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Eki
29/2/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Adorable et tendre poème...
Des vers noués au ciel de l'enfance...ma soif de poésie est étanchée là. Est-ce écrit par un écuyer des mots ? je vois dans ce texte de la légèreté qui se lie à la profondeur, une voix à portée de caresse... Je me doutais qu'avec un tel titre l'auteur nous emporterait plus loin que ce "Rien de particulier", je ne suis pas déçue... De l'essence ciel par ces mots : l'envol est superflu le désespoir insubmersible et la marche forcée bien évidemment Le premier vers m'a surprise "Le garçon qui s'appelle"... Mais le reste de cet univers fantasque est d'une telle poésie... Monsieur O et Madame K ont une vie bien agitée mais finissent par être KO et c'est un peu triste...J'ai cru à leur longue vie. Ce vers termine en beauté ce texte... les messages sont tous les lendemains d'un rien particulier qui sont, parfois, des jours de fête... Eki sublimée... |
Eskisse
9/3/2024
trouve l'écriture
très aboutie
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aime beaucoup
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Un poème où se mêle l'innocence de l'enfance et le désespoir de l'adulte, un poème qui se présente comme un apologue avec son enseignement final qui nous renvoie à l'insignifiance des mots.
J'ai bien aimé le côté surréaliste avec la personnification de ces mini-lettres qui ont pu être dessinées par l'enfant. "rescapés" ils ont échappé à la mort pour aller vers leur mort aussitôt. Monsieur O et Mme K, anti-héros agissent sans qu'il ne se passe rien; ils "ne se regardent pas " , c'est comme la négation du coup de foudre. Ils semblent être des archétypes de l'ordinaire fêlé, lui, sonore et précautionneux, elle nimbée de féminité handicapée. Ils n'agissent presque pas, dans leur solitude assise , sinon pour pleurer. Ils sont entourés de rien ou presque rien: le " vide" , le loin, la carlingue-oiseau anéantie. Ils n'ont comme recours que l'ironie, ce détour moqueur, comme un salut d'intelligence. Et la leçon de la fable, tout aussi évanescente, semble nous dire la vanité des mots, des intentions, de la vie. Et merci pour toutes les métaphores...un régal. |
Robot
13/3/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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La magie de l'imaginaire crée des métaphores surréalistes et vraies à la fois.
Est-ce la vision de l'enfant que nous découvrons ? Est-ce un adulte qui plonge son regard vers le mystérieux de son enfance ? Peu importe la manière dont je reçois ce texte. Il me suffit que la poésie s'empare de mon propre imaginaire grâce à l'écriture originale et prenante. |
Provencao
13/3/2024
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Bonjour Pouet,
Belle invite à saisir l'enfance, dans un geste, une impression et une intention . Avec, vous saisissez une appréhension certaine comme pour figer de l'instant "tous les messages sont tous les lendemains d'un rien particulier" Au plaisir de vous lire Cordialement |
Jemabi
13/3/2024
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Une idée de départ sacrément poétique, ces deux minilettres rescapées d'un accident d'avion en papier. Sans long discours, par petites touches, le monde de l'enfance où le rêve et le réel se mélangent, où rien n'est vraiment grave, où le temps du goûter passe avant tout, est évoqué à merveille pour aboutir à un poème léger qui se déguste comme une friandise.
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hersen
13/3/2024
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et
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Ok, tu reviens en fanfare. je ne peux m'empêcher de penser au petit prince en te lisant.
Bon, passons au choses sérieuses. Comme par exemple un avion en papier qui se déploie sur (attends, je vais compter...) sur 53 lignes (j'aurais pas cru autant !) c'est exactement pur moi l'essence de la poésie, c'est à dire (non, pas que ça fasse 53 lignes...) mais que le propos vient nous chercher. la forme, je ne dis pas qu'elle est secondaire, mais elle s'efface, elle n'est là que pour servir les émotions qui se dégagent. Et puis, de toute façon, les messages sont tous des lendemains d'un rien particulier, n'est-ce pas ? |
papipoete
13/3/2024
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bonjour Pouet...le retour ?
