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dom1
21/6/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Écrit pour celle qui créait cet éphémère aux allures de toujours.
Bel écrit uniforme et ponctuel qui donne à l'amour vécu ou rêvé la force de l'instant fugace mais si infini. Au delà de vos mots s'enlacera les pensées du lecteur avisé. Quant aux joueurs discrets, ils passeront par là et ne se poseront pas. Tant pis pour eux. Ou tant mieux pour vous ! Bravo pour ces mots... domi... |
Anonyme
24/6/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
Un poème qui me laisse partagée. J'ai trouvé de très belles images et des passages beaucoup moins réussis. Le paragraphe : "Le ciel se reflète....Routes trop belles" est le meilleur du poème, j'ai beaucoup apprécié le mélange d'images et ce "je t'escalade" très prosaïque et érotique. Le dernier vers est percutant. Ce serait plutôt la première partie que me convainc moins. "Mes lèvres cherchent..." attendent un complément d'objet qui ne vient pas. "De tes lèvres je ferai sortir" -> trop banal ou mal dit, les verbes faire et sortir ne sont pas top. J'ai aimé associer les derniers vers des trois premiers paragraphes et le final qui forment en eux-mêmes un poème au sens subtil. Quelques détails à revoir et ce poème m'enchanterait. Merci du partage, Éclaircie |
Luz
25/6/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
J'aime beaucoup, sans trop savoir pourquoi ; le poème dans son ensemble sans doute, la troisième strophe en particulier, et puis : "Je suis le chemineau de tes routes trop belles". Bravo pour cette écriture tendre et les belles sonorités. Luz |
Anonyme
27/6/2020
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
J'ai beaucoup aimé votre poème jusqu'à "départ infini" Il y a jusque là un élan qui mène le poète jusqu'à l'heureuse évocation : De tes lèvres je ferai sortir des voyages Des goélands caresseront tes hanches métabolisant ainsi l'aimée en navire capable de l'emporter ailleurs pour ce départ infini. C'est pourquoi je ne comprends pas cette chute du dernier quintil dont je ne m'explique pas la présence tant les métaphores me semblent improbables et pour dire le vrai ridicules dans ce contexte. Sérieusement, je crois que supprimer ce quintil serait vraiment une bonne idée tout en conservant "Je cherche en toi une impossible issue" en conclusion de ce poème. Merci de ce partage. Commenté en EL |
Queribus
10/7/2020
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Ce poème me semble comporter de très belles images poétiques: "Par delà le fardeau.....je t’appelle", "Je suis un champignon dans le sous-bois", "Un renard qui se cache...", je suis le chemineau" mais aussi, et c'est dommage, quelques petites maladresses: "Tu es ma pauvre géographie", "Mais je te couvrirai de naissance", "je t’escalade" Ceci dit, l'ensemble me semble quand même réussi dans sa catégorie d'une poésie libre bien assimilée dans sa forme. Bien à vous. |
Cristale
10/7/2020
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"Un renard qui se cache dans les bosquets de tes aisselles"
Bigre ! Il me faut réfléchir un peu sur cette phrase. "Le ciel se reflète dans la sueur de tes mains et de ton visage" Diantre ! Je vais essayer de me concentrer pour mieux appréhender ce joli poème qui comporte un message, mais je ne sais pas encore lequel. |
papipoete
10/7/2020
a aimé ce texte
Pas
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bonjour PlumeD
Si l'auteur s'adresse à une créature humaine, je gage qu'elle soit au fait de la science des devinettes ? Par moments l'on envisage bien une femme ( de tes lèvres, tes hanches, ton visage, ta chevelure ) mais il faut une certaine imagination ! NB un texte selon moi, beaucoup trop énigmatique et compliqué ( que faut-il voir en " renard caché dans le bosquet des aisselles ? " ) Je renonce... |
Stephane
10/7/2020
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
J'appelle ici à l'explication logique, à l'amour distancié mais non distanciateur, aux goélands qui caresseront tes hanches, au renard qui se cache dans les bosquets (?) de tes aisselles (j'imagine des aisselles poilues mais bon, l'image n'est pas très poétique et ne fait pas trop envie !), etc. Je me suis complètement perdu dans cette géographie et je cherche la lumière dans l'opacité du champignon hallucinogène qui m'est offert. Merci d'éclairer ma lanterne. Stéphane |
Pouet
10/7/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Slt,
très très belle troisième strophe, sonorité, fond, forme, tout y est. C'est le passage le plus fort, le plus marquant du texte. Pour moi s'entend... Un texte d'amour vu de "l'intérieur". Lecture fort agréable non dénuée d'une certaine "puissance". Merci |
placebo
10/7/2020
a aimé ce texte
Bien
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C'est assez rare, je suis réellement intrigué par ce que l'auteur veut dire avec "tu es ma blanche". J'imagine aussi bien la couleur de peau que la note qui dure.
