|
|
Marquisard
4/5/2009
|
Par la taille de la police, la police en elle même et par le style décousu employé, je n'ai rien décrypté.
mais cette lecture distraite m'a permis d'entrevoir une toile surréaliste sur fond jaune citron amer, tirant des perspectives sur des nuances de verts citrons, fin bref. merci pour cette petite dose d'inspiration |
Absolue
4/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Désolée mais je n'accroche pas du tout sur la forme... J'ai l'impression qu'il manque des mots et que la syntaxe n'est pas correcte...
Ex: "Jaillissement aux yeux un pleur", "le ciel en bleu tombé des verts", "couchés au vert nus peu bronzés", "A l'oeil un or là nous couronne"... ?? Je suis perplexe... A la deuxième lecture, je salue quand même la richesse des rimes et le travail accompli. Mais... Pas mon genre quand même! |
Anonyme
4/5/2009
|
Ben , je sais pas...Pourquoi cette mise en page? Excuse-moi, mais je n'ai pas vu l'intérêt de composer un poème rectangulaire. On dirait que les mots ne peuvent s'envoler, qu'ils se cognent sur le mur invisible de la marge à droite.
J'aime bien le citronnier qui vient nous baiser d'un parfum doux. La syntaxe est drôlement torturée. je ne note pas : je n'ai sûrement pas toutes les clés pour apprécier ce texte. |
FABIO
4/5/2009
a aimé ce texte
Un peu
|
Cette fois ci je n'accroche pas.
Des vers trop compliqués pour moi, la musicalité ne me parle pas, le rythme est freiné, pour ma part, par trop d'effets de style; Bonne continuation et sans rancune j'espère. |
nico84
4/5/2009
|
Le dernier poéme, je n'ai rien compris et l'auteur a eu la gentillesse de me donner quelques clés en message privé. Ce matin, peut être fatigué, je l'ai lu.
Rien compris. Une habitude chez moi alors j'ai pas osé commenté. |
xuanvincent
4/5/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Il m'a semblé retrouver dans ce poème le goût de l'auteur pour les beaux mots.
La police du texte m'a toutefois au départ un peu gênée pour la lecture. Comme pour le précédent poème, bien comprendre le sens des images et le sens général du texte ne m'a pas été évident. |
Anonyme
5/5/2009
a aimé ce texte
Un peu
|
Perso, je suis pas fan, pas du tout même, des poèmes qu'on doit lire avec une "notice" de l'auteur... D'ailleurs je me refuse à la lire, cette notice... Na! Peut pas m'forcer non plus... Non mais.
Alors, ne pas tout comprendre ne me dérange pas non plus, ça tombe plutôt bien ici... Extrait de "fruit de la passion écrit chelou", bon... J'ai lu, sans grande passion, je l'avoue, j'ai préféré les textes précédents de l'auteur. Ici, pas grand chose à se mettre sous la quenotte.. "Le citronnier vient nous baiser", pas fou non, le laisserai pas faire moi, c't'enfoiré d'agrume! Pas persuadé... |
Raoul
6/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
L'auteur n'étant pas hôte à me laisser des clefs, je ne peux pas ne pas me poser la question sur la vacuité d'un tel monolithe, d'un tel travail d'artisan singulier.
Je me laisse hypnotiser par moment, reste à savoir pourquoi et pour quoi puisque je ne suis pas concerné par ce qui se dit (tellement opaque), n'y vois que patchwork de textures textuels, (tout de même dire que ma strophe préférée est la 6) quelques mots lèvent un peu le pend par instant, mais… Le carcan maso. est assez hallucinant, le travail des octo. et les rimes, l'absence de ponctuation, le vocabulaire parviennent à me captiver, je dirais, comme une de ses toiles de Morellet basées sur un "système" de rythme abstrait dont se dégage, parfois, une certaine poésie conceptuelle ou d'heureux hasards… Parfois… Pas convaincu. |
Anonyme
5/5/2009
|
Une syntaxe très étrange et un apparent manque de connexions logiques entre les groupes de mots m'empêchent... de savoir si j'aime ou pas !
Peut-être un poème intello ; pas ma tasse de thé... |
Anonyme
5/5/2009
|
Bonsoir Pluriels 1 ! J'ai lu, relu, rerelu et cette fois encore je n'ai pas trouvé la clef qui m'ouvrirait la porte de ce mystérieux poème. J'aurais bien sûr pu m'abstenir de tout commentaire mais j'aimerais comprendre cette forme de poésie. J'ai tout de même trouvé plaisant la cinquième strophe... Au crin pendu... etc.
L'Ecole poétique de Bannalec me dévoilera-t-elle un jour ses secrets ? Je compte sur toi ami Finistérien... Amicalement |
BAK
6/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Un peu trop alambiqué pour moi, même après plusieurs lectures.
Seule la disposition des rimes.... |
David
9/5/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Pluriel1,
Le jaune au début, en premier mot du titre, ça m'a plu, c'est la même voyelle qui lance le poème avec son Ô, ça fait un genre d'abracadabra. Après ce langage, avec ses collages parfois, dans sa mise en page rectangulaire, ça poursuit cette idée... une tentative de magie blanche ? essai tranformé pour moi. |
Anonyme
9/5/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Bizarrement, la mise en page ne me choque pas et je trouve que le rythme est plutôt bien agencé.
Il n'y a rien de suffocant et je trouve même ce poème assez fluide. Des images belles, qui ne me parlent pas forcément mais on sent une belle recherche des mots. |
Sash45
10/5/2009
|
J'apprend à lire...à nouveau et j'aime ou pas trop, Et sur le coup je n'accroche pas le style, même si les rimes sont recherchées.
|
Anonyme
10/5/2009
a aimé ce texte
Vraiment pas
|
J'avais mis mon commentaire de côté pour ce poème pour voir si je pouvais le modifier mais hélas je ne comprends toujours rien au texte. Je l'ai lu, lu et relu, rien ne passe. Dès le premier vers je suis perdu. Il faut se mettre à la place du lecteur, la lecture est illisible ici. J'exagère peut-être mais il faut dire ce que l'on pense.
-------------- "Et de cotons, blanc hasard d'un" Mettre "d'un" à la fin de ce vers, c'est pas très beau en poésie. Pour moi il faut retravailler sérieusement ce poème. |
Lotier
1/12/2022
|
Quand la contrainte dénude les vers, que le sens se perd dans le blanc de la page, que l'image est silhouette, diaphane, esquisse exquise, la poésie encore jaillit des mots lus. J'y ai senti des émotions mallarméennes (comme dans « Un coup de dés jamais n'abolira le hasard »).
Une très jolie découverte… |