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Vincent
22/5/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Dans quelle vie perdue...
Est-ce un songe, est-ce une réalité un soupçon fantastique Est-ce l'inconscient surgissant de nulle part Ce trajet menant où Le reflet de la psyché fantasmagorique J'ai adoré vous suivre dans un inconnu, que je ne connaîtrais pas |
papipoete
22/5/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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bonjour Provençao
Quand, passant devant un cabanon abandonné, la mémoire lève les voiles d'un navire qui accoste au quai des souvenirs. D'autre songerait " quel vilain débris sur cette garrigue, où l'on put installer une piscine à débordement ; y venir boire un drink' avec tous nos amis in' ! L'auteure, telle Aladin au féminin, nous emporte sur un tapis volant, parmi les sentes rocailleuses, et thyms et romarins, dans une odyssée fantastique où rien ne pique, même pas l'ajonc qui se fait plus moèleux que mousse... et l'on avance dans le présent, le passé, le futur ? là est la question. NB pour une PREMIERE prose, notre poétesse fait fort, et marque l'esprit à travers cette déambulation, où quelques mots savants ponctuent le chemin, mais se font comprendre sans manière. " soudain, entre les rameaux un petit filet d'eau fraîche... " est le passage que j'ai préféré... dans ce voyage où je pourrais soupirer à notre guide - comme c'est beau ! comme ça sent bon ! Un texte à emporter en séminaire, dans quelque retraite, pour... s'évader ! Bravo à l'auteure ! |
Polza
22/5/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Provencao,
Votre poème et surtout son leitmotiv « J’avance » m’a fait pensé à la chanson de Bernard Lavilliers (artiste que j’aime beaucoup) 15e round. J’ai beaucoup aimé la façon dont le récit se déroule, comme une sorte de rêve que vous racontez. Je suis complètement rentré dedans, c’est comme si j’y étais, la qualité de votre plume y est pour beaucoup ! Je pense que c’est un texte qu’il faut relire plusieurs fois pour en appréhender toutes les subtilités, toute la poésie, la délicatesse, mais aussi les tourments. J’avais vu passer votre poème en EL, je n’avais pas eu le temps de le commenter, mais à l’époque, j’ai cru que la personne qui avait écrit ses mots avait oublié de préciser qu’il s’agissait d’une participation au concours N°35 avec pour thème la photo porte sur l’inconnue. « Le silence y flâne, en silence, son chant les harcèle, frisson. » je comprends l’image que vous avez voulu faire passer, mais j’aurais peut-être préféré que le silence y flâne en secret ou quelque chose du genre… Soudain entre les rameaux, un petit filet d’eau fraîche » la ponctuation n’est vraiment pas mon point fort, néanmoins, j’aurais bien vu une virgule après « Soudain ». Idem pour le soudain qui suit pour marquer le soudain, l’appuyer. Un bien agréable poème qu’il me faudra relire dans quelques jours et plusieurs fois encore pour aller au-delà des mots…. J’oubliais. De part sa féerie et certains des aspects de votre poème , j’ai parfois pensé au roman de Mikhaïl Boulgakov « Le Maître et Marguerite » j’adore ce livre ! |
ALDO
22/5/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Je suis avec très peu de réseau...
Je reviendrai pour approfondir. Mais j'ai entrapercu bien des choses sur ce chemin... et bien des chemins dans ce monde qui semble mêler le visible à un invisible... Bravo Je reviendrai dans la force du réseau... |
jeanphi
22/5/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour,
Un parcours accidenté rempli d'une plainitude parfaite. Comme le dit votre premier paragraphe, le regard que votre prose amène à porter sur ces découvertes insufle une poésie et une philosophie émouvante dans le commun. Ce qui pourrait paraître de simples ruines envahies par la végétation devient alors une occasion 'offerte' de s'interroger sur la multiplicité des dimensions du ressenti, de la pensée. Du cabanon à la borie, plusieurs époques, sans doute, et à l'instar de notre vie présente, vous offrez aux lecteurs de ce texte l'opportunité de comprendre quelles possibilités de nous élever sont présentes jusque dans l'écoute ou l'attente du chant d'un oiseau, dans la sensation d'un cailloux roulant sous le pas, etc. "J'avance, égoïste du temps", est je crois la formule qui m'a le plus marqué. Bien des choses pourraient être relevées ici, je retiens particulièrement la justesse du vocabulaire, la beauté et la portée philosophique du propos poétique, et la simplicité qui ressort de l'ensemble pourtant assez fourni. À l'image de vos commentaires, votre poème m'a fait voyager en moi-même. |
Catelena
27/5/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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"J'avance
Les pierres roulent sous mes pas, la peine et la joie se mêlent, la gaîté parfois si forte, si câline, si fortement câline, blesse, touche, peut faire mal sans même savoir pourquoi." Tout pareil pour moi dans cette poésie en prose où j'avance comme en apesanteur, baignant dans un sentiment indéfinissable mais agréable qui me porte tout le long de ma lecture. Merci Provencao, pour ce bon moment passé à vous lire. Un moment aussi étrange que familier, mais sans savoir dire précisément pourquoi. Cat |
Dimou
4/11/2024
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Modéré : Commentaire sans rapport avec le texte.
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