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papipoete
30/12/2014
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bonjour Pluriels1; votre poème fait penser à un Everest que seuls des grimpeurs aguerris se mettraient en tête de conquérir! Je ne cherche même pas à relier ensemble des vers, qui me semblent écrits par une Encyclopédie Universalis du vocabulaire! Je songe à un échafaudage enlaçant le Phare d'Alexandrie de tels segments, courbures, volutes tourmentées, qu'il en devient plus extraordinaire que la merveille elle-même!
Devant la somme de réflexion, la recherche de l'équilibre parfait, je reste pantois, mais ne peux objectivement évaluer votre oeuvre. |
Anonyme
30/12/2014
a aimé ce texte
Un peu
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Il faut y mettre une musique ou un rythme pour déceler un sens ou une ambiance ou une couleur ou quelque chose. Je n'ai pas trouvé la musique, j'ai cherché une construction : passer du premier vers au premier suivant ou lire à l'envers, je n'ai pas trouvé.
L'exercice est mathématique, comme si on alignait des galets sur le sable dans un agencement compliqué, ou des menhirs, mais personne n'a trouvé le sens de Carnac. |
Coline-Dé
30/12/2014
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La construction est rigide, chaque vers ou presque commençant par Le ou Les, seulement distrait par Luxes qui revient immuablement en même place... Cela donne au poème quelque chose de hiératique qui me fait plus penser à un catafalque qu'à un lit d'amour ! C'était le but recherché, le titre l'indique, mais la cérémonie dure trop longtemps à mon goût.
Certaines images m'ont parues belles, recherchées voire précieuses ; mais trop c'est trop, je n'aime pas mettre la poésie sous vitrine blindée. |
Pussicat
1/1/2015
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Bonsoir, bonne nuit, bon l'An, ce texte me plaît, me questionne, il trombonne en moi et cela me plaît ; tout d'abord cette forme verticale et monstrueuse, oui monstrueuse... il faut avoir faim pour lire votre texte bâti comme un immeuble, un gratte-ciel, un gratte-moi si tu le peux, si tu le veux...
Le "luxe" de l'architecture est présente dans sa forme, dans ses strates, partout, et en refrain... c'est un poème en prose calibré : chaque vers commence par la lettre "L" ; c'est un "luxe" que vous vous accordez. Il faut lire et relire cette complexité.... Je suis impressionnée... j'ai c/c votre texte que je lis et relis... il me semble un découpage... et quelle poésie : "L'onde du ventre nacre pure sacre l'encre baisée des paupières"... c'est beau ! Il faut prendre son temps... Superbe, magnifique... je suis branquebalée par votre texte... bravo ! A bientôt de vous lire, |