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ristretto
9/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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la première strophe m'a un peu déroutée .. l'odeur du bois et les copeaux , je pensais lire un poème sur la fabrication de ce jouet .. du coup, je ne sais pas quoi faire de cette entrée en matière
"à se faire maintenant revivre." pas très joli à dire/lire "d'un enfant que j'étais," j'aurais plutôt vu "de l'enfant ..." j'ai vraiment pris plaisir à partir de " Petit jouet, la chaleur ...." toujours un moment d'émotion ces retrouvailles de grenier ! j'adore le final ! nous devrions plus souvent faire l'enfant ! |
domi
12/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Très beau poème !
des couleurs, des odeurs de l'enfance, de noël.. la remontée du souvenir est très bien rendue, de belles images chaleureuses ! (pleuraient les bougies.. le miel des saveurs... à revenir comme un savoir, toujours su..) seules choses qui me gênent un peu : "je t'aime", et "je fais l'enfant", trop "explicites" à mon goût. (et puis ne serait-ce pas plutôt ; je "suis" cet enfant..?) |
Anonyme
12/2/2010
a aimé ce texte
Bien
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Une poésie naïve et souriante. Les regards sur l'enfance ont le goût parfois de l'âge d'or. Toutefois j'aurais aimé davantage de travail sur la forme, un peu plus de fluidité mais il n'en reste pas moins que l'enthousiasme est là, qui se donne, se prend et le fait bien.
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colibam
12/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un vrai moment d’émotion sur fragrances douces de réminiscence. Quand le jouet chéri par les yeux de l’enfant rejailli de la boîte à ressorts dans la main parcheminée, c’est tout un monde d’odeurs qui vient tendrement ébranler les neurones grisonnants.
J’ai bien aimé ces « mains posés sur l'arrière du temps » mais un peu moins « à se faire maintenant revivre ». Une lecture mignonne. |
Anonyme
13/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Joli poème qui retrouve avec acuité et sensibilité les émois de l'enfance. J'ai bien aimé le rythme de ce qui se dit, mais aussi de belles tournures comme : "les mains posées sur l'arrière du temps à se faire maintenant revivre" ; "gardé trésor au fond des yeux". Bref un ressenti très agréable.
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Garance
13/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un jouet artisanalement et tendrement fabriqué pour l'enfant.
Cet enfant qui regarde le passé, et semble le tenir dans ses mains et le regarder pour la première fois. Des expressions que j'aime : "Une enfance et le miel des saveurs à revenir comme un savoir, toutjours su, gardé trésor au fond des yeux." "Les mains posées sur l'arrière du temps" J'aime aussi les derniers vers tout teintés de la fraîcheur de l'enfance. |
Chene
16/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
Ce "Petit jouet" est parti bien trop vite de mon Espace lecture... trop vite retourné dans la malle au grenier d'Oniris...;) Un poème plein de fraîcheur dont les mots et le phrasé donnent corps à la matière du jouet et à l'émotion de l'instant. Beaucoup apprécié en particulier : "Les mains posées dur l'arrière du temps" et le passage des "bougies". Une petite remarque : Le "et" du deuxième vers devrait en toute logique commencer par une majuscule compte tenu de la ponctuation. Mais ça n'est qu'un détail. Bonne continuation Chene |
shanne
16/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
Un peu de fraicheur...C'est bon de faire l'enfant de temps en temps. Un textequi fait écho en moi, je me suis revue moi enfant avec les couleurs de décoration et les bougies du sapin de noël. Retrouver ce jouet est un vrai trésor, revivre ce moment et le ressenti nous illumine quelques instants, nous ressource. Un moment de bien être pour moi, un grand merci à vous |
Anonyme
16/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime bien, il y a de belles images, surtout dans les deux premières strophes.
Par contre je trouve que "pour cet éclair allumé dans les yeux d'un enfant que j'étais, d'innocence ravi," c'est un peu banal. La fin aussi est un peu attendue, et j'adore la morale de l'histoire qui est : à revenir comme un savoir, toujours su, Bref ,pour moi,de belles images, une belle pensée, un bon moment. |
belaid63
17/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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et moi aussi je fais l'enfant devant ce merveilleux poème.
j'aimes la fin surtout avec ce coffre ouvert comme un sac de mémoire! superbe merci |
lotus
17/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Et toujours cette plume d'une grande élégance...
Nostalgie de l'enfance qui se dévoile sous nos yeux comme un éclat d'innocence. Continue à faire l'enfant... |
Anonyme
19/2/2010
a aimé ce texte
Bien
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Une belle capacité d'évocation, un joli poème, doux, mélancolique pailleté de quelques échardes de nostalgie.
Je n'adhère pas forcément au "soleil rouge", ni à "l'éclair allumé dans les yeux", en revanche le début est vraiment bien. La fin, peut-être un poil à l'eau de rose, un brin "facile" avec "Je fais l'enfant" à mes papilles mais, dans l'ensemble j'aime bien. |
jaimme
19/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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Des passages excellents:
"tournés comme un bonheur ancien" "Les mains posées sur l'arrière du temps à se faire maintenant revivre." "à revenir comme un savoir" "Je fais l'enfant !" Mais je n'aime pas la facilité de la troisième strophe et en partie de la suite. Dommage. Mélange et disparité donc. J'aime trop ce que fait Pluriels1 pour m'en contenter. Merci à toi pour ces mots. |
bulle
22/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce texte est chaleureux, mais aussi "réchauffant".
Il contient une atmosphère à la fois grave et puérile. Et le temps se balance sur toutes ses faces. "retrouvé vieux, tout frais, tout neuf à mon cœur" Léger, chantant, nostalgique, mais heureux. J'ai beaucoup aimé.. |
David
25/2/2010
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Pluriels1,
Je me demande si j'étais un enfant, puis un adulte, avant d'être avec le temps un viellard, ou bien si ça s'empile, un enfant, puis un enfant et un adulte, puis un enfant et un adulte et un vieillard, avec jusqu'à la fin des conflits pour savoir qui est le chef, ou encore si tout est là dès le début, dans le "savoir, toujours su". Mais le jouet, des petites autos cassés aux poupées sans plus guère de cheveux, sans compter les "doudous" immondes machouillés jusqu'à plus soif, est-ce que c'est vraiment un souvenir de l'enfance ou bien de l'adulte en devenir dont ils étaient outils de la prise de pouvoir. L'enfant les a délaissés un jour, inutiles, comme une première chemise, d'où lui en reviendrait la nostalgie ? Il y a sans doute du vertige à ce genre de rencontre à travers un objet, ça m'a l'air induit dans le mot nostalgie. |