|
|
Pouet
25/4/2017
a aimé ce texte
Un peu
|
Bjr,
Je me demande tout d'abord si le premier vers en est bien un ou si c'est le titre qui est resté par inadvertance, je m'interroge concernant l’intérêt de cette répétition du moins. Je ne suis pas vraiment convaincu dans l'ensemble par le poème. Les images ne me parlent que modérément et j'ai du mal à y trouver mon compte bien que le surréalisme me touche en général. Je retiens toutefois: "La rose se reflète en étoile/En caresses éclaboussées", là j'ai trouvé ça joli, original. La répétition "offrande/offre" n'est pas des plus heureuses étant donné la concision du texte. Au final ce poème fort court manque de percussion à mon goût, il ne me reste pas grand chose après lecture de ce petit matin sensuel. Voilà, désolé mais ceci n'est qu'une impression toute personnelle et sincère qui n'a pas valeur de vérité universelle. Je ne suis toutefois pas si loin d'adhérer et je suis certain qu'un prochain poème de votre production me parlera plus. Cordialement. |
Anonyme
24/4/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Cette " brume opale " ne m'a pas vraiment séduit.
" L'offrande en filigrane S'envole aux îles du silence " c'est joli, mais je cherche le sens. Hormis peut-être " Les parfums s'enlacent ", les images ne m'ont pas interpelé. A vous lire une prochaine fois. |
Proseuse
24/4/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour Provencao,
Moi, j' ai bien aimé votre poème, je le trouve en accord avec l' instant d' une aube où rien n' est encore vraiment défini et distinct , où on a cette sensation que rien ne se passe, mais que tout, pourtant va forcément -devenir- Vos mots sont légers et effleurent le papier de jolie façon Merci et à vous relire |
hersen
24/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
j'aime beaucoup ce poème léger, léger...
c'est un repos de l'âme, c'est l'émerveillement du souffle; J'aime ce qu'il retranscrit d'impalpable mais de cependant bien présent. j'apprécie moins par contre brume d'opale en premier vers après le titre brume opale. Je trouve dommage, sur un poème si court, de l'avoir répété d'une part, et de les retrouver se côtoyant. Merci d cette lecture |
HadrienM
24/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
C'est léger, et en même temps d'un étonnant poids. Je m'explique.
La brume se fait sentir, bien évidemment. Le lecteur consent à être entre le ciel et la terre ; l'on s'envole "aux îles du silence". L'intériorité, motif littéraire et poétique par prédilection des romantiques et autres fous de la subjectivité, et son récit séduisent assurément votre lecteur. Mais ce "mystère du vent", sorte d'explication à la René Char du réel et de ses chimères, semble en rupture avec la lettre et surtout l'esprit du poème. C'est un voluptueux crescendo. De l'offrande... au mystère. Le poème peut être lu comme un chantier onirique. Une plage riche de ses rêves. Il est assurément réussi : l'humeur est à la contemplation du grand oeuvre de la nature... mais le lecteur peut se sentir un peu inquiet. Bravo. |
Marite
25/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
C'est très curieux. Après la lecture des divers commentaires de ce poème je constate être la seule à y percevoir, pudiquement dévoilée, la symbiose de deux amants au réveil, dans le silence et la "brume d'opale" de l'aube. Peut-être sont-ce les vertus attribuées à cette pierre précieuse en lithothérapie qui m'ont ainsi orientée.
J'ai été séduite par les mots de ce poème ... |
Anonyme
25/4/2017
a aimé ce texte
Bien
|
J’ai beau lire et relire je n’accroche à rien…la faute à la brume sans doute.
J’ai l’impression d’un bâillement de poète ou (vu que j’ai lu les autres commentaires pensant que quelque chose m’échappait) un petit câlin matinal, tout doucereux…il manque de nerf, en serait-ce pas un cri au moins un miaulement…mais je suis resté dans le brouillard un peu frisquet de mots trop légers…un peu comme des haïkus qui ne se revendiquent pas vraiment. Dommage, il y avait matière à faire, à mon sens qui est étroit je vous rassure, un truc plus percutant dans la douceur en délaissant tout fil conducteur…dit autrement vous auriez pu plus déconnecter les parties pour rester dans la poésie pure. C’est bien de penser en écrivant…car, justement en vous relisant sans chercher de lien entre les tercets, je leur trouve beaucoup de charme, j’ai aussi fait abstraction du titre répété au début du texte. J’étais parti pour une évaluation assez basse, du coup je remonte celle-ci et je regrette que vous ayez eu la flemme ce matin-là, car moyennant quelques tercets de plus…allez savoir. À vous relire |
DianeSrd
29/4/2017
a aimé ce texte
Bien
|
J'ai bien aimé ce poème et son thème qui évoque un instant de pleinitude le matin.
C'est surtout la deuxième strophe qui est belle. Peut-être que les autres mériteraient d'être retravaillés dans la précision des mots car c'est un poème épuré. Chaque mot est donc important. |
Anonyme
30/4/2017
a aimé ce texte
Un peu
|
Après vous avoir lu et relu, mon ressenti est mitigé, il me manque un petit quelque chose pour davantage me subjuguer. Là, je reste un peu sur ma faim. A vous lire, j'attends une émotion qui ne vient pas, elle est en suspend.
Au final, j'ai comme l'impression d'avoir à regarder l'ébauche d'un tableau, je suis dans l'incertitude du moment qui m'est offert, un peu trop vague, je l'aurais aimé plus marqué, plus percutant, plus imagé. Il y a de si belles choses à dépeindre dans le jour qui naît ... Les nuances y sont si fortes ... Je n'ai pas retrouvé ce moment. |
Anonyme
8/5/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
tout est dit dans ce poème, les embruns du matin, la rose dans toute sa splendeur.
|
papipoete
16/12/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
|
bonjour Provençao
je regarde par la fenêtre, les yeux fermés, et je te vois en filigrane. Tu m'offres notre fleur tant aimée, alors que ses pétales semblent dire " M'aimez-vous encore ce matin ? " le vent ce messager de mon coeur, alors acquiesce ... NB à travers les lignes de notre poétesse, je décrypte ce message qu'elle envoie sans timbre, vers l'infini qui lui répond... façon haïkus, ce poème ne se lit pas, ils se suggère... et son premier tercet remporte ma préférence. |