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pieralun
12/9/2020
a aimé ce texte
Vraiment pas ↓
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Pardonnez-moi, mais je n’arrive pas à déceler une once de poésie dans votre texte.
Dénoncer un acte terrible, c’est bien, mais il ne faut jamais perdre de vue que nous sommes censés écrire des poèmes. Exprimer de la colère, justifiée, c’est bien, mais l’exercice se doit être de forme poétique. Sinon c’est autre chose. |
Lebarde
1/10/2020
a aimé ce texte
Bien
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Oups!!!
Il faut suivre et comment faut-il faire pour suivre? Je comprends bien qu'il s'agit d'une dénonciation des lieux de "perdition" qui s'ouvrent sur toutes les dérives intolérables, "luxures perverses", "ivrogneries", dépravations, conduisant à la domination, la manipulation des êtres, à l'origine des haines, violences, déchéances barbares qui envahissent nos sociétés. Rien de réjouissant en effet ...si j'ai bien compris le propos et ne déforme pas l'intention de l'auteur(e). Mais c'est pourtant une réalité qu'il est difficile d'ignorer. Il fallait en parler au risque de déranger; c'est un sujet comme un autre, terrible qui peut faire peur, même s'il n'est pas tout à fait nouveau puisque le roman de Boris Vian est de la même veine. Le ton est violent, direct, incisif, brutal, provocateur. C'était voulu et à mon sens réussi, mais au détriment de la poésie! Alors bon!! Le lecteur réagira suivant sa sensibilité. Pour ma part je reste dubitatif. Lebarde |
papipoete
1/10/2020
a aimé ce texte
Vraiment pas
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bonjour
pour ce "dessein " barbare, nul besoin de dessin... Certes le thème du concours n'est pas de conter un bouquet de marguerites, mais ce texte me paraît faire l'apologie de " luxures perverses ", tel le viol... NB si le vers dernier faisait tomber l'auteur de ce dessein, j'abonderais d'un " beaucoup ", mais cela ne semble pas être. Cela m'évoque le genre " gore " que je déteste ; mais je sais bien qu'un auteur est rarement le héros d'une fiction ; ce qui ici est forcément le cas ? un sujet de cauchemar posé sur le papier juste après le réveil en sursaut ? Mais peut-être que mon interprétation est à mille lieues du sujet traité... En l'état, je n'aime pas. |
Anonyme
7/11/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Provencao
(j'ai lu les autres commentaires, ce que je fais rarement, désolée) Selon le choix du sujet (et connaissant un peu Vian, peut-être) je trouve votre poème très percutant, poétique et bien réalisé. Je ne lis aucune apologie de la luxure, mais une violence interne, réaction à une violence réelle et dans des mots tout à fait appropriés. "Les radios bleues" appartiennent à l'auteur, je n'en comprends pas vraiment le sens, ce qui n'est pas important à mes yeux. L'ensemble m'a impressionnée, merci du partage. Éclaircie |