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Anonyme
21/3/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bel hommage rendu au phare, associé successivement à un mendiant, à un insecte, un "faucheur désespéré" ou à l'"épouvantail dressé" ou encore à "un temple en devenir". Toutes ces images sont réussies et rendent le phare vivant et attachant.
Le poème est construit sur l'anaphore de " phare" ce qui m'a rappelé le rythme du poème " îles" de Blaise Cendrars. Merci pour ce partage. |
Gabrielle
26/3/2020
a aimé ce texte
Bien
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Comme une lumière dans la nuit...
Ce texte rend hommage aux phares et à leurs missions si nécessaire... La poésie donne une jolie définition du rôle à jouer par ces "premières colonnes d'un temple en devenir". Perçus comme indispensables, ils sont des guides et chacune des définition données par le poète renvoient à un rôle privilégié. Merci à l'auteur de ce texte qui aborde le sujet avec autant d'originalité. |
poldutor
10/4/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour PlumeD,
Bien que pas très "fana" de poésie libre, j'ai lu avec plaisir "Phares". Comme vous j'aime ces constructions géantes "qui égratignent le ciel" dominant une immensité plate "faucheur désespéré d'une mer...", avec le balayage lumineux de leur faisceaux "Tournant sans fin son œil d’insecte géant." Belle évocation des phares que l'on a trop l'habitude de voir, et dont on ne loue pas assez leur utilité. Bravo. Cordialement. poldutor |
Pouet
10/4/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
très agréable lecture matinale que cette évocation imagée de ces sentinelles océanes. De fort jolies images créent un ensemble harmonieux. (Je me suis moi-même essayé à ce thème dans poème publié ici "Gardien du phare", thème propice à l'évasion, peut-être paradoxalement...) Quoiqu'il en soit, bravo pour ce poème. |
papipoete
10/4/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour PlumeD
on le voit bien votre " éclaireur des mers ", planté là au milieu des vagues, qui jamais ne prennent de repos. son portrait richement ouvragé, nous en met plein la vue, et l'on baisse la tête à chaque balayage, on se sent comme lui bien grand ! NB plein d'images comme dans un livre d'enfant, on voit ce moissonneur oeuvrer alors que de l'étendue marine, ne dépasse aucun mats, le marin alerté s'étant écarté ! " phare mendiant... à caresser " est lumineux, c'est mon image préférée ! |
oiselle
10/4/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Phare mendiant de son bras de lumière
Un fanal, une île à caresser"... Belle image de la silhouette solitaire du phare, en quête... Chaque vers provoque une multitude de paysages, on sent les embruns, le temps qui passe, l'espoir d'une présence sur la mer... À la fois dans la désolation, la résignation et le sentiment du devoir accompli, ce phare "être animé"? est attachant. Merci, PlumeD |
hersen
10/4/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le phare, tout un sympbole.
J'aime beaucoup la façon dont il est traité ici, avec une grande poésie. Un édifice les pieds dans l'eau et la tête dans la lumière... incontournable silhouette des côtes accidentées... qu'il faut contourner avec prudence ! je suis un peu critique sur la présentation, je ne la trouve pas très jolie (ce qui bien sûr n'altère pas la qualité du texte) merci pour cette lecture aux embruns iodés ! |
Anonyme
10/4/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Encore une très belle poésie libérée sur les phares avec beaucoup d'images comme je les aime : Où le ciel s'égratigne Son oeil d'insecte géant, Patientant dans l'oubli. Par contre les hiatus passent aussi mal en versifié qu'en libéré et j'aime moins le : Phare égaré au-delà... Mais un bon texte, finalement, comme je les aime dans cette catégorie, et que je comprends ce qui n'est pas toujours le cas. |
Robot
12/4/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une profusion de belles images littéraires pour illustrer ce thème des phares.
Un temple en devenir, pour le dieu Neptune certainement. |
Myndie
12/4/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour PlumeD,
J’aime infiniment votre poème qui, à l’instar des tableaux de l’époque romantique allemande, évoque la nature et le paysage avec une imagination picturale grandiose. Dans votre tableau, les couleurs, les formes et le mouvement fusionnent. La mer communique ses balancements aux choses inanimées, le phare, personnifié, « épouvantail dressé », de son regard tournant illumine la mer et le ciel, les îles et les mâts, semble leur donner leurs couleurs. La lumière implacable marque ainsi les contours d’un géant qui regarde le lointain. Vos images, à la fois poétiques et chargées d’énergies, ont une réelle puissance d’évocation visuelle : elles font poindre des significations multiples, voire de la symbolique où chacun trouvera son compte. Et ressortir la profondeur des sentiments. Merci pour ce joli moment d’évasion |
Stephane
19/4/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai bien aimé ce phare, ce faucheur désespéré, l'égratignement du ciel, la vague trop sûre d'elle, le bras de lumière, l'île à caresser, les mâts et les carènes... Ca sent la mer, le sel, la vague, les mouettes et tous les phares du monde pour mieux nous éclairer, les nuits noires comme un glaucome, la lune perdue au fond d'obscures rencontres, les nuages et la pluie...
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Groscoco
14/2/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime vraiment ce poème qui décrit avec des images complexes des constructions qui pourraient passer comme bénignes. Je trouve vos phares absolument extraordinaires, jamais plus je ne les regarderai de la même façon. C'est très beau, j'aime les proposions et cette espèce d'impuissance du phare qui existe malgré tout, opérant sa fonction de phare.
Le cinquième vers "Phare égaré au-delà de la dernière mer", m'a paru moins évocateur (mais je ne suis pas le plus allumé alors ca vaut ce que ca vaut). La dernier vers semble ouvrir vers quelque chose d'autres, de moins descriptif dans une sorte d'ouverture. J'aurais bien aimé en savoir plus sur ce temple en devenir. Un jour peut-être! Merci pour ce texte, au plaisir de vous relire. |