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Anonyme
30/6/2012
a aimé ce texte
Pas ↓
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Je n'ai pas aimé ce côté à la fois langage de la rue-mais pas tout au long du texte- et ce poème sans rythme bien marqué.
"toutouillées" : après recherche sur le net je ne crois pas qu'il existe (est-ce un parler local ?) La répétition du mot "courses" n'est pas très heureuse. "les courses odieuses" pas très non plus. "Que des bisous Et des rires fous Les mots doux, les sourires en coin," le passage des articles indéfinis aux définis semble maladroite. Pour le fond, l'idée est amusante, mais j'avoue ne m'a pas trop intéressée. |
Anonyme
2/7/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je lis ce texte et j'entends la voix d'Anne Marie Carrière.
Je retrouve cette veine chansonnière, cette inspiration ludique qui s'adresse directement au lecteur, qui joue avec lui comme un chat avec une souris. Ça fait du bien. Mais ce texte est bien difficile à classer. L'auteur a fait le choix de la " poésie libre " , peut-être par défaut. Je l'aurais bien vu dans la catégorie " Slam des années 60 ". Anne Marie Carrière, le regard furibard, l'index pointé en avant, casquette vissée sur le chigon. Ç'aurait vraiment de la gueule! Car pour moi, c'est vrai, ce n'est pas tout à fait de la poésie. Ce qui caractérise la poésie, c'est la métaphore. Ici il n'y en a pas. Le message est direct, pas besoin de le reconstituer. J'attends la réponse de Robert Lamoureux. Juste un truc qui ne passe pas et sur lequel l'auteur doit s'améliorer : j'adore les confitures. Cordialement Ludi |
Anonyme
5/7/2012
a aimé ce texte
Bien
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C'est un texte amusant plein de fantaisie, qui montre bien la jeunesse d'esprit de l'auteur. Il me rappelle une chanson, "Les bêtises" de S.Paturel, puisque portrait sans concession ni hypocrisie, d'une femme qui assume sa personnalité l'écart des poncifs de la condition féminine et des préjugés qu'elle supporte.
De la verve, donc, de la fantaisie, de l'humour, une certaine dérision de bon aloi, de l'esprit mais finalement pas tant de poésie que cela : le texte amuse mais ne touche pas vraiment sauf peut-être dans la dernière demi strophe où soudain le propos devient plus tendre et plus grave. "Que des bisous Et des rires fous Les mots doux, les sourires en coin, Il se peut qu’avant de mourir Je sois un peu une femme pour vous" Merci pour cet agréable moment. |
Marite
9/7/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Sourire ?
Effectivement c'est avec un réel sourire que je termine la lecture de ce poème. Légèreté, fluidité et spontanéité de l'expression permettent de faire passer un message qui, je le pense, convient à nombre de femmes de notre époque. L'irrégularité du nombre de vers dans chaque strophe ne dérange aucunement mais au contraire porte le souffle de vie qui anime l'ensemble. Merci à l'auteur pour ce rayon de soleil en écriture ! |
leni
26/7/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est un slam presqu'en langage parlé Qui vous dit ce qu je ne suis pas Mais peut-être qu'avant de mourir C'est le tout les jours dit avec humour J'ai en lisant ce texte sourit du début à la fin Sans me casser la nénetteJe ne suis pas une femme pour vous....mais je réfléchirai à la Question Là se suis bon public devant ce ton si nature
je ris La finale est d'une belle tendresse J'aime cette simplicité de dire la vie qui sonne juste! Merci Pimpette |
Anonyme
26/7/2012
a aimé ce texte
Bien
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J'imagine que certains feront leur réponse par MP.
Ce petit cri d'amour, petite annonce sans hypocrisie, touche avant tout par son naturel. La somme (liste ?) des détails/défauts avoués s'oppose à des péchés faisant commerce avec le faux et la préciosité pour gagner le lecteur à la cause populaire. Procédé que n'aurait pas renié Molière pour la forme et le fond. A l'époque où se vendre consiste avant tout à gommer ses défauts (en ne s'inventant que des qualités), il est bon de voir l'essentiel prendre le pas sur le superflu, dans un texte où la poésie et l'amour font, et feront je vous le souhaite, bon ménage. |
brabant
26/7/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Pimpette,
Oui, c'est quand même une femme qui se construit en opposition, un couple qui va se construire en opposition lui-aussi (deux marginalités peuvent-elles s'accorder ?) ; et puis n'est-ce pas un conformisme à rebours, que cet anticonformisme ? N'est-ce pas fatigant à la longue que de se situer ainsi perpétuellement a contrario, à la limite un peu bobo sans l'effet troupeau, encore que... ? Moi, j'aurais bien vu quelque chose dans l'absolu, sans que l'on ait besoin de se situer par rapport aux autres, et puis le partenaire ne risque-t-il pas de n'être qu'un admirateur, au mieux un complice béat, au risque de se faire jeter à la première occasion ? Mais c'est bien sympa, hein, ce petit texte, c'est moi qui suis un peu ronchon ce matin. Allez, je reprends un café !... lol |
Luz
26/7/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Original, simple, gai et vivifiant.