Un texte qu'il faut lire, avec des yeux d'enfant qui rêve et sait s'inventer des aventures, sans super-machine inter-galactique rien que du papier plié qui s'envole, et comme accroché aux nuages, hésite à entamer la descente vers sa rampe de lancement ( la main du Petit garçon ) NB il faut savoir regarder, le sol comme le ciel, ne pas dire sottement - c'est du ciel, y'a des nuages ; j'sais pas où est passé mon avion ! plutôt - ne devise-t-il pas avec ce nimbus ? ne cligne-t-il pas de l'oeil face à un vol d'oies sauvages... " l'avion s'abime dans une mare de ciel " dresse le décor et le poète écrit, dessine " le rictus d'un monticule ", donne la parole à de mini-lettres K et O, et malgré " le talon de cet escarpin brisé " on marche gaiement ! |
Myndie
14/3/2024
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Salut Pouet,
quel plaisir de se plonger dans un texte aussi tendre que lumineux, qui m'évoque la poésie de Prévert ! Avec son langage enfantin, avec ses verbes simples au présent, on est en plein dans la bulle de rêve et de jeux et de l' imagination sans contrainte du « Petit Garçon qui s'appelle » La simplicité lexicale et syntaxique du poème correspond bien au thème, l'univers de l'enfance où tout est possible, même le crash d'un avion de papier et le chaos qui s'ensuit, la mort de ses deux passagers « minilettres », le KO. Et cette simplicité nous révèle toute la force de ta poésie qui crée à partir d'expressions très imagées : « l'avion de papier s'abîme dans une mare de ciel » « le rictus d'un monticule le reflet d'un immense oiseau écrasé » « un moignon d'idée quelques copeaux de nuages » tout un univers symbolique, où l'imagination, le rêve, la liberté s'opposent à la cruauté du réel : « l'envol est superflu le désespoir insubmersible et la marche forcée bien évidemment » « Monsieur O finit collé à une semelle de caoutchouc bleue Madame K est enterrée vivante ». Et la dernière partie du poème, pleine de sensibilité, donne une très jolie mise en scène de ce qui caractérise l'enfance, en fin de compte : l'insouciance. Bravo et merci pour ce beau moment de lecture. |
Vincente
14/3/2024
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Souvent, c'est du premier survol qu'offre la première lecture insouciante que naît la tendresse pour un poème, ou pas…, voire l'intrigue d'une interrogation, et alors il faudra faire œuvre d'un retour plus attentif.
Dans celui-ci, le premier vers, déjà !, m'a soucié. Le "Petit Garçon" avec ces majuscules…??? , et ce "qui s'appelle". Quelle drôle de tournure… je finis tout de même par comprendre qu'il se parle à lui-même, son personnage ; et pourtant, non, j'ai du mal avec cette entame. Mais vient le meilleur moment du poème. Dans l'évocation, un "avion de papier s'abîme […] / à son bord deux rescapés […] / ce sont deux minilettres qui volaient on ne tait où". Formidable inspiration ! On apprend qu'elles contiennent l'existence de deux personnages, un "Monsieur O" (j'ai d'abord cru à un zéro… :( ) et une "Madame K". À eux deux, ils font OK, étonnant, mais c'est mieux que KO après un crash ! Après j'ai décroché. Certes le surréalisme est assez saisissant, mais je n'ai rien ressenti qui me raconte quelque chose, j'ai dû me contenter d'un vague plaisir pour ces insolites événements. Puis ai adoré ce passage : " Monsieur O finit collé à une semelle de caoutchouc bleue Madame K est enterrée vivante" Dans le final, j'ai bien aimé ce retour sur terre, après l'envol dont on peut voir qu'il a bien plané le bonhomme, cela lui donnera une perspective qui donne une réelle profondeur de champ. |
Louis
14/3/2024
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très aboutie
et
aime bien
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Un sombre récit poétique, éloigné du doux rêve enfantin.
Histoire d’un « Petit Garçon qui s’appelle », non pas l’enfant qui se nomme, son nom n’est autre que « Petit Garçon » écrit avec des majuscules, mais se lance à lui-même un appel. À quoi est-il appelé ? Quel sera son avenir ? Il appelle, enfant, celui qu’il sera, adulte. Mais on peut lire l’inverse dans cette apostrophe initiale : le Petit Garçon s’appelle, en appelle à lui qui subsiste dans l’adulte qu’il est devenu, pour une régénération, une reprise de ce qui fait l’enfance, trop oubliée, trop refoulée dans l’adulte. Ce n’est donc pas l’enfant qui en appellerait à l’adulte qu’il sera, mais l’adulte qui en appelle à l’enfant qu’il fut. Les deux lectures ne sont pas exclusives, et il semble qu’une "correspondance" se crée entre l’enfant avec l’adulte qu’il deviendra, et l’adulte avec l’enfant qu’il fut. Le Petit Garçon « lance un message », un message écrit, comme pour répondre à l’appel de l’adulte qu’il sera, et qu'il est sans doute déjà, message non pas dans une bouteille à la mer, mais porté par un avion de papier, qui non seulement doit voyager dans le ciel, mais aussi à travers les âges, le temps et les années, vers un « lendemain ». Le message finira quand même à l’eau, qui n’est pas celle d’un océan, mais, dérisoire bien que céleste, celle d’une « mare ». Le message est porteur d’un « secret », mais aussi d’un « doute », d’une « interrogation ». Il n’a pas besoin d’être précisé, il n’a rien de particulier ; du côté de l’enfant, il constitue la commune interrogation sur ce que sera la vie : sera-t-elle particulière, pleine d’aventures, originale, exaltante ? Ou bien se réduira-t-elle à la banalité du vide ? Du côté de l’adulte, l’enfant en lui lance un message à celui qu’il fut, un message écrit, parce qu’il écrit, écrit dans une volonté de retour à l’enfance en lui, mais l’écrit se brise en vol, et tombe à l’eau. Dérisoire, dans une mare. Bien qu’il ait atteint un ciel. Adulte, il connaît la banalité du vide, et recherche dans l’enfance la part d’aventure, d’originalité, d’exaltation, qui pourrait redonner le goût de vivre. Ainsi, le message de l’enfance s’est perdu, et l’adulte ne retrouve que peu de choses de son enfance de jeune garçon. Juste deux lettres. Deux lettres, en effet, échappent au "naufrage", deux lettres « rescapées ». Deux lettres vivantes, survivantes. Lettres personnifiées : il y a Monsieur O et Madame K. Les lettres vues comme des êtres vivants, et au moins là réside un vestige de l’enfance, dans un anthropomorphisme généralisé, dans une vision de la vie partout, jusque dans l’inanimé. Il y a donc Monsieur O qui « essuie son pardessus », Monsieur O qui craint l’eau. Il ne claironne pas, mais fais tinter une mallette : « cling cling cling », comme les sons émis d’une ancienne machine à écrire, pourrait-on penser, mais non, oh, comme « le trousseau de clés d’un matin métallique ». O fermé sur lui-même, mais qui ne sait ouvrir et s’ouvrir que sur la dureté du jour, très « métallique ». Madame K est à l’image de sa graphie ; icône au sens linguistique, elle « claudique curieusement ». Elle ne délire pas, Mme K, mais elle « lyre » ( peut-être au sens de "pleurnicher") Deux lettres qui n’annoncent que la dureté du jour à venir, et les pleurs d’une avancée claudicante dans une vie difficile. On a l'impression d'être dans un "dessin animé", monde de l'enfance, et pourtant rien de léger et d'insouciant ce "cartoon". Ces deux-là, Monsieur O et Madame K, « ne se regardent pas », et ne se voient pas, ils ne font pas couple. Ainsi sont-ils à la fois aveugles et muets. Ils ne disent pas mot ; ils ne font pas mot. Quels mots pourrait-il résulter de leur relation ? Soit OK ; soit KO. Ainsi que reste-t-il de tous les écrits du message perdu ? Soit un Ok, un oui à la vie dans tous ses aspects, fussent-ils tragiques ou dramatiques ; soit un KO d’une vie assommante, le chaos d’une vie invivable. Dans leur aveuglement et leur mutisme, les deux ne font pas signe, mais la double négation ni OK ni KO, comme leur refus s’avèrent pourtant signifiants. Il faut bien accepter la vie, mais sans enthousiasme, « l’envol est superflu » ; vivre sans espérance d’un bonheur réalisable, et si l’on peut « noyer » son chagrin, le désespoir est lui « insubmersible ». S’impose une part de « résignation », ce OK passif ; avec une part d’ironie pour le refuser aussitôt, puisque le oui est affirmé pour dire « non », le OK affirmé pour dire le KO : "Ah ! comme elle est belle, la vie !" C’est l’adulte dans l’enfant qui se tient dans ces deux lettres. Celles-ci « décident de demeurer et de s’asseoir » Pareilles à des personnages de Beckett, elles attendent « Godot ». Dans la pièce, c’est un jeune garçon qui est messager du lendemain, lui qui annonce que Godot ne viendra pas aujourd’hui, mais demain ; lui qui est l’annonce d’une présence salutaire toujours différée. Le Petit Garçon est porteur avant tout de ce message. C’était son « secret ». Mr O et Mme k demeurent dans un vide toujours environnant, dans un désert semblable à celui de Buzzati dans le Désert des Tartares : « autour / qu’un peu de vide / peut-être une montagne / au loin / vraisemblablement rien » Avec cette idée que tout « envol » est vain, que toute velléité d’échapper à la platitude du quotidien ne peut qu’échouer, comme si une force de gravité toute-puissante, insurmontable, plaquait tout au sol désertique et plat ; comme si tout vol ne pouvait être qu'icarien. Ainsi la montagne au loin n’est qu’une illusion : « le reflet d’un immense oiseau écrasé » Un oiseau qui voulait voler s’est « écrasé » ; un avion aussi de papier qui voulait voler… s’est écrasé et s’est tu. Les nuages eux-mêmes « copeaux de nuages » ne sont que des "chutes" ; celles d’un arbre de la connaissance ou d’un arbre de vie qui voulait s’élever jusqu’au ciel. Et les deux lettres immobiles restent assises sur un « moignon d’idée », petite branche amputée du grand Arbre. Le Petit Garçon » finalement les « piétine » en « venant ramasser son avion ». Il tue les deux lettres demeurées vivantes, elles qui attendaient en vain un Godot qui leur donnerait un sens où s’écrit la vie. Ainsi qu’apporte-t-il cet appel à l’enfance ? Guère plus que cette annonce du jeune garçon de la pièce de Beckett, Godot viendra demain, Godot auquel l’adulte ne croit pas, lui qui sait qu’il n’y a rien à espérer, « insubmersible désespoir ». Il y a bien cette pointe de nostalgie de l’enfance, ce plaisir dû à : « l’odeur / légère / de tarte aux pommes » ou encore de « nuit en retrait », des petits riens particuliers, qui sont avant tout du « rien », du vide, et le titre du poème l’affirme nettement : « rien de particulier », dans un nihilisme renouvelé de l’auteur. Il n’y a, il n’y aurait que généralité vide et plate, d’une vie sans relief. Restent les messages, qui sont « tous les lendemains d’un rien particulier », annonciateurs seulement de la particularisation d’une essence universelle du néant, du vide, du rien, et d’un Godot qui ne viendra jamais. Une « nuit en retrait » venue de l’enfance, oui, mais en très léger retrait, car les ténèbres avec force débordent, et finissent par envahir tout le poème. Merci Pouet pour ce sombre, mais beau poème. |
Damy
14/3/2024
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Excusez moi, Pouet, mais je ne suis pas sensible à votre syntaxe. Nulle émotion ressentie ni même par la musicalité poétique. Les commentaires ci-dessus s'efforcent de m'éclairer sur le sens mais je reste dans la nuit. Pourtant je ne suis pas insensible au surréalisme en général (surtout en peinture).
Ayant lu, je me devais de vous le faire savoir. |
jfmoods
15/3/2024
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"I am the son and heir
of nothing in particular" ("How soon is now ?"_The Smiths) L'enfant n'a pas d'identité propre. L'a-t-il égarée ? Son prénom doit flotter, là, quelque part, au bout d'invisibles points de suspension. Le garçon lance un avion dans le ciel comme on jette un pavé dans la mare, comme on met violemment en exergue les circonstances d'un crash familial. Les adultes n'existent que par l'initiale de leur nom... ou, au choix, de leur prénom. Ce sont deux "minilettres". Autant dire rien. Ça oscille dans un no man's land affectif qui se situe entre OK et KO. Vision stéréotypée de la masculinité ("pardessus", "mallette") et de la féminité ("rouges escarpins", jeu de mots "lyrer"/"délirer"), du mode actif et du mode séductif : nous avons ici des rôles, des clichés, pas des individus, pas des identités. Le matin est métallique, dépourvu de douceur. Les clés apparaissent comme les attributs d'un dévoilement mais ce qu'il y a dans la mallette semble bel et bien cassé. Rien à découvrir. Surtout : rien qui puisse réparer un échec amoureux hélas trop bien suggéré. Le paysage état d'âme ("vide", "excroissance", "rictus", "reste", "moignon", "copeaux") porte l'ineffable poids de la dégénérescence et de la désagrégation. Si l'amour à son apogée fut à l'image d'un éternel voyage dans les airs, il n'en reste ici que la grinçante caricature ("le reflet d'un oiseau écrasé", "l'envol est superflu"). Le couple doit à présent progresser sur un sol accidenté ("marche forcée"), dans la fausseté des attitudes, l'amertume des échanges. "On reste ensemble à cause du gosse" chantait sur le mode ironique, pour tromper le malheur, le conjurer, Pierre Perret (puisse-t-il vivre au moins centenaire !). Mais l'enfant, ayant bu le chagrin jusqu'à la lie, condamne sans appel l'impuissance des adultes ("les piétine"), le mensonge, l'hypocrisie, la nécessité de sauvegarder les apparences de la famille parfaite. Le réel est tellement douloureux ! À ces trois personnages majuscules répond un horizon d'attente minuscule. Merci pour ce partage ! |
Marite
16/3/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Une relecture de ce poème et le survol de quelques commentaires me laissent une agréable sensation. Je me suis retrouvée aux côté de Monsieur O et de Madame K en partageant leur mésaventure alors qu'à la première lecture (peut-être trop rapide) j'étais seulement déconcertée, surtout par la présentation très originale. De même l'enfant m'est aussi apparu sous un jour nouveau ... beaucoup de choses sont ici exprimées sans pourtant avoir été dites, ou plutôt écrites. Ce "Rien de particulier" est très bavard finalement.
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wancyrs
13/10/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Salut Pouet,
C'est vraiment magique... comme de flotter entre chimère et réalité tout en ne sachant où est la chimère et où est la réalité. C'est peut-être parce que tu sais si bien relier les deux mondes que les frontières n'existent plus dans tes pérégrinations lyriques. Merci pour le voyage. Wan. |