J'ai moins aimé la deuxième strophe. La troisième m'a plu. Je trouve que la quatrième fait intervenir non seulement un ralentissement dans le rythme, que j'apprécie beaucoup, mais aussi des images nouvelles. La fin vaut surtout avec l'exergue de Gainsbourg. Très bonne continuation, placebo |
Corto
10/7/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Serge Gainsbourg avait-il toujours bon goût ? That is the question...
Puisque l'auteur en a fait une référence on peut s'attendre à tout. Ce poème-jeu est donc à prendre avec prudence. Personnellement j'aime bien la troisième strophe mais laisse le reste pour des jours de rigueur. Qui sait ? le dernier vers ouvre les possibles... |
Melorane
10/7/2020
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
Je suis plutôt partagée sur ce texte. Je n'y comprend pas vraiment toutes les images. Par exemple, "Tu es ma pauvre géographie", "Des goélands caresseront tes hanches" ou encore "Je suis un champignon dans le sous-bois de ta chevelure" sont pour moi très abstraites. De plus j'ai du mal à savoir si le narrateur est plutôt dans l'urgence et la ferveur du moment (les deux premières strophes me le font penser) ou dans une déclaration plus posée, tranquille et douce (ce que la fin du poème me fait ressentir). Cependant je reconnais qu'il y a de belles images, plutôt recherchées. J'aime bien : " je te couvrirai de naissances", "Tu seras le départ infini.". J'apprécie également la tournure du dernier vers. Melorane |
Davide
10/7/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour PlumeD,
Eh bien ! J'ai trouvé plutôt convaincant cet "Appel" fébrile, où le désir d'amour, immodéré, se heurte à l'impossible frontière des corps. Jolie écriture libre, déliée. Beau début, où est subtilement dépeinte la prison dans laquelle s'est enfermé le narrateur, esclave de son désir : "Mon corps t’appelle". Dans la troisième strophe, introduite par ce magnifique double sens ("blanche" = cocaïne / jeune fille à la peau blanche), on sait que le narrateur chavire ; une sorte de folie s'instille en lui comme une poudre trop blanche... Et l'on ne s'étonnera pas des images loufoques, extravagantes, qui éperonneront sa passion irréfrénable ("tu es ma pauvre géographie"...), et qui trouveront un paroxysme dans la quatrième strophe, délicieuse de grotesque et de surréalisme : "Je suis un champignon dans le sous-bois de ta chevelure Un renard qui se cache dans les bosquets de tes aisselles" Cette montée en puissance justifie la retombée, soudaine, le superbe vers final, l'impossible issue, l'impossible tout cours : "Je cherche en toi une impossible issue." Oui, ce poème nous parle d'un very bad trip : se droguer pour sortir de la drogue ? Une entreprise vouée à l'échec... |
Yannblev
12/7/2020
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Bonjour PlumeD,
Je ne sais quoi dire de ce texte. On sent bien une certaine envolée lyrique au moment de transcrire les images et les idées mais une telle « invitation » avec de telles propositions, ces bêtes sauvages et ces champignons, pourraient finalement bien foutre la frousse à l’amant que je serais. Par ailleurs, et c’est très subjectif, le « Verlainien » que je suis ne trouve pas son compte musical dans cette partition. Mais il est possible que l’envolée lyrique que j’évoquais a commandé le ton haché et sans trop privilégier l’harmonie qui assez souvent peut détourner le lecteur du réel motif de l’expression. Merci de ce partage. |