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Anonyme
17/6/2014
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'aime bien ce genre de délire, de manière de dire par la bande, avec à la fois de la sophistication, de la dissimulation et une espèce de hâte, de nécessité à exprimer...
... Mais pourquoi faut-il que ce qui est dit, une fois de plus, tourne autour de l'écriture ? Pourquoi dois-je lire une énième recette de ce qu'est écrire en évitant la platitude pathétique ? C'est dommage, je pense que sur un autre sujet la vigueur et le décalage des expressions (miettes, fourmis, tripaille et cunnilingus d'octopode) m'auraient vraiment plu. Bon, c'est ce dont vous voulez parler, très bien, mais comme lectrice je trouve dommage cette débauche d'énergie pour finalement avoir encore un texte sur écrire l'écrire. |
LeopoldPartisan
25/6/2014
a aimé ce texte
Un peu
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onirisme, onanisme, fadaise, charabia. personnellemnt dans le titre j'aurais mis un conditionnel car avec le futur ce sera le raz de marais.
Bon impossible de juger, mais pour faire court heureusement que ce texte l'était sinon jamais je le finira... |
Anonyme
28/6/2014
a aimé ce texte
Bien
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Les deux premières phrases ne sont pas très encourageantes pour pénétrer dans cette prose. Pourtant l'odeur du caramel est agréable...s'il n'est pas brûlé. C'est vrai que parfois la frontière est mince.
Un coup d’œil à la troisième phrase me rassure un peu. La suite aussi. Si la vulgarité dérange, le ton désabusé, le besoin de créer (?), la dérision, l'auto-dérision aussi, pour s'inclure dans ce "on", ce "nous"" sont présents. Certains termes que l'on peut prendre à double sens (comme pinceaux) ajoutent un jeu de devinettes à la lecture. Globalement, un texte assez plaisant malgré ses défauts. |
Pimpette
11/7/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Plus de poésie dans cette prose triviale que dans beaucoup de poèmes...c'est ça qui me frappe et que je salue!Une fois de plusje constate que la poésie est partout, même là où les gens ne l'attendent pas...surtout là...
"Alors les requêtes jaillissent. La Grande Couturière prépare ses aiguilles, traverse la peau, la peau en veut en reveut elle s'écarte s'écartèle, les pores se veulent réceptacles parfaits à la couture de l'encre. Les pinceaux ont été remplacés par l'escrime." SUberbe final De Georges Braque: "Le but de l'art est de troubler" |
Arielle
11/7/2014
a aimé ce texte
Pas
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Apparemment un texte qui parle de communication. Malheureusement, en ce qui me concerne ça ne passe guère.
Toute cette sueur que semble exiger l'expression sent un peut trop fort pour moi l'envie de bousculer le lecteur, de lui arracher une réaction quelconque mais mis à part le cunnilingus de l'octopode qui m'a fait sourire, j'ai trouvé l'ensemble bien pesant, décousu et sans réel intérêt. "L'orgie démoniaque" fait un flop et s'il suffisait de "compliquer les choses" pour être intéressant, ça se saurait. Désolée. |
Robot
11/7/2014
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Ce qui m'interroge sur ce genre de texte c'est: Est-ce un poème ? Je considère qu'il s'agit là plus de dissertation que de poésie (de qualité surement) Cet exposé aurait plus une place dans les nouvelles, en dissertation ou même en Laboniris. D'autant qu'un texte plus long permettrait à l'auteur de mieux exprimer et de préciser sa pensée. (Il ne manque que 200 signes pour accéder à la catégorie nouvelle)
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margueritec
12/7/2014
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je n'ai pas été sensible à "l'idéologie" de ce texte que je n'ai pas voulu commenter en espace lecture. Ai-je même compris où l'auteur voulait en venir ?
Bref un texte qui ne me "parle" pas. |
Anonyme
12/7/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Envie de marquises attachées à qui la femme du pêcheur en plein orgasme clitoridien arrache les perruques ? L'image me plaît, on a écrit, peint, sculpté plus surréaliste et plus étrange depuis que l'homme s'est découvert des talents d'artiste pour exprimer son "for intérieur"...
Et ce côté ironique : finalement on se retiendra, mais on ne le fera pas quand même... On va chercher l'anti-histoire, le non-sens de tout en mélangeant tout, en compliquant tout et le reste dans la basse-cour de cette terre peuplée d'hommes puisque tout est mélangé dans une absurde force de vie... et de conscience humaine qui s'efforce dans ce "magma" et transpire, confus... ça sent le désespoir maîtrisé qui se venge de sa lucidité en écrivant de façon obscure et anarchique. Pourquoi devrait-on décrire son ressenti face au désordre forcément avec méthode ? Moi, ça me plaît bien. Audacieux, merci. |
MissNode
16/7/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Hello Popeye !
Ecriture superbe, prose osée, texte courageux... où j'ai perdu le fil du propos en cours de route (mais la narratrice nous l'annonce très clairement, qu'elle va compliquer les choses). J'ai aussi eu le sentiment d'un hurlement de désespérance que le narrateur baillonne d'une quête introspective zélée. C'est ce qui me touche profondément. J'aurais aussi conseillé le Laboniris (pour une prochaine prose de même pâte) ne serait-ce que pour éviter de me perdre en chemin. Une fois perdue, l'écriture et le propos pourraient paraître snobinards, ce qui serait dommage ! Merci pour ce texte. |