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Vincent
24/10/2022
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Bonjour Proseuse
Ca tombe bien.. je suis normand...et je me suis mis depuis peu à l'aquarelle … ce qui sous entend que je connais bien l'ambiance… mais votre texte lui le montre si bien avec toutes ses images délavées de mots qui s'envolent c'est merveilleusement beau Merci |
Anonyme
24/10/2022
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Bonjour Proseuse
Moi, j’aime énormément cette poésie, c’est frais, alerte, vivifiant et enlevé, et plusieurs images sont vraiment très joliment exprimées. Les couleurs des nuages, la facétie de la pluie, le jeu du vent, des éléments et des tournures que j’affectionne particulièrement, moi qui fuis la chaleur. Et nous avons tant besoin d’eau. J’aime aussi la construction que vous avez choisie, elle fait un peu comme une cataracte d’eau dans le caniveau. Un poème propice à la mélancolie, certes, mais aussi à prendre son temps pour réfléchir à comment nous allons appréhender l’hiver. Une belle réussite que j’ai grave kiffée et quel bonheur de découvrir une auteure que je ne connaissais pas encore. Anna de la Bruine |
papipoete
24/10/2022
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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bonjour Proseuse
Comme l'hirondelle annonce le Printemps, ton apparition dans ces colonnes est gage de bonheur, par tes mots posés si délicatement. La première strophe me fait sourire, songeant que comme le vent, je dégringole et tombe à plat... Chaque ligne déclenche un sourire, comme tord de rire les baleines de parapluie, et l'on n'a pas une seconde de répit, avec cette avalanche des éléments que sont le vent, l'eau vagabonde ou en furie ; l'automne est bien là, les chenaux peuvent en témoigner, regorgent d'émotions que la gouttière leur crie. Et ça continue, encore et encore... NB quand tu montres le bout du nez, pointant sur le papier ta plume friponne, tu nous entraînes sur l'eau des nuages, comme à bord d'un radeau lors d'un rafting, où l'on s'éclate de rires et d'émotions fortes ; le tout en des termes si poétiques comme dans la quatrième strophe " ...les boyaux de zinc qui goulument avalent tout cul-sec " Le final ferait sourire les grincheux face au ciel chagrin ; comme ce texte est charmant ! Une remarque vénielle, sur les majuscules en reprise de ligne, qui ne sont pas obligatoires, contrairement aux vers " à pieds " |
Lebarde
24/10/2022
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Proseuse
Evidemment l'été ne peut rivaliser avec une telle évocation et l'automne n'a pas besoin de mélancolie, de feuilles mortes, d'arbres mordorés et de brume dans les vallons labourés dont on se gargarise habituellement, pour imposer sa présence. La pluie, le vent avec une mise en scène subtile et efficace suffisent pour décrire et enchanter. Evidemment l'écriture est vivante et presque guillerette, évidement l'expression est fluide et les images particulièrement réalistes et observées, évidemment le choix des mots est étudié...Evidemment.. Je relève parmi d'autres ces passages très réussis: "Les ombres poussent les murs" ou "Jusqu’à rendre fou le coq en fer-blanc, ou encore "Et l’eau de pluie rigole, s’affole et puis, Toute chiffonnée, s’engouffre Dans le gosier des gouttières… Boyaux de zinc" Qui goulûment avalent tout cul sec" (diablement évocateur) et puis encore, "Je ne suis plus… Qu’un buvard derrière la vitre Qui boit jusqu’à plus soif L’envers du décor. ( quelle belle image!) Evidemment il faut du métier et du travail mais aussi un don particulier que vous possédez à coup sûr, pour écrire un tel poème qui sert à merveille la poésie libre. Evidement je m'incline, j'admire, je m'enthousiasme et j'envie l'auteure pour son talent d'écriture. Evidemment je dis bravo. Lebarde |
Lotier
24/10/2022
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Ah ce monde ainsi réenchanté, que j'aime ! Il a un petit air de villanelle et de Mary Poppins. Ce n'est pas seulement l'eau qui dévale, qui déborde, c'est la poésie qui jaillit ! Merci infiniment.
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Luz
24/10/2022
a aimé ce texte
Passionnément
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C'est un poème rapide, fougueux, jaillissant comme la pluie et le vent.
La poésie dégringole, s'envole, virevolte.. Bravo ! Luz |
wancyrs
25/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Salut Proseuse,
On est happé par le flux de ce récit et on ne s'arrête que lorsque suivant la pensée de la narratrice on se colle à la vitre avec elle, derrière cette vitre. J'aime l'automne ; deux automnes déjà hors du Québec et la magie des couleurs me manque : le silence du bois perturbé seulement par le bruit du vent, cette odeur de mort véhiculée par les feuilles qui agonisent (pas que j'aime la mort, mais...), ce frisson qui nous parcours dont nous ne savons s'il faut l'attribuer au froid ou à la beauté de la nature... Je déplore que dans votre texte vous ne parlez que du vent et d'eaux, mais c'est un choix qui vous regarde, vous et vous seule : Merci pour le partage ! |
fried
25/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je me suis laissé emporter par cette lecture pleine de la fraîcheur vivifiante de l'automne. Oui le vent est bien joueur en cette saison, les témoins que nous sommes en prennent plein les yeux même en restant derrière une fenêtre embuée.
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Proseuse
26/10/2022
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Anonyme
6/11/2022
a aimé ce texte
Passionnément
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Pour mon premier commentaire en poésie, j'ai de la chance de tomber sur bijou pareil, cette eau qui "submerge les ombres" coule de source en cette saison. Les mots et les couleurs sont vraiment choisi avec belle opportunité. Une très jolie oeuvre poétique sur la pluie et le vent. Bravo !
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Eki
10/12/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Je fouille dans les catacombes d'Oniris et j'y ressors de bien jolis trésors...
Le titre a lui seul : poétique... Le ton joyeux, les mots ébouriffés, la pluie qui chante et les nuages qui sont aussi de la fête... Tout est beau, délicat et très imagé... |