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EtienneNorvins
8/12/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bel hommage aux formes impressionnantes du point culminant de Bora-Bora... Cela a suscité des souvenirs de Melville ou de Segalen. Les alexandrins sont bien frappés. Reste que cela manque à mon goût d'un peu d'émotion...
[En EL] |
Cristale
13/12/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Bonjour,
Le vers 5 a 13 syllabes le "e" pluriel de "siècles" se prononce. Au dernier quatrain : "Toi" est la forme tonique du pronom "tu" de la 2e personne du singulier. Donc "Toi qui nages..." Idem pour "les cligneS" puisque le pronom est le même : toi qui les clignes. Au 5ème quatrain : "Qui déchire parfois la paix les océans." Je lirais plutôt "la paix DES océans" Les quatre premiers quatrains sont agréables, relativement fluides et musicaux, mais la suite me semble relâchée comme si le narrateur était pressé d'achever son poème. C'est dommage parce que l'écriture a beaucoup de qualités. À vous relire. |
Lebarde
13/12/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Une jolie carte postale ou dépliant publicitaire d'une ile paradisiaque au milieu du Pacifique qu'une recherche ( pour ne pas mourir idiot) me confirme bien comme étant une ile volcanique:
"Tel un monarque assis sur un trône d’azur Un anneau de corail où la mer se repose," dont " la cime agrippe les nuages". La description naturelle et précise regorge d'images et de métaphores visuelles bien choisies et du plus bel effet que se disputent avec poésie le ciel, la mer et ce rocher de lave toujours prête à vivre. Les alexandrins bien rythmés (sauf pour le vers 5 qui semble avoir 13 syllabes) sont plaisants à lire, même si j'ai pu ici ou là être gêné par quelques lourdeurs altérant parfois la syntaxe " Et de la lave en flux pour unique matière." ou "Qui déchire parfois la paix les océans. " ou encore "En vague qui pourrait déferler..." (le pluriel aurait à mon sens été préférable) Rien que de petites broutilles sans importance, pour dire quelque chose. Merci pour ce travail poétique de belle facture que me convient bien. En EL Lebarde tout à son affaire |
papipoete
31/12/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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bonjour pieralun
Otemanu, ça y est je sais de quoi l'on parle ; c'est très loin, fort beau et nulle coquille ne se glisse dans le décor, et remplit la tête et l'esprit de ce que l'on pourrait rêver comme Eden terrestre. NB l'auteur se fait peintre, et de toute couleur, du vert au bleu de lagon nous en met la vue, remplit notre regard et suggère à qui nage ici de baisser les yeux, en signe de vénération. Ce Mont de Polynésie qui impose admiration, contemplation ne fut-il pas outragé par les essais nucléaires dans ces eaux du Pacifique ? aussi, même des baigneurs peu scrupuleux paraissent bien innocents, face à ce cataclysme... volontaire ! bien sûr que comme à l'accoutumé, notre poète manie sa plume à merveille, pour nous faire partager cette merveille. les deux premières strophes ont ma préférence. je n'ose le dire ; mais au 5e vers, je crois compter 13 pieds ( siè/cle/soù ) et au 25e vers idem ( qui nage/sen ) si je fais erreur, que l'auteur me pardonne ? je n'écris plus guère ainsi j'en viens à fortement douter de mes aptitudes en versification... |