Cela me fait penser à la chanson de Brassens avec sa femme "...qui laissait des pierres dans les lentilles, mais qui s'pendait à mon cou quand j'perdais mes billes...". C'est sans doute un texte à essayer de mettre en chanson avec une ou deux strophes de plus. Merci, Luz |
wancyrs
27/7/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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On passe tellement de temps à nous torturer les méninges pour produire des textes compliqués, des textes qui de plus en plus essayent de rivaliser avec des modèles préétablis, ceci en oubliant comment dire simplement les choses peut être magnifique... Voici un texte qui a de la gueule, et quelle gueule ! Dire des choses mi-figue mi-raisin, sans détour et créer en le lecteur cette sensation de : voilà comment on devrait s'exprimer.
Merci Pimpette, j'essaierai d'être à la hauteur de vos attentes, afin qu'avant de fermer les yeux pour le long voyage, vous soyez ma compagne de périple. lol ! Je kiffe ! Wan |
Anonyme
27/7/2012
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Un texte que je n'aime vraiment pas. Pour moi c'est une succession de clichés sur la femme libre, qui choisit ses amants, qui est drôle, fine et intéressante.
Bref, quelque chose, qui dans les deux sexes, relève du mythe. Et écrire sur le mythe, avec un parlé argotique, mais pas trop, se révele proprement horripilant. J'ai eu le sentiment d'avoir en face de moi un camelot qui me vente sa marchandise, et franchement pour le sentiment amoureux et le bonheur des amants ça n'est vraiment pas agréable. De plus il n'y a pas vraiment de rythme, quand on lit le texte à voix haute c'est heurté, et ça fini de gâcher l'ensemble. Bref, non je n'aime pas, je ne trouve pas ça bon non plus. |
Anonyme
27/7/2012
a aimé ce texte
Bien
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J'ai trouvé ce poème agréable à lire, même si je trouve juste un peu dommage que les rimes soient simples, voire absentes. Mais peut-être que cette simplicité du style est là pour traduire le point de vue du narrateur, traduisant ainsi la légèreté.
Le langage parlé m'a plu, je trouve ça frais et amusant. Ce serait un beau texte pour une chanson à la française. J'aime bien ce côté léger. Bonne continuation |
MissNode
29/7/2012
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Pas emballée, un peu frustrée : pourtant j'ai bien aimé entendre dès le début les airs de chanson que se donne le poème, et toute la sincérité, tout comme le courage de s'attaquer à ce thème de front.
Donc j'ai bien marché jusqu'à "J'réfléchirai à la question", sauf le détail perso : je redoute les "qui" en poésie, préférant les participes présents plus coulant à mes yeux : "Ces femmes douces.." "ne l'étant guère"? ou "Appelant ..." plutôt que "qui appellent"? (vraiment détail) Ensuite, je que trouve l'avant-dernière strophe démarre par une redite sur les courses (pourtant, j'ai la même phobie) et finit par un plat cliché, prolongé par la dernière strophe, dont le rythme inspire cependant la fraîcheur. |
widjet
29/7/2012
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Dans ce domaine, je suis prudent : la poésie, j'y connais rien. Alors, que l'auteur se rassure et ne s'en offense pas plus que ça. Mon commentaire n'a que peu de valeur et de crédit.
Maintenant, si la poésie, c'est écrire des phrases simplistes (en pensant faire des phrases simples) sans le souci (même infime) de les sublimer ou d'y apporter un peu de couleur ; sans souci de vêtir les mots d'une discrète étoffe, ou encore sans chercher à les polir ou leur donner un son pour y provoquer un écho, une minuscule résonance, un souffle évocateur... Bref, si la poésie, c'est utiliser comme seul argument son cœur et la sincérité de celui-ci pour aligner et légitimer la banalité d'une succession de phrases creuses, sans recherche aucune et à la portée de n'importe qui capable de tenir une plume sans se faire une entorse au poignet, alors, oui, nous tenons là un poème. Et un grand. Widjet |
Charivari
2/8/2012
a aimé ce texte
Pas
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bonjour pimpette.
Désolé je n'ai pas trop accroché. Disons que j'ai trouvé cela un peu trop stéréotypé à mon goût tous ces personnages, et au bout du compte, la personnalité de la narratrice ne transparait pas vraiment. Au niveau de la forme, il y a certaines tournures intéressantes, comme ce charmant néologisme "toutouillé", mais c'est un peu plat en général comme expression. Disons qu'il y aurait peut-être matière pour une chanson, mais la structure n'est pas au rendez-vous... Du coup, j'ai un peu de mal à repérer la prosodie voulue. Bon, tant pis, une autre fois ? |
Anonyme
18/8/2012
a aimé ce texte
Bien
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un petit texte câlin et rigolo,
écrit une soirée d'été, avec des yeux rieurs et sucrés qui ne manquent pas d'un certain culot. Une plume habile : Une pimprenelle ? Un mistigri ? Qu’importe après tout si le chat est noir ou gris. Voici découvert celle, dont le sourire vaut sûrement les écrits ! |
fugace
9/11/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bravo Pimpette ! et merci.
Le propre du poète n'est-il pas justement d'être ce qu'il est ? Pas forcément dans les clous, pas rangeable dans une case préformée ! J'ai beaucoup aimé, car sous une apparente facilité, il y a tant de vérités simplement dites. Nous ne sommes pas des clones, les femmes manient parfois mieux la tronçonneuse que le chiffon à poussière ! Pour autant, elle n'en sont pas moins amoureuses et amantes. |
Anonyme
10/8/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Impertinent, coquin, joyeux, rempli de vie. Pétillant et optimiste. Des mots qui auraient pu être dits - qui l'ont été - par une personne de mes connaissances.
Où sont donc passé les grand-mères d'antan ? Ha ma pauv'dame, y'a pus de saison, vraiment ! |