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Marite
4/11/2012
a aimé ce texte
Pas ↑
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Une floraison de mots et d'images, surtout au début du poème, dans lesquels j'ai eu des difficultés à saisir ce que l'auteur souhaitait exprimer.
J'ai eu le sentiment que l'expression écrite prenait le pas sur la nature réelle des ressentis qui devaient arriver à nous, lecteurs. La composition également me laisse perplexe avec la succession des strophes irrégulières : 3 - 1 - 3 - 2 - 3 - 3 - 1 - 3 - 1 - 2 - Une nuit. Evoque-t-elle quelque chose ? Désolée, en dépit de certaines expressions travaillées, je n'ai pas "accroché" à ce poème. |
kamel
14/11/2012
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour
Parfois,l'écriture creuse un fossé entre le lecteur et le mode de son interprétation d'où elle est codifiée par des métaphores qui épanouissent la forme,une main de maître vient de poser ces vers en calligraphie pour imposer une richesse c'est-à-dire l'art de l'écriture, un chef-d'œuvre est devant vous à multiples regards où le verbe se transforme en un fourmillement de termes pour l'expliquer. Cependant la transparence du corps humain est bien détaillée pour expliciter ce "verbe" qui reste encore à définir,fabuleux ,un trésor est caché dedans,son auteur pourrait bien m'envoyer son contenu.Bravo |
rosebud
25/11/2012
a aimé ce texte
Pas
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Bref, n'y allons par quatre chemins, c'est encore un poème cochon! Mais vous décidez de brouiller les pistes justement, par amour d'un hermétisme affecté que je ne goûte pas.
Tout de même, pour: "Buissons odorants des profonds jardins où se lisent les roses" et: "et la flamme des lèvres compose un grand éveil" la ficelle est un peu grosse! L'obscurité pas assez opaque. En revanche pour: "Un cri savant mouille les lampes" C'est assez joli et parfaitement incompréhensible. Et puis, une petite chose en passant: "fêtes somptuaires" me semble tout simplement faux: si les dépenses réalisées pour les fêtes peuvent être somptuaires, les fêtes elles-mêmes ne le peuvent pas. On ne peut pas tout se permettre, même en poésie libre. |
Arielle
25/11/2012
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Je suis partagée entre une impression de préciosité trop artificielle pour me toucher "silencieux touchers des rives mnémoniques,"par exemple et le respect, voire l'admiration devant certaines formules très musicales à défaut d'être émouvantes.
J'ai surtout aimé la fin du poème à partir de Proie ! dont la simplicité me semble plus sincère, moins préoccupée par la célébration du verbe qui, en dépit du titre, ne me paraît pas être le sujet. |
brabant
25/11/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Pluriels1,
A première lecture j'ai eu le sentiment d'un poème érotique... en action. ça baise, ça cocotte et ça jouit... Ben oui ! A deuxième lecture je me suis dit que non : "Verbe"... et puis ".../ Une nuit.", je me suis dit que l'"espectateur" (épectase/spectateur) était dans l'imagination. Certaines choses m'ont gêné/interrogé : - qu'est-ce que l'enfance vient faire là-dedans s'il s'agit de la baise de deux adultes ? - cette scène est sublimée, pourquoi alors l'expression technique de "petite mort" qui qualifie l'extase féminine en psychologie ? Il n'y a pas ici de 'petite mort' mais un embrasement, une mort qui crépite. Alors je suis un peu embêté, d'autant plus qu'il y a des vers que je ne comprends pas : "au chant des laines reines dépouillées" : effeuillage sauvage ? "Un cri savant mouille les lampes" : 'postillonnage' ? "Poids dévorant d'un arc-en-ciel descendu" : l'arc-en-ciel n'est-il pas éthéré ? "silencieux toucher des rives mnémoniques" : que vient faire la mémoire ici ? mémoire primale ? etc... etc... Mais à coté de nombreux soucis d'interprétation, il y a des vers magnifique avec lesquels je me suis trouvé en résonance : "Souffle aux flammes des seins, frissonnements au puits des mains, ... ." "sur le ventre doux à l'envers de tes parfums" etc... etc... En dépit de l'ambiguïté de ma lecture, je reste sur une impression vaguement favorable, trouble, vaguement agréable... Le cochon !... :) |
Artexflow
26/11/2012
a aimé ce texte
Bien ↓
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Faut dire que moi, la poésie, ou ça me touche et ça me donne envie de pleurer, ou je trouve ça pas top top.
Là, je trouve ça pas terrible, mais bien sûr, comme souvent, et très souvent sur Oniris, je reconnais le travail, et il y a quelques vers qui m'ont plu : flux si mortel aux rideaux cramoisis., par exemple. Globalement je dirais que ce qui me déplaît c'est que c'est à la fois trop et pas assez imagé. Vous avez des envolées genre Poids dévorant d’un arc-en-ciel descendu et c'est précédé de et l’entrée au ballet des corps où s’inverse le temps.... En fait, j'aurais aimé d'abord ne rien comprendre à votre poème, lire les commentaires, comprendre, me trouver débile, relire et décortiquer vos vers, comme un petit voyeur/poète/sournois, soulever le rideau des mots, et lire la brûlure de vos amants, mais là j'ai compris, et tout le monde comprendra tout de suite, je pense, et bon, je me suis dit : "ce poème a-t-il marqué mon âme ?" non, "a-t-il trouvé résonance en moi ?" non plus "est-il bien écrit ?" oui évidemment ! "vas-tu continuer encore longtemps à écrire de cette manière ?" non désolé j'arrête tout de suite. Voilà, donc, ce que je dirais ! Forme honorable, je ne ferais pas mieux, fond un peu simple, pas Je note bien moins, en revanche je serai heureux de lire votre prochaine contribution ! Bon courage ! |
tchouang
11/3/2013
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Commentaire modéré
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