|
|
Robot
3/11/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
|
On la voit cette femme, comme une esquisse, son malaise est perceptible, le texte nous la montre comme à la recherche des causes du bonheur qu'elle voudrait retrouver. Je trouve que cette approche provoque l'émotion et que le but poétique est atteint. Et le titre est d'une grande finesse.
|
Anonyme
17/11/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Très belle réussite que ce texte. Les mots coulent sereinement pour notre plus grand bonheur et l'on s'étonne que la lecture soit déjà finie.
|
troupi
17/11/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bonjour Pouet.
encore une fois tu nous envoies un texte empreint de poésie et de trouvailles qui n'appartiennent qu'à toi. " masque à rats." parait évident quand c'est toi qui l'écris pourtant je suis bien sûr de ne l'avoir jamais lu ailleurs et il est ici tellement bien placé. A la relecture je voudrais ressortir d'autres expressions mais il me faudrait presque tout réécrire. allez juste deux pour le plaisir. " l’infini de ses cils mica.""Peaufinant les contours de son propre ravin.""Car elle sait qu’aujourd’hui les cocottes en papier Absorbent À tire-d’aile L’encre du firmament." quant-à cette chute elle est magnifique d'espoir , j'ai également bien apprécié le titre. Enfin tout quoi ! |
Lhirondelle
17/11/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonsoir Pouet
Pas fan du masque à rats... (visuellement) qui, de toute façon, s'efface à voix haute au profit de mascara... En revanche j'apprécie, en autres : "Elle marche à demi-songe" "Elle dédie son mal-être aux langueurs des divans" "Peaufinant les contours de son propre ravin" "Et puis que le bonheur s’apprivoise lentement. Car elle sait qu’aujourd’hui les cocottes en papier Absorbent À tire-d’aile L’encre du firmament." Une atmosphère singulière transpire de cette poésie... et sur le froissé de ces cocottes en papier. |
leni
17/11/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
|
dans ce poème je retrouve l'auteur qui alterne des propos classiques et de belles inventions
Elle dédie son mal-être aux langueurs des divans, Sur sa gorge palpite un symbole divin. Le mal-être est ici bien présent mais discret la finale me plait beaucoup merci pour ce poème joliment fignolé salut cordial leni |
melancolique
17/11/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonsoir Pouet,
C'est un très beau poème, au rythme très fluide, avec des images bien trouvée, dont j'aime surtout: "Elle marche à demi-songe' "Peaufinant les contours de son propre ravin." "Son regard se pose sur une âme échouée Sous un pont suspendu au rictus du ciel " Et puis cette très belle strophe: "Que nos lèvres en suspens Implorent la logorrhée ; Que nos cœurs ressassent Les souvenirs poissés Du premier battement." Ainsi que la fin, qui reste mon passage préféré: "Car elle sait qu’aujourd’hui les cocottes en papier Absorbent À tire-d’aile L’encre du firmament." Merci beaucoup pour cet instant de pure poésie. Au plaisir de vous relire. |
David
26/11/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour Pouet,
Mélancolie d'origami, le personnage se montre sous l'angle de la caricature, mais dans une langue singulière, toute en image, où fusent les vers comme des aphorismes improbables : "Regrettant la longueur de sa jupe verveine, Féline elle se remet un peu de masque à rats." "Elle s’érige des frontières, supplie l’artificiel… De lui prouver encore que les enveloppes passent, Que Seuls Les mots demeurent," "Car elle sait qu’aujourd’hui les cocottes en papier Absorbent À tire-d’aile L’encre du firmament." Il y a une idée de "buvard" avec "absorbent l'encre" qui tombe juste, les cocottes en papier se fond parfois avec des feuilles bonnes à jeter. |
Anonyme
12/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Merci pour ce texte qui me touche par sa sincérité, par sa simplicité (travaillée) et par sa grâce...
C'est tellement rythmé et musical que ça fait presque mal. En même temps c'est tellement pur et beau que ça glisse comme le satin. On les voit les berges de la Seine, la place de la Madeleine, ou quelque part pas loin... on voit la cocotte s'animer (tu veux combien?) sous la profondeur des images dessinées. Pour moi on approche du divin, et ce n'est pas rien. Merci ! |
Eki
8/4/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
|
Délicieuse cocotte en papier...
Et le rendez-vous avec la poésie... Car elle sait qu’aujourd’hui les cocottes en papier Absorbent À tire-d’aile L’encre du firmament. Quel raffinement au bout de la plume ! |