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Poésie néo-classique
Pleurire : Parfums
 Publié le 20/12/08  -  8 commentaires  -  739 caractères  -  119 lectures    Autres textes du même auteur

Parfums ou les senteurs de vie.


Parfums



***
Sens-tu... le charme
Qui se faufile
Aux digues de ton être
À tes rives-lèvres

Mes yeux à l'envers
Ton désir, je flaire
Et dans l'envers de tes yeux
Ton sourire, je veux

***
Sens-tu... le songe
Où se prolonge
L'ébriété charnelle
De nos sens-ritournelle

Mes yeux à l'endroit
Ton miroir, je vois
Et dans les endroits de ton corps
Ta cambrure, je mords

***
Sens-tu... le vent
Qui se balade
Aux temps déployés
À nos sentiments tour-noyées

Sens-tu… la peinture
Des endroits qui se fourvoie ?
Sens-tu… l'esquisse
Des envers qui nous caressent ?

***


 
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   David   
20/12/2008
 a aimé ce texte 
Un peu
Bonjour Pleurire,

J'ai trouvé un peu trop de "envers" dans la seconde strophe et surtout rien pour imaginer ces parfums qu"annonçait le titre, le poème m'évoquerait plus d'autres sens, la vue et le toucher.

   Anonyme   
20/12/2008
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
J'oublie le titre, car à part la répétition du verbe sentir (qui d'ailleurs fait appel au sens du toucher) et du flair, l'odorat est assez absent de ce poème. Où alors, j'ai le nez bouché, et les yeux pas encore en face des trous...

J'avoue ensuite que j'ai beaucoup de mal à saisir le sens de ces vers, à l'endroit, à l'envers, à part qu'il évoque une danse sensuelle.
J'aime bien la trouvaille "tour-noyées". Mais pour quoi ce féminin pluriel?

J'aimerais pouvoir apprécier ce texte parce qu'on y sens de la recherche et de la sensibilité mais je le trouve très alambiqué...Peut-être est-il conçu pour qu'on ne sache plus où donner de la tête?

   AnaiS   
20/12/2008
 a aimé ce texte 
Un peu
Trop de répétitions à mon goût ...

Cependant, l'écriture est assez fluide et le découpage bien trouvé. Certaines images méritent qu'on s'y arrête comme, par exemple, "Qui se faufile / Aux digues de ton être", mais ils faudrait que tout le poème soit ponctué de ces images.

   Ephemere   
20/12/2008
 a aimé ce texte 
Un peu ↓
Bonjour, je m'associe aux commentaires.
M'ont choqués ces inversions : Ton désir, je flaire / Ton sourire, je veux et les répétitions.
Ce parfum n'est pas parfait. qui l'est ?
FMR

   marimay   
20/12/2008
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Bonjour Pleurire,
Les mots endroit et envers sont souvent répétés. Y a-t-il un rapport avec les inversions:
Ton désir, je flaire
Ton sourire, je veux
Ton miroir, je vois
Ta cambrure, je mords
ou ne sont-elles qu'une recherche de rimes?
Votre poème aurait beaucoup gagné en étant en vers libres. Il a de jolies images (aux digues de ton être, l'ébriété charnelle de nos sens-ritournelle) qui ne demandent qu'à être renforcées.

   Anonyme   
22/12/2008
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Une ritournelle plutôt élégante, un poème qui respecte les mots. Dommage tous ces effets de style qui écrasent le style au final. Il reste après la lecture un joli parfum, tout léger, tout sensuel. Je ne me suis pas ennuyée.

   Marchombre   
24/12/2008
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Un certain charme et une douceur certaine se dégagent de ce poème.

J'interpréterais le "Parfums" dans son sens figuré : une atmosphère.

J'aime ce poème.

   FIACRE   
11/1/2009
Pleurire voyage sur des mots crêtés. Vagues courtes. Poneys de la mer sans orage.
Il pose des impressions.
A entendre.


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