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Ioledane
29/7/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Beaucoup de de fraîcheur et de vivacité dans ce texte enlevé, où perce une sorte de léger ras-le-bol, plein pourtant d'une vraie rage de vivre, au sortir de l'enfance (du moins c'est ce que cela m'évoque).
Ai apprécié de découvrir ici le mot "chabraque". Mon passage préféré : les coquillettes. Bien aimé aussi le frondeur "Qu'a tout froissé les coquelicots". Joli texte. |
David
1/8/2013
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Je n'ai pas réussi à m'imaginer quelque chose pour ce vers : "Un bon petit zef dans les fesses" Je bloque sur "zef", ça ne semble pas du verlan, ou peut-être une abréviation en verlan, mais je n'ai pas trouvé de mot. Surtout, je ne saisi pas ce que cet été avait de spécial, mais ce n'était peut-être à prendre au premier degrés. Ça manquerait d'intensité à mon goût, rien de déplaisant mais pas d'impressions de lecture plus positives non plus. |
pieralun
16/8/2013
a aimé ce texte
Pas
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Pardon ma chere Pimpette,
Tu sais à quel point j'aime bien ce que tu fais. Ici, c'est en aveugle que j"ai commenté ce texte. Peut-être aurais-je eu un regard different, peut-etre aurai-je trouvé une lumiere différente si j'avais su que c'etait toi, c'est tout le problème des comms avec l'anonymat. Je suppose que si Picasso avait peint un de ces visages difformes en toute première intention, il aurait été raillé. L'historique d'un artiste apporte forcément un regard particulier sur l'oeuvre du présent. Mais je reste honnête jusqu'au bout, et je ne change rien à mon commentaire: c'est la plus grande marque de respect que je peux te fournir. La poésie ne peut pas être aussi prosaïque. Le fond....., pourquoi pas , mais il faut faire un effort dans les tournures, peut être faire appel à quelques images, susciter l'évocation, bref il faut essayer d'émouvoir le lecteur. Vous pouvez utiliser les sonorités de mots, de vers, ( lisez des poèmes et vous trouverez des passages musicaux), l'évocation qui peut faire naître chez le lecteur, joie, tristesse......e.t.c, bref l'émotion. Telle est la mission de tout œuvre qui se dit poétique. À vous de jouer.... |
Anonyme
16/8/2013
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Je suis revenue plusieurs fois sur ce poème en Espace Lecture, je le trouvais sympathique (le premier vers accrocheur, le dernier amusant) mais manquant de relief, je ne savais trop quoi en dire...
Ce qui me gêne, je crois, c'est surtout le rythme qui ne me semble pas assez dynamique, assez structuré pour ce qu'il y a à dire. Dommage, parce que les coquillettes à l'agonie assoupies dans du plastique, ça me parle, de même que les coquelicots froissés. Alors, les notations de l'été sont plutôt en vrac, ce qui correspond au sujet, mais je les aurais préférées plus pêchues, en gros. Je dirais qu'il y a de jolies formules à côté de facilités (les cahiers au feu, la maîtresse au milieu, on commence à connaître, les guignes aux oreilles des minettes c'est mignon mais pas assez dansant pour évoquer vraiment, je trouve). Il ne s'en faudrait pas de beaucoup, à mon avis, pour avoir un poème tout à fait charmant, mais là j'ai le sentiment que vous ratez le coche... |
Anonyme
16/8/2013
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Bonjour Pimpette.
Bien que nous soyons dans la catégorie poésie libre, la lecture de ce texte m'a semblée bien trop chaotique pour que j'y prenne plaisir. J'ai juste aimé: "C'est un été un peu foutoir Qu'a tout froissé les coquelicots" Et j'aurais apprécié même un semblant de rimes pour la suite. |
Anonyme
16/8/2013
a aimé ce texte
Pas ↓
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J'ai ressenti en lisant ce texte, une sorte d'ennui. Ca ressemble à une description à la Delerm, avec une tentative poétique, mais pour moi ça tombe à plat.
D'une part en raison d'un argot bien trop daté pour être en 2012(zef, chabraque etc...), d'autre part parce la merguez et les nouilles sont à la poésie ce que Staline était à la démocratie....c'est dire... Il n'y a que le vers sur les coquelicots qui m'a fait sourire. |
ikran
16/8/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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J'ai trouvé beaucoup de poésie dans les instantanés que vous jetez pêle-mêle, comme par exemple les "chouimgums gisent sur la route", le vœu du soir à la tombée d'une étoile a quelque chose de mystique qui, pour moi, évoque très exactement la tombée de la nuit sur une journée très matérielle. La première strophe m'a beaucoup fait rire car il n'y a pas si longtemps que j'étais à l'école et j'imagine bien mon institutrice au milieu des flammes à la manière de Jeanne d'Arc. Pardon, c'est cruel.
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widjet
16/8/2013
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bah, j’ai trouvé ce texte plutôt « frais » et assumé dans son insouciance.
Y’a un côté adolescent à l’instar de ce parlé (le « Qu'a tout froissé les coquelicots » m’a rappelé le « J’ai tout mangé le chocolat » de Sabine Paturel !), son argot et ses quelques images sympathiques (« Trois coquillettes à l'agonie , Assoupies dans du plastique ») Pas de quoi crier au génie, mais pas d’infamie non plus. W. |
troupi
16/8/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ben il y a certains commentaires que je ne m'explique pas. Surtout quand on sait que c'est Pimpette qui a écrit ce texte. Comment et pourquoi irait-elle écrire autrement puisque c'est son style qu'on retrouve dans cette écriture. Cette fois-ci peut-être juste un peu plus déjanté donc peut-être dérangeant pour certains...
Si je ne me trompe pas le "zef" c'est le vent et il est facile d'imaginer l'été le coup de vent coquin qui retrousse les mini-jupes. Les "guignes" sauf erreur sont des cerises que les jeunes filles se pendent aux oreilles. "C'est un été un peu foutoir Qu'a tout froissé les coquelicots." Ces deux vers m'ont immédiatement évoqué la chanson, "je fais rien que des bêtises" On est donc toujours bien dans tes quinze ans Pimpette, continue comme ça, c'est délicieux. |
brabant
16/8/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Pimp',
Eh bien c'est du Pimpette tout craché qui ne dépareille pas d'avec sa vivacité coutumière. Tout à fait ce que l'on peut ressentir à la fin d'un mois d'Août où l'humeur se massacre à la fin de l'été libre. La deuxième strophe est superbe, la troisième aussi, la quatrième serre la pogne à la première et massacre de mélancolie au bord de la vague... à l'âme ! Lol :) ;) Alors il faut survivre jusqu'à l'été prochain, je fais provision de chewing-gums pour maugréer jusqu'au "chouimgum" nouveau :) Comment ça... 2013 va sur sa fin ? Help ! Pimpette ! :))) |
leni
16/8/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pimpette c'est Pimpette C'est du brut et cet écrit peut-être diversement apprécié Chacun a ses critères C'est pour moi du hors catégorie C'est un écrit joufflu comme les autres Simple voire simplissime J'ai bien aimé...les guignes...été foutoir ...tombée d'une étoile....un peu zinzin...Bravo Je note par principe Leni
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Robot
16/8/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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S'il s'agit de noter l'auteur plus que le poème, je ne pourrais que mettre exceptionnel pour l'ensemble de son œuvre parue sur Oniris. Quand au poème, Je lui trouve un côté plaisant, un côté du passé vieillot qui fait son charme comme ces écrits dans les pages de cahiers d'école jaunis qu'on retrouvent par hasard dans ses malles. Mais de Pimpette j'ai sûrement lu beaucoup mieux auparavant. Alors je lui attribuerai un bien +
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Anonyme
24/8/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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Des choses que j'aime beaucoup et d'autre moins dans ce poème dont en général j'apprécie le coté olé olé estival.
Il y a par contre un petit coté Pierre Perret dans la première strophe qui personnellement ne me convient pas. Les deux strophes suivantes sont à mon goût les meilleures et la dernière clôt maladroitement le poème. En fait je crois que c'est : "Un bon petit zef dans les fesses C'est un été un peu zinzin" qui me déplait le plus dans ce texte. |
Anonyme
25/8/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Enlevez la première strophe et votre poème s'en trouvera ragaillardi.
J'aime beaucoup cette légèreté un peu foutraque, cette ambiance un peu déjantée et ces évocations estivales " le tonton les coquillettes, les coquelicots et les chouimgums. Peut-être qu'un rythmes un peu moins sage aurait été en meilleure adéquation avec le sujet. Mais abstraction faite de la première strophe, c'est très ...sympa, en cette fin d’été grisâtre. |
Anonyme
10/8/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Des coquillettes à l'agonie ? Bah non je vais très bien merci.
J'aime bien cet été chabraque et oui aussi, avec quelle joie j'ai crié les maths au feu et le maître au milieu ! J'aime beaucoup la troisième strophe, merci Pimpette, je l'ai vécu, je l'ai vu, j'avais pas oublié, juste mis de côté même cette petite étincelle de tristesse, elle aussi. Eté 2012 ? Et tous les autres aussi. |