avoir eu cette idée. Avec la rigueur dans l'écriture, l'imagination est le marqueur qui permet d'identifier le vrai poète. S'y ajoute bien sûr sa capacité à faire surgir l'émotion. Ici tu fais mouche en dessinant un sourire sur le visage du lecteur Dans le Shpountz, autre film de Fernandel, son benêt de tonton s'indignait qu'il fasse le comique. J'ai oublié les termes exact de la réponse de son égérie, mais elle disait en substance que de faire rire les gens était faire oeuvre de philanthropie. Merci Pieralun de nous avoir fait sourire avec la prière de ce célèbre ecclésiastique. Et bravo |
Anonyme
15/8/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour pieralun... L'incipit est ici très précieux car il permet d'octroyer ce superbe monologue à ce Don Camillo-Fernandel qui a fait le bonheur de notre jeunesse...
Même l'assent est présent à la lecture... Superbe ! Il y a quand même un vers qui me chagrine un peu... Jusqu'à l'os par les basses œuvres sépulcrales ? ... de par la césure mal placée qui gêne la lecture. Ce n'est qu'un détail et ce texte est vraiment une belle réussite due à la faconde de Don Camillo soutenue par des alexandrins de grande classe et un humour sans bavures qui permet de traiter d'un sujet toujours délicat, la religion, sans qu'il y ait ici la moindre équivoque... De la bel ouvrage, Bravo ! |
Anonyme
15/8/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une supplique sympa, alerte et que l'on entend effectivement prononcer avec force roulements truculence et accent notre Fernandel.
Au passage, le propos n'est pas dénué d'un hédonisme de bon aloi sous-tendu par des alexandrins d'excellente facture. Cela dit, en dépit du talent indéniable de l'auteur, ce poème ne bouleverse pas la production poétique française et reste dans le registre de l'exercice, superbement réussi certes, mais de l'exercice quand même. Édition : je viens d'écrire une bêtise et je tiens à m'en excuser. J'ai tenté de m'en expliquer ici : http://www.oniris.be/forum/qu-est-ce-qu-un-exercice-t19392s0.html#forumpost254536. Du coup, j'entends modifier ma notation qui ne reflète pas l'impression de virtuosité que me laisse ce poème. |
leni
15/8/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Pieralun
Le ton y est juste Suffit de mettre l'accent à la lecture J'aime beaucoup ces quatre vers Vous n'auriez point tendu l'Or des cordes vocales Sous la pomme d'Adam d'un fidèle curé, Si Vous deviez savoir son gosier récuré Jusqu'à l'os par les basses œuvres sépulcrales ? Je ne vais pas tout citer mais j'ai un faible pour ce vers Aux ifs, je léguerai libres mes feu follets, Merci pour cet excellent moment Salut cordial Leni |
Ellon
15/8/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai pris un grand plaisir à te lire pieralun ! Très bien écrit, et amusant. Je trouve l'idée vraiment très originale et l'effet est là. Merci beaucoup :)
PS: moi qui n'aime pas les poèmes trop longs, j'avoue que là...je reste sur ma faim et aurais voulu lire une ou deux strophes de plus :) pour la route ! Ellon |
Anonyme
15/8/2014
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour
Personnellement et c'est rare avec vous mais je reste sur ma faim ! Je m'attendais à quelque chose de plus ironique, de plus persifleur, en résumé de plus amusant. Et je trouve que les vers de votre poème pèche nettement par un manque de fluidité, inhabituel. De beaux vers : Ne laisser pas la mort me faucher par surprise. Ces murs que les vitraux inondent de lumière, entre autres De plus heurtés : Jusqu'à l'os par les basses œuvres sépulcrales ? Pour toutes ces raisons, faites que la mort vienne Après avoir dûment sonné le carillon, Patiemment langui que, dans mon baluchon, J'aie ordonné mon corps et mon âme et ma peine. Je m'excuse mais je n'ai pas retrouvé Don Camillo |
Robot
15/8/2014
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Je n'y reconnais pas, je ne peux pas l'imaginer avec la voix de Fernandel, ni même reconnaître en lui Don Camillo.
Reste un beau texte pieu que chacun appréciera en fonction de sa foi et de ses goûts en poésie et de sa passion pour l'œuvre de Giovanino Guareschi l'écrivain italien créateur de la célèbre figure du curé de Brescello. Vous m'avez donné envie de le relire. Merci ! |
Arielle
16/8/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Plus que Fernandel ou Don Camillo, c'est la patte de Villon qui me fait des signes dans cette magnifique prière où l'humour s'enchevêtre au tragique.
Les trois derniers quatrains, dignes du grand François, pleins d'émotion abandonnent le ton léger des précédents pour exprimer l'angoisse de cette fin peu glorieuse qui est notre lot à tous, croyants ou pas : "Aux ifs, je léguerai libres mes feu follets, Aux vers, de mes orteils, quelques bons osselets." Superbe ! Je n'ajouterai rien concernant la forme qui, comme toujours avec toi, Pieralun, est parfaite et semble couler de source des doigts du maître-artisan ;-) |
Cox
17/8/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Etant assez jeune, je connais mal Fernandel, et je ne peux donc juger ce poème que pour lui-même, ce qui n'est pas un mal. La forme est, pour autant que j'en puisse juger, irréprochable, ce qui est déjà un bon point. Sur le fond je l'ai trouvé réjouissant mais un peu timoré; on sent un ton que chatouille une certaine impertinence, mais celle-ci reste très timide. J'ai un peu l'impression que votre plume hésite, et je trouve que c'est un peu dommageable au texte. Ce n'est que mon avis, mais je crois que j'aurais plus apprécié le texte si le ton frivole y avait été un peu plus développé. Une lecture agréable, quoi qu'il en soit ! |
Miguel
28/8/2014
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Je ne comprends pas bien ce poème : Don Camillo ne veut pas pourrir, il veut, comme on dit, "échapper à la dégradation du tombeau"et monter au Ciel comme Jésus et Marie ? C''est ce que je crois, mais je n'en suis pas sûr.
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