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Papillon26
29/5/2018
a aimé ce texte
Bien
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Comment ne pas commenter un poème qui débute par mon pseudo ?
Amoureuse de la nature, j'apprécie toute la poésie qui se dégage de ce texte. Que de belles images : Mai à pas feutrés, en confidence de muguet Aux reflets enlacés d'un Avril délié. Tous ces jours endormis ont givré sans accord Les clochettes, scintillantes et radieuses comme le bouton-d'or Où le baiser volé assure le passé. Mai à pas feutrés, en frissons de beauté . Le dernier quatrain est triste. Tant que l'on est capable d'aimer la nature, pourquoi l'ennui viendrait ? |
Queribus
30/5/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Tout d'abord, votre écrit, avec ses rimes, donne l'impression d'un poème néo-classique; en lisant de plus près, on s'aperçoit de le nombre de "vers" varie tout au long du poème. Je pense qu'il aurait mieux valu soit choisir la catégorie néo-classique avec ses règles tout de même assez strictes ou alors carrément la catégorie poème libre, plutôt que cette catégorie"entre deux". Le fonds, quant à lui, fait un peu passe-partout avec des images convenues et un côté "eau de rose". J'aurais préféré quelque chose de plus simple et de plus direct qu'on comprend au premier coup d’œil. En conclusion, si j'étais vous, comme les rimes existent déjà, je reprendrais le tout sous forme de poésie néo-classique plus stricte en essayant de simplifier le tout. Bien à vous. |
papipoete
6/6/2018
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Provencao
Joli mois de mai, comme tu te fais désirer ! Avril tarda tant à te céder la place, que du muguet les clochettes ont gelé ! Mai, entre je te prie même si tu grelottes, pour qu'en frissons la nature dévoile ses trésors ! Ainsi parlait l'enfant dans toute son innocence ; pour moi, du fond de mon alcôve, toute saison m'a fui et je m'ennuie . NB un texte intéressant, où l'observation de ce qui vit semble venir d'un enfant ? Et la fin dirait, de la bouche de l'auteur, l'amertume de ne plus y être sensible . |
Anonyme
6/6/2018
a aimé ce texte
Bien
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Resplendissant, maussade ou capricieux, mais toujours fidèle au rendez-vous, le Printemps et son mois de mai.
De belles images, avec un dernier quatrain un peu nostalgique. Une lecture agréable. |
Anonyme
7/6/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai fait plusieurs lectures de votre poème, les images sont très délicates, comme celles-ci :
" Papillon voici le matin, ce matin doux serein Sur le silence étiolé d'un printemps tranquille, De cette lumière belle libérée sur le jardin, Comme se dessine sur tes ailes ce destin, Aux éclaircies de tes pointillés, sans chenille, Par-delà les saisons, le mois de mai s'invite en vain. " Toute la magnificence de la nature offerte au regard attentif, curieux, moment émerveillé, splendeur rarement égalé. J'aime comme les strophes s'entremêlent pour donner cette impression que la nature nous prend par la main pour nous mener toujours plus loin dans sa découverte. Poème bucolique, mélancolique, il en émane comme une fragile mélodie qui m'effleure intérieurement sans pour autant me submerger, c'est un mouvement de l'état-d'âme qui oscille entre "ce matin doux serein" et "Au fond des alcôves, où s'assombrit l'ennui" ; la nature se fait complice ... |
Robot
9/6/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un superbe parcours naturel nous est présenté dans ces strophes lumineuses, jusqu'aux regrets du dernier quatrain qui indique une période qui s'achève.
J'avoue n'avoie pas bien compris le titre et cette référence aux alcôves alors que tout ce passe - c'est ce que je ressens - dans la plénitude de la nature. |