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Miguel
31/3/2012
a aimé ce texte
Bien
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Quelque chose, dans cette poésie de la ville, éveille en moi une vague et lointaine réminiscence d'un passage de "Nadja", d'André Breton". Ce n'est pas une moindre référence ; mais je trouve faible "au moindre coup de vent", et il ne faut pas écrire "Leur restent-elles" mais "Leur reste-t-il" (tournure impersonnelle).
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melancolique
16/4/2012
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour PierreCaron,
Il y a de jolies choses dans ce poème, j'en retiens particulierement: "Herbes grises, collines, pierres éternelles blanches comme au dernier souffle plus qu’une ombre sous nos pas" Mais il y a aussi certaines choses qui me gênent un peu, comme la répétition dans : "S’oublie tout comme les âmes. Dorment-elles, ces âmes, ou" Et certaines images faciles comme: "De ces rideaux qui chancellent Au moindre coup de vent" Juste une autre chose, dans la première partie du poème, chaque vers commence par une majuscule, dans la deuxième ce n'est plus le cas. Au plaisir de vous relire. |
Pimpette
18/4/2012
a aimé ce texte
Bien
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J'aime ces marches qui ne marchent plus que dans un sens!
le reste aussi j'aime: c'est bien resserré, bien dense. Descriptif sans être barbant. De plus en plus j'apprécie ces poèmes courts qu'on avale d'un seul trait comme une boisson préférée! |
Anonyme
5/5/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je ressens comme un contraste entre les deux paragraphes de ce poème. Si je n'ai pas trop aimé trouvé les âmes-j'aurais préféré sur l'ensemble du poème n'avoir qu'une vision des "choses"- la seconde partie comportent de si belles images. tous les vers sont très évocateurs d'une certaine solitude ou l'inverse d'une solitude certaine.
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