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Marite
13/3/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Ce poème reste hermétique pour moi. Parfois une image se dessine à la lecture mais les mots qui suivent viennent tout embrouiller et je n'arrive plus à me retrouver dans le fil de la poésie.
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bulle
16/3/2010
a aimé ce texte
Bien
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J'ai dû reprendre ma lecture nombre de fois, avant de trouver la faille qui me ferait entrer dans les mots..
Et puis, la 'découverte', du moins celle que je crois avoir faite, enfin.. Un désert de dunes (erg) et un désert de pierres (reg), qui se croisent et se 'comparent'.. L'expression m'est apparue rigide au premier abord, mais je me rends compte qu'elle retranscrit au plus juste cette 'austérité'.. L'absence d'article introduit pour moi une 'fixité'.. Une belle écriture, en tout cas, qui donne vie à ce décor figé. Et le mot final "Sentinellité", boucle le tout très joliment à mon goût. |
Anonyme
17/3/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Assez belle évocation d'un monde minéral qui n'évite pas toutefois quelques formules peu heureuses : "Que déparient..;" ; "...de sentinellité". Mais ce ne sont que des détails car la musique affleure à tout moment et ce n'est pas rien.
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ristretto
17/3/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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certains très beaux livres regroupant des photographies d'art, sur papier glacé et grand format me font le même effet que la lecture de votre poésie : beau, très beau mais glacé justement et loin de m'émouvoir... je le regrette un peu
j'ai été touchée ( tout de même ) par la personnification du vent érodant : " Que déparient les vents aux souffles dépravés." merci de ce partage |
LeopoldPartisan
17/3/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voici un poème néo-classique qui une fois n'est pas coutume m'a séduit. Il y a dans l'emploi des mots une réelle modernité qui ne tombe ni dans l'hermétisme ni dans l'intellectualisme aride, malgré que cela parle de désert. Il y a une bien belle observation des lieux et un véritable sentiment d'éternité et surtout et c'est vraiment la force du poème d'universalité.
L'ambiance générale m'a évoqué en filigrame le sublime roman "le désert des Tartares" de Dino Buzzati. |
Leo
21/3/2010
a aimé ce texte
Bien
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Un texte dérangeant. D'un chaos initial de sables, où on se sent perdu (sensation fortement accentuée par une ponctuation complètement "folle", comme une série de mirages qui accrochent l'œil sans jamais emporter son adhésion), émerge soudain une forteresse minérale, finie, lisse, "falaise endimanchée" (jolie expression).
On retrouve à la fin, dans la dernière strophe, la thématique du roman de Buzatti ("Le désert des Tartares"), dans cette bastille qui n'existe que pour des envahisseurs qui ne viennent jamais, et qui devient ville morte, sentinelle inutile, au moment même où elle naît cité, au moment même où ces "fleurs" naissent dans l'océan du désert. Et la sentinelle inutile s'élève au ciel, comme si elle percevait que son véritable ennemi n'était pas l'envahisseur, mais la mort elle-même. Un texte très difficile d'abord, aux multiples thèmes entrelacés, mais qui démontre une grande maîtrise d'écriture. Je pense cependant que le parti-pris d'un style très haché ne s'imposait pas nécessairement. Il perd un peu le lecteur sur des impressions qui ne contribuent pas à un tableau général, et qui freinent l'"entrée" dans le texte. |
Anonyme
26/3/2010
a aimé ce texte
Bien
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Pas vraiment convaincu par les deux premières strophes tant par le rythme que par l'expression, j'ai bien apprécié la suite jusqu'à la fin.
Bon pitêtre un peu trop de répétitions à mon goût, "pierre", "roche", "ciel"... Je trouve l'ensemble assez original, la dernière strophe me plaît. |
Chene
27/3/2010
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Pluriels
Des sensations de dureté minérale, de vent chaud, de lenteur et d'approche saccadées contribuent à dresser une perception particulière de ton poème. L'expression descriptive est omniprésente, maîtrisée, évocatrice, voire exarcerbée par l'emploi d'un nombre très important d'adjectifs, et de participes passés. C'est la force de ce poème mais également, à mon sens, son défaut. Cette surabondance est, je le présume, un choix volontaire de l'auteur. Mais elle crée des appositions descriptives et entraîne immanquablement un choix de ponctuation qui rend le rythme des alexandrins en partie chaotique. Certes, il y a là une correspondance visuelle entre le paysage et les images mais elle amoindrit la qualité de lecture. Cependant, cette forme choisie crée bien une dualité : celle d'un paysage vécu (les expressions et adjectifs "minéraux") et d'un paysage perçu (les expressions et adjectifs portant sur les sensations du marcheur). C'est là la principale qualité de ce poème. Au final, le ressenti est fort mais le rythme pas assez fluide à mon goût. Bonne continuation et cordialement Chene |
Anonyme
31/3/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Il y a de très belles choses dans ce poème... même si je ne suis pas toujours en accord avec la ponctuation choisie...
Voilà mon commentaire ne servira pas à grand chose, objectivement, mais j'ai apprécié ma lecture, insolite et agréable. Merci! Au plaisir de te relire. |
Anonyme
1/4/2010
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Trop d'hermétisme me rendent ce poème peu compréhensible.
Néanmoins, quand elle me parlent, quelques belles images. J'aurais aimé avoir le code pour ouvrir la porte du désert. |