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Anonyme
9/11/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonsoir Pluriels ! Je reste un peu circonspect pour ce qui est de la forme, alexandrins justifiés et absence de ponctuation... Par contre, le désert est bien représenté et, en lisant tes lignes, j'ai pensé, je ne sais trop pourquoi, à Théodore Monod, ce vieux savanturier pour qui la pire des punitions était d'être privé de ...désert ! Je pense que, tout comme moi, Théodore aurait aimé ces belles images... Bonne soirée. Alex
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Chene
10/11/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonsoir Pluriels1
Il faut que tes alexandrins justifiés apprivoisent le lecteur pour qu'il entr'aperçoive* les grains de sable qui assoiffent le marcheur. Ton poème peut paraître aussi difficile d'approche que ce puits de la dernière "terza rima" après un parcours où le soleil a dû cogner fort pour que tes mots ne soient pas qu'un mirage. Quant à la chamelle, ma curiosité m'a poussé à vérifier sur wikipedia si tu parlais d'un désert d'Afrique du Nord ou d'un désert asiatique... Mais impossible de les départager géographiquement, la chamelle étant aussi bien la femelle du chameau (à deux bosses d'origine asiatique) que celle du dromadaire (originaire d'Arabie et à une bosse)... De quoi s'y perdre dans ce désert zoologique. Un sacré travail ce poème, avec un sens qui se mérite. Chene * PS : M. Oniris vous pourriez dire à votre "vérificateur d'orthographe" branché sur les commentaires qu'il est nul ? Essayez avec "entr'apercevoir" ou "entrapercevoir"... Il considère qu'il y a une faute. Mais s'il n'y avait que cela ! |
wancyrs
10/11/2009
a aimé ce texte
Bien
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Salut Pluriel1
désolé, je n'y comprends que dalle, et même les images étaient fuyantes. lorsque je lis ce type de poème, j'ai envie de dire : maintenant, traduction. Néanmoins, pour le travail de recherche (car ce n'est pas parceque je ne le comprends pas qu'il est mauvais) je dois t'acclamer car je respecte cette patience et cette minutie que certains peuvent avoir à une prochaine lecture. |
jaimme
10/11/2009
a aimé ce texte
Bien
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Au delà du travail impressionnant que cela a dû demander, je me suis seulement laissé porter par la musicalité et le sens général, ces impressions de désert aride.
Des mots ressortent ici et là, ponctuent la lecture, frappent l'oreille et donne un tempo curieux et agréable. Bien adaptée au thème, cette absence de ponctuation me fait penser à l'infini du Sahara. Pas d'obstacle à la vue et des sens en éveil. Curieux au total, mais je ne suis pas indifférent. |
lotus
11/11/2009
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C'est un vrai travail d'orfèvre.Chaque mot est sculpté, chaque verbe ciselé avec une incroyable minutie. L'absence de ponctuation me donne cette impression d'étendue désertique où je cherche un point d'eau limpide, une éclaircie pour comprendre le sens exact. Votre point final ne m'a pas donné toutes les pistes mais je sais qu'elles existent quelque part dans la beauté du phrasé qui n'appartient qu'à vous, poète atypique comme j'en croise peu. . Une chose importante en poésie m'a guidée entre les grains de sable...votre musicalité, elle aussi d'une grande rigueur.Pas facile de rédiger un commentaire à la hauteur d'un tel texte...mais je tenais à saluer votre travail d'auteur.
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Anonyme
14/11/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pour ma part la forme, même si je salue le "travail" de l'auteur me laisse de marbre. Ou plutôt ce n'est pas la forme qui me fait aimer ce poème. Car j'ai vraiment bien aimé. Une belle écriture , de bonnes associations de mots. Original et attrayant.
Une agréable lecture. Gracias. |
David
14/11/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Pluriels1,
Des drôles de À juste avant le milieu du vers dans la 6ème strophe, des effets de "chansonnette" comme avec : "où le lézard rit vif" "un pied là dur et las" "guette rêve la halte" ... Ça serait à écouter autant qu'à lire, certains mots sont accolés de façon surprenante, sans lien de sens évident : "Le vent de sable habille un mot prononcé bas Forme glissant mouvante aux absolus silences Et le soleil met nu sur la pierre intangible" Mystère de la nudité mise par le soleil sur la pierre... |
xuanvincent
15/11/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Merci à l'auteur pour ce poème. Les images, le style - recherchés - comme pour les textes précédent, m'ont intéressée.
De plus la contrainte, celle du vers justifié, m'a paru ne pas nuire pas à la forme, donc bravo ! Bonne continuation à l'auteur PS : La typographie, cette étonnante régularité de présentation des vers sur la page (ou sur l'écran en l'occurence), peut sans doute surprendre un peu au premier abord mais a posteriori, je trouve ce choix intéressant. |
Brisemarine
16/11/2009
a aimé ce texte
Bien
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Sincèrement, c'est la première fois que je lis un poème en vers justifié; et je trouve l'exercice surprenant, mais très intéressant! Manifestement vous l'avez très bien réussi d'autant que cette association déroutante de mots dans des vers non ponctués sert bien le thème: nulle piste dans ce désert caillouteux.
Ma lecture m'a appris! Merci |
Anonyme
17/11/2009
a aimé ce texte
Bien
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Je suis impressionnée par l'exercice, qui au défi d'une contrainte peu commune, nous entraîne efficacement dans ce désert mordant.
J'ai particulièrement apprécié certains vers comme "Le vent de sable habille un mot prononcé bas", "Ciel pervers sur son temps de chaleur imagée", "Noir et blanc incendie où la roche", et le dernier vers. Je n'aime pas trop "Qui bat brune asséchée en ricanant rectangle". Ne manque-t-il pas un "s" à blanc ? (pardon de chipoter ;-)). Intéressante lecture en tous les cas. |