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Marquisard
6/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je suis incapable de faire une critique constructive d'un tel texte, j'aime. c'est tout.
ps : "Extrait" s'il est possible de te lire sur papier, les références m'intéressent ! |
FredericBruls
6/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Encore un poème comme je les aime, mélange d'érotisme subtil et d'hymne à la nature enchanteresse. Très beau.
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Luz
6/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai bien aimé : simplicité, douceur, érotisme. Les mots et les images résonnent encore après la lecture. très beau poème.
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Anonyme
6/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bon appetit Pluriel1 ! Une jolie poésie savoureuse, gourmande, épicurienne.
Ray Charles, une jolie femme et un peu de vin, que vouloir de plus ? |
lotus
6/6/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Et toujours cette beauté des mots...
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LeopoldPartisan
6/6/2009
a aimé ce texte
Un peu
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J'admettrais tes tournures de phrases et de mots si tu citais dans ton texte Charlie Mingus ou John Coltrane qui peuvent assez bien correspondre à la rythmique que tu imprimes dans ton texte, hélas Ray Charles pour moi qui suis batteur et percussionniste pratiquant à raison de 2 ou 3 fois semaine, ce n'est pas du tout ce genre de rythme. Ray était "soul" avant tout, il usait donc de la répétition rythmique pour atteindre la frénésie, comme le fond encore aujourd'hui tous les chanteurs de gospel pour appeler Dieu, ou de blues pour clamer leurs tristesse.
Bel effort quand même même s'il a pour moi vraiment besoin de plus de simplicité pour retrouver la source. |
Anonyme
6/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'aime assez.
La troisième strophe est ma préférée. ( très très jolie, vraiment) J'aime moins la première et le "je mange ses seins" de la fin, un poil incongru ai-je trouvé. Mais de belles images... |
David
8/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Pluriels1,
Le début sur "Tombeau... " m'étonne un peu, mais il n'est peut être pas là tant pour le sens que pour tomb et eau associé dans le mot, avec une idée de petite mort par dessus, enfin pas de cadavre quoi... quelques vers plus loin, avec par exemple : "l’heure en musique sarabande" Le ton n'a plus d'ambiguïté, serait-ce le corps de la muse qui est le "jongleur" de saisons, la dernière strophe pourrait aller dans ce sens